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J'ai lu avec beaucoup de jubilation ce livre assez épais. L'auteur raconte comment deux personnes vont se rencontrer et vont s'aimer. Derda et Derdà, deux écorchés vifs, deux vies qui auraient pu très mal tournées. Le destin est le 3e larron qui remet tout en place et fait des miracles. La fille turque, achetée très jeune par un homme âgé qui la méprise et la bat. Elle ne trouve de réconfort que dans une solitude forcée, que dans des actions destructrices et violentes d'automasochisme avec son voisin anglais. Son mari assassiné, la vie ne sera pas rose. Elle passera par des moments
très durs mais elle rencontrera Anne qui la sauvera. Le garçon, lui aussi seul, il affronte la dure réalité de la vie et de la mort avec le décès de sa mère. Il fera, à son tour la rencontre d'un écrivain qui lui fera entrevoir l'espoir. Par des suites d'événements heureux et malheureux, Derda et Derdà feront chemin ensemble et heureux, enfin.
Par son style fluide et direct, l'auteur a su faire passer l'émotion et une certaine tendresse dans cette réalité inhumaine.
Comme dans le premier livre que j'ai lu, cet auteur anglais raconte l'histoire et les états d'âmes d'un personnage : Monsieur Beard. Scientifique de haut niveau, intelligent, apprécié par ses collègues, bon vivant, bien de sa personne, c'est pourtant lui qui attire ce mal, souterrain de tous les romans de Mc Ewan. En effet, il est égoïste, lâche, puérile, n'aime les femmes qu'à travers le plaisir ou les loisirs qu'elles lui apportent. Il n'a pas beaucoup de sentiments, il traverse la vie comme un automate réglé pour gagner mais indifférent à ce qui l'entoure. Peut-être il y aura
pour lui une sorte de rédemption car il a l'air de se rapppocher de sa fille et de sa femme ?
L'histoire est très touffue, bien écrite mais noyée dans les détails.
Je ne connaissais absolument pas ce poète hindoux. Ces poésies simples, sincères parlent de la vie en Inde, des paysages, de la vie quotidienne des femmes et des enfants, du bruit de la rue, de la diversité des différents métiers.
Ce poète qui refusait tout interview avait pourtant un grand réseau d'amis qui partageaient son goût pour la poésie et pour la littérature mondiale. A découvrir car il mérite d'être connu.
J'ai découvert cet auteur américain en écoutant l'excellente émission des carnets de route de Busnel.
L'histoire est intéressante, bien écrite. Dans cette histoire banale : le samedi d'un éminent neurochirurgien et de sa famille, l'auteur a une réflexion pertinente sur le poids du destin dans notre vie et dans nos décisions, l'importance de nos choix et de nos réactions mais aussi sur le désir de vivre, la mort omniprésente, le bien vivre dans sa famille et avec les autres.
Le lecteur verra comment les événements qui se passent, dramatiques, peuvent avoir un impact sur les
relations entre les membres d'une même famille, entre des amis et peuvent bousculer les convictions profondes d'une personne qui a les pieds sur terre et qui n'a pas d'imagination, de rêves, pour qui tout n'est que raisonnements.
Ce poète russe à la poésie singlante et directe a mystérieusement disparu dans un camps de concentration de Sibérie orientale en 1938.
J'ai apprécié le ton de sa poésie. Il a su chercher les mots vrais et justes pour faire réagir son lecteur sur sa condition d'être humain vivant dans un régime inhumain, de poète qui accouche ses mots la peur de mourir au ventre.
Sa poésie est courageuse et mériterait d'être plus connue.
C'était un homme agréable à vivre et joyeux, passionné par la lecture, expert de l'Antiquité.
Cet essai sur la philosophie chez les grecs lui permet de nous donner ses impressions sur la religion, Dieu, la vie, la mort, l'amitié, etc.
Et le tout avec un humour grinçant et un amour immense de la vie et des autres.
Une phrase peut-être pour illustrer cet essai à la portée de tous :
"Bienheureuse éternité dont j'espère tout depuis que je n'en sais plus rien"
Je n'ai pas lu les deux autres tomes mais j'ai été tout de même emballée par cette histoire. Krine est un Sherlock Holmes, Jeckell : un Watson. Cette nouvelle aventure nous emmène dans un monde de science fiction où les hydrides (des animaux humanisés) se battent à mort contre les bandar-gors qui adorent un Dieu dans une basilique. Chaque personnage a son lot de mystères, de faux-semblants, de magie. La fin est surprenante et pas du tout prévisible. Le suspens est savamment distillé tout au long des pages et des rebondissements, des impasses épaississent encore un peu plus cette enquète policière menée d'une main de maître par le génial détective.
Contrairement à ce que dit son éditeur sur la 4e de couverture, la lecture n'a pas été inoubliable. C'est écrit avec un style fluide et poétique mais je n'ai pratiquement rien ressenti en parcourant les pages de son roman. C'est l'histoire d'une femme qui cherche une maison pour se poser et se reposer. Parallèlement, elle fait le deuil de son père et trouve, dans ses affaires, une montre qui marche encore. Je ne me suis pas intéressée à cette histoire, trop de mots empêchent le lecteur de s'identifier au personnage et de l'accompagner dans son voyage mental vers la répemption, le
bien-être et l'acceptation d'un passé difficile.
Bien entendu, je ne vous donne ici que mon humble avis qui n'engage que moi.
Je n'ai pas beaucoup eu d'intérêt pour cette histoire alambiquée de ce garçon qui part à la rencontre de son père et de sa famille. Dans ce voyage, il rencontrera des gens qui l'aideront à grandir, à mûrir et à savourer la vie. Je n'en dis pas plus car une première lecture ne me permet de faire une critique plus aboutie.
crrtique
C'est très drôle à lire car c'est un dialogue de sourd entre une personne qui s'ennuie et qui vit dans son monde et une autre qui raconte sa vie et ses déboires de joueur. Je ne vous raconte pas la fin qui est savoureuse. Elle a été tournée au théatre par mon acteur préféré : Al Pacino.