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Voir les livres coups de cœur des libraires de Decitre Levallois-Perret : Terminus radieux de Antoine Volodine, Le restaurant de l'amour retrouvé de Ito Ogawa, Harry Potter Tome 4 de J-K Rowling, Kafka sur le rivage de Haruki Murakami
Le Général Sorrengail n'a pas l'habitude de mâcher ses mots, et même si elle sait sa fille Violet trop fragile pour survivre à Basgiath -- l'institut chargé de former les gardiens des frontières, les dragonniers -- elle l'a pousse dans cette voie. S'ouvre alors à la jeune fille un monde de rivalités, de meurtres et de dangers...mais surtout elle fait la rencontre de Xaden, son pire ennemi, celui qui a juré de la tuer.
Encore une lettre du corbeau qui harcèle Dovie, jeune chercheuse en astronomie du MIT, depuis plusieurs mois déjà... S'en est trop pour ses pères qui s'en remettent aux Westwood : une riche famille de "bodyguards" de père en fils. Il n'en fallait pas plus pour que Lennon Westwood reprenne du service
après plusieurs années à se consacrer à la formation des nouvelles recrues. Pour assurer la protection de la jeune femme, le bodyguard va devoir emménager chez sa cliente...une cohabitation qui ne sera pas de tout repos...
#forcedproximity #ennemiestolovers #shefellfirsthefellharder
Fascinée par la figure de Jack l'Eventreur, je me suis sans aucune difficulté laissée convaincre par cette réinterprétation made in New York du célèbre tueur en série !
Dans un New York du XIXème siècle où se côtoient misère et opulence, un tueur sans pitié sévit. Ses victimes ? De
jeunes garçons affreusement mutilés... Des indices ? Aucun, hormis ceux qu'un journaliste, une secrétaire, deux sergents de police et un psychiatre obstinés vont mettre au jour. Une enquête trépidante et glaçante au coeur d'une ville chahutée par la corruption.
Tout démarre comme une romance universitaire classique, et puis tout bascule. Entrainés dans une tempête de sentiments qu'ils n'avaient pas anticipée, Sky et Ash se retrouvent piégés dans leur destin.
Un récit poignant qui aborde des thèmes difficiles avec un grand tact et qui bouleversera
même les coeurs de pierre !
Alors que sa petite soeur est choisie pour participer à la 74ème édition des Hunger Games, Katniss voit rouge. Elle se porte volontaire à la place de sa cadette et embarque dans le train qui la conduit tout droit au Capitole, le centre névralgique du pays. Evidemment, elle n'entreprend pas ce voyage seule. La jeune fille est accompagnée de son mentor, un alcoolique notoire qui lui sauvera la vie plus d'une fois, et de son pire ennemi, Peeta Mellark. Mais Katniss ne s'en sortira pas sans l'aide du jeune homme...surtout lorsque le jeu va commencer...
Une maison remplie de secrets, une famille couverte de non-dits et une femme de ménage au passé plus que sulfureux.
Voilà le dangereux cocktail réuni au coeur de ces pages que vous tournerez sans vous en rendre compte, impatient de connaitre le dénouement de ce thriller hors du commun !
Emouvant et doux, ce roman aborde des sujets très difficiles (le deuil, la maladie...) avec une candeur et une innocence rafraichissante qui se reflète dans les personnages. On découvre au fil de ce roman un amour d'enfance que rien ne peut éclipser pas même les drames ou les années. C'est une jolie ode à la pureté des sentiments, tout en étant une romance moderne et qui vous arrachera rires, et surtout larmes.
J'ai bien conscience que relier Les Chroniques de Bridgerton et Shadow Hunter est un tour de force, mais Alison Goodman s'en acquitte avec brio ! C'est avec un plaisir non dissimulé que l'on plonge et replonge dans un Londres de 1812, avec ses rues brumeuses et peuplées de démons, ses parcs constellés d'écureuils et de dangers et ses conventions sociales strictes dont Lady Helen se défait à l'envie sous l'influence discutable du beau et mysterieux Lord Carlson !
C'est grâce à ce roman que j'ai su ce que je voulais LIRE et ECRIRE pour le restant de mes jours : une plongée, corps et âme, dans un univers riche doté de personnages complexes et attachants que l'on suit avec plaisir au fil d'un récit dont on ne parvient qu'avec beaucoup de difficultés à se détacher. Je le recommande à 100% !
Malgré une idée de départ d'une originalité rare et d'une finesse appréciable, je n'ai pas été transportée par l'univers tissé avec beaucoup de soin par l'autrice. Les personnages manquaient d'un peu de spontanéité et de charme, mais il faut tout de même noter que la plume de Sarah Abassi est très travaillée (peut-être même un peu trop...). La Tisseuse de Mélodie reste un bon roman pour qui a aimé La Passe Miroir et La Passeuse de Mots !
Pauvre Patrovit... Qui eut cru qu'un simple rhume pouvait changer le destin de ce petit escargot à tout jamais ? Depuis ce terrible rhume, Patrovit est le plus lent des escargots et cela lui cause beaucoup de problèmes... de ses résultats scolaires à ses amitiés, rien ne va pour Patrovit, le petit baveux... Pourtant, un jour, voilà qu'il trouve un travail ! Et pas n'importe lequel ! Patrovit devient chauffeur-livreur ! Cocasse non ?
Le dernier roman d'Annelise Heurtier a été un vrai séisme. Découvrir ce terrible pan de l'histoire des femmes et le passé méconnu de l'Irlande a été douloureux, parfois violent, mais avant tout émouvant et enrichissant. On ne sort pas de cette lecture indemne mais on en sort grandi.e et, d'une certaine manière, reconnaissant.e. De loin l'un des récits les plus poignants que j'ai eu à lire.
Si l'odeur des feux d'artifice et du danger ne vous fait pas peur, si le bruit de l'amour et de l'aventure ne vous intimide pas, alors réservez vos places pour participer à la prochaine édition de Caraval ! Vous y croiserez peut-être Scarlett, une jeune fille raisonnable et de bonne famille prête à tout - y compris faire une croix sur son adorable fiancé - pour retrouver sa soeur, perdue dans les illusions de Maitre Légende. Cette année encore le célèbre magicien s'est surpassé ! Mais ne perdez pas la tête, tout n'est que mirage et illusion...
Que diriez-vous de plonger dans un Londres féérique et coloré où l’artisanat est la source d’une magie (pas toujours) bienveillante ? Venez découvrir des personnages haut en couleurs à la croisée entre Alice au Pays des Merveilles et Harry Potter !
Un incontournable qui ne se décrit pas en termes littéraires mais en saveurs. Sucré, doux, acidulé et croquant, Charlie et la Chocolaterie se lit sans fin. Ne manquez donc pas de plonger dans une rivière de chocolat, de fouler du pied les brins d'herbe en réglisse ou encore de mâcher un chewing-gum au mille parfums !
Un grand format interactif qui guidera vos petits bouts de chou vers un sommeil paisible grâce à des illustrations douces et une histoire qui l'est tout autant ! Tout comme les yeux du Père Noel, ceux de nos petits lecteurs se fermeront bien vite avec cette ouvrage cartonné !
Un apprentissage tout en douceur avec ce grand imagier doté d'une centaine de flaps ! Autant de petits trésors à destination des petits, comme des plus grands, qui prendront également plaisir à découvrir ces surprises ! Grâce à ce livre, aucun doute, le vocabulaire par thèmes du quotidien sera maitrisé en moins de deux !
Un savant mélange du Voyage de Chihiro et du Château ambulant qui vous transportera aux côtés d'un Hauru made in Margaret Rogerson (Nathaniel) tout aussi mystérieux que son prédecesseur, d'un Calcifer nommé Silas et pourvu d'une langue particulièrement acérée et enfin d'une Sophie (Elizabeth) au caractère bien trempée et à la détermination sans faille ! Un trio qui ne manque pas de piquant et qui vous entrainera sans aucun doute dans un tourbillon d'encre et de mots !
Clap de fin pour cette saga inoubliable qui aura fait pleurer, rire ou encore hurler plus d'un lecteur.ice (dont moi) ! N'hésitez pas une seconde et plongez une dernière fois dans cet univers aussi riche que vibrant de merveilleux, parsemé ça et là de wyverns, de sorcières et de magie ! Un dernier tome sous forme d'apothéose qui ne vous laissera pas indifférent.e ! Bonne lecture et courage pour cette fin pour le moins mouvementée !
Qui de mieux que le vampire le plus célèbre pour parler de son pays : la Roumanie !
Une jeune femme artiste retourne dans la maison de son enfance, dans la ville de B. au cœur les Carpates.
Mais déjà des choses étranges se passent, elle a le sentiment de changer et ressent une présence autour
d’elle. Puis un corps est retrouvé dans la crypte familiale et c’est toute la ville qui est en émois.
Entre rêves et réalité, Dana Grigorcea dépeint ce qu’a été le régime totalitaire de Ceausescu et l’après, ravivant les grandes heures de l’histoire roumaine par l’intervention du mythe de Dracula ou Vlad l’Empaleur.
Une superbe utilisation du fantastique au service de propos plus profonds sur l’Histoire d’un pays et de ses habitants.
Je me suis complètement laissée emporter par ce récit à l’ambiance gothique et moderne parfaitement maitrisée. On est comme fasciné par cette lecture ne sachant pas où elle va nous mener et cela fonctionne à merveille.
Une très belle découverte pour ce singulier roman de la rentrée littéraire, à ne pas manquer !
Magnifique roman qui nous plonge dans les secrets d’une famille, celle de Byron et Benny, frère et sœur et de leur mère Eleanor.
Des plages caribéennes au Royaume-Uni, des années 60 à aujourd’hui, commencer ce récit c’est se laisser porter par la vague et partir à la rencontre de «
Ma », de son histoire et de l’héritage qu’elle lègue à ses enfants.
Avec habileté, alternant passé et présent, Charmaine Wilkerson tisse une incroyable histoire familiale. Au décès de leur mère, B&B qui ne se parlaient plus, sont contraint de se retrouver pour écouter le message enregistrer par leur mère. Et l’histoire qu’ils vont entendre bouleversera à jamais leur existence.
Il y sera question de transmission, des origines, de sacrifice, d’amitié, de violences, de construction identitaire…
Un fil rouge viendra lier tous les secrets révélés : le « Black cake ». Une recette caribéenne, aux racines multiculturelles, transmise par Eleanor, symbole de souvenirs d’enfance, du passé et de l’avenir familial.
Un roman riche, émouvant et tendre, qu’on ne lâche pas avant la dernière page.
Une dystopie comme un uppercut en pleine face, un réalisme glaçant.
Margaret Miu est une poétesse américaine d’origine asiatique. Elle et sa famille vivent dans une Amérique contrôlée par le PACT, une loi visant à protéger par tous les moyens la culture et les traditions américaines au
point d’interdire certains livres, de retirer des enfants à leur parent...
Bird ne sait pas ce qu’est devenue sa mère depuis trois ans, jusqu’au jour où il reçoit un curieux message…il se lance alors à la recherche de Margaret.
Porté par une écriture poétique et touchante, Céleste Ng nous propose un texte perturbant de réalisme, poignant et qui emprunte à des évènements passés et actuels.
Arracher des enfants à leur famille pour les « rééduquer » est un procédé qui a été utilisé auprès des natifs amérindiens mais aussi des enfants aborigènes d’Australie.
Quand un état totalitaire se met en place, l’art est toujours pris pour cible. Retirer des livres de la circulation, déterminer ce qui est acceptable de ce qui ne l’est pas… tout cela n’est malheureusement pas nouveau. C’est d’ailleurs ce qui se passe aux Etats-Unis avec des livres retirer des écoles et bibliothèques.
L’autrice exprime parfaitement tous les mécanismes permettant l’installation d’un régime basé sur la peur et la haine de l’autre. Elle met également en avant l’importance de la littérature et de la transmission.
Un récit tout en profondeur et émotion, un roman qui devrait être recommandé dans les lycées au même titre qu’un « Fahrenheit 451 » ou « 1984 ».
Coup de cœur pour ce premier roman !
J’ai adoré l’ambiance délicieusement rétro des années 80, les références distillées judicieusement tout au long du récit (k7 audio, films d’horreur, films et musiques cultes… : La maison du diable, Les innocents, L’invasion des profanateurs,
Star Wars, les Dalek, les Pulp… on adore).
Le mystère entoure cette maison ainsi que les secrets de famille et dès le début de la lecture on est comme happé par cette histoire.
Et puis il y a bien sûr Arty, cet adolescent touchant et attachant que l’on voit grandir au travers de différentes épreuves et passer de l’enfance à l’âge adulte.
On a plaisir à le suivre dans son enquête aux frontières du réel…En effet, c’est un roman où plane le surnaturel, c’est aussi un roman d’apprentissage, un récit familial qui ravive toute une époque et la nostalgie de l’enfance.
Il y plane également un esprit à la Stephen King (bande d’enfants, escapade à vélo, nature environnante, chamallow grillé…) dont on sent que l’auteur est admiratif.
Une vraie réussite, portée par une écriture maitrisée, immersive et prenante dès les premières lignes.
Déjà conquise par son premier roman « Le cas Victor Sommer », Vincent Delareux revient pour cette rentrée littéraire avec son nouveau roman « Les Pyromanes » et c’est un coup de cœur pour moi !
Dès les premières pages, j’ai été embarqué par le récit. En découvrant le personnage
de Thérèse, on se dit dès le départ que le roman promet d’être épique et c’est le cas. On a qu’une envie c’est de suivre l’histoire de Françoise, fille de la tyrannique Thérèse mais surtout la mère de Victor…Victor Sommer.
Si c’est deux romans sont indépendants l’un de l’autre et peuvent se lire dans n’importe quel ordre, le fait d’avoir lu « Le cas Victor Sommer » rend la lecture de « Les Pyromanes » encore plus marquante selon moi. Le roman est plus abouti, plus développé et prend toute son ampleur grâce à ce diptyque.
« Les pyromanes » est un roman noir psychologique, incisif, avec des personnages incarnés. Un récit diaboliquement bien construit et implacable où les secrets de famille prennent place. C’est cruel, sans concession, une véritable tragédie grecque contemporaine.
Une réussite, pour un jeune auteur à suivre !
Difficile de trouver les mots après cette lecture bouleversante sur un sujet si fort. Julie Héraclès, elle, a su le faire avec brio et nous offre un premier roman d'une incroyable maîtrise, un tourbillon d'émotions.
Partant de cette célèbre photo de Robert Capa d'une femme tondue, prise le
16 août 1944, l'autrice imagine l'histoire de cette femme prénommée Simone.
Simone n'est que lycéenne quand la guerre éclate et elle n'aspire qu'à vivre pleinement sa jeunesse et ses ambitions. Elle ne réalise pas les enjeux de la guerre (ou ne veut pas les voir), ce qu'elle veut c'est être une femme libre, profiter de sa jeunesse et s'émanciper de sa famille... quitte à côtoyer l'ennemi.
Mais tout n'est pas si simple et les événements vont la transformer. Comme le titre du roman le laisse entrevoir, la Simone des débuts n'est plus la Simone du 16 août 1944...et malgré les apparences "vous ne connaissez rien de moi".
Français, allemand, la diversité des personnages nous expose en pleine face la complexité de ces moments historiques, la petite histoire, celle des gens ordinaires comme Simone, pris dans la grande Histoire.
Julie Héraclès donne corps à des protagonistes et à des situations très loin du manichéisme et c'est toute la force de cette histoire.
À chaque moment on peut s'identifier et on peut surtout s'interroger : qu'aurais-je fait si j'avais été à sa place ? dans cette situation ? Pour survivre, pour ma famille...?
Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce texte mais le mieux reste encore de le découvrir.
Un véritable coup de cœur, un roman fort, un roman puissant qui bouscule nos émotions, une pépite de cette rentrée littéraire !
Il s’agit ici d’un premier roman et j’ai vraiment adoré cette lecture.
L’écriture est sobre mais précise, efficace et touchante. Le récit est maitrisé tant sur l’ambiance que sur l’évolution des personnages et de l’intrigue. Il n’y a pas de superflu et nous sommes tenu en haleine
par ce huis clos qui va crescendo. La pesanteur de la canicule, pendant laquelle se déroule le repas, fait résonnance avec les tensions des personnages.
Lors d’un simple dîner, où d’ailleurs aucun invité n’est ravi d’assister, les barrières vont tomber, les protagonistes vont se révéler…pour le meilleur ou pour le pire. Il y aura un avant et un après ce dîner.
Chacun dévoile son jeu, ses sentiments, fissure sa carapace et dévoile sa vraie nature au-delà des conventions. C’est surtout vrai pour les deux femmes, Claudia et Johar, qui s’émanciperont et reprendront leur liberté.
Un premier roman subtil, intelligent, au ton juste. Une très belle surprise !
C’était top !
Tout ce que j’aime, une ambiance bien creepy pour un comics qui m’a fait passer un très bon moment de lecture.
Un bon scénario qui reprend les codes du genre, une ambiance horrifique à souhait, tout y est.
Amateur du genre foncez sans hésiter !
Je me suis enfin lancée dans ce livre qui m'intéressait depuis longtemps.
C'était passionnant ! Sous l'angle des poisons nous faisons un tour d'horizon de l'Histoire mondiale depuis l'antiquité. Comment le poison était-il utilisé, dans quel but...une multitude d'histoires dans la grande Histoire.
C'est
fou ce qu'on a cherché à s'entretuer par le poison depuis des siècles.
Des premières traces écrites en Mésopotamie, en passant par Médée, Circé, les romains avec Néron (entre autre), les Borgia, Catherine Deshaye dite "La Voisin", ou encore la mort des plus grands tels que Cléopâtre, Alexandre Le Grand...une passionnante immersion dans l'univers des poisons !
En conclusion du livre, l'auteur pose la question "L'ère des poisons est-elle révolue ?", il l'espère en effet et cela semble être le cas...mais rien n'est moins sûr.
Si le sujet vous intéresse ainsi que l'Histoire, allez-y !
Et c'est encore un coup de cœur pour les éditions Faubourg Marigny !
Le récit se déroule sur deux temporalités. Nous suivons d'une part Caroline, de nos jours, dont le couple est ébranlé par l'infidélité de son mari et qui cherche à prendre du recul lors d’un séjour à Londres.
D'autre
part, il y a Nella, apothicairesse de la fin du XIXème, propriétaire d'une boutique proposant des remèdes exclusivement aux femmes...mais pas seulement, vous vous en doutez. Elle distille et prépare des poisons pour les femmes qui en ont besoin.
Car a une époque où les femmes ont peu de droits, le poison est parfois la seule solution d'une possible liberté.
La découverte d'une fiole en verre bleue par Caroline va permettre de nous plonger dans l'histoire de Nella et de suivre leur destin respectif.
J'ai aimé l'ambiance historique, la justesse des personnages, de leur ressenti, le parallèle de ces vies de femmes, éloignées dans le temps mais réunies par la trahison de l'homme qu'elles aiment, et bien sûr l'univers des poisons, du pouvoir de la nature et des plantes pour qui sait l'utiliser.
Une histoire de vengeance, d'émancipation, où les femmes reprennent en main le cours de leur vie !
Une lecture immersive et prenante !
Je suis tombée complètement par hasard sur ce livre en librairie et c'est d'abord la femme sur la couverture qui a attiré mon attention : elle m'a fait penser à Rachel dans le film "Blade Runner"...et puis surprise, rien à voir, il était question d'espionnage et plus particulièrement de femmes
espionnes et surtout d'histoires vraies. Il ne m'en fallait pas plus, ma curiosité était piquée.
J'ai adoré cette lecture, très bien expliquée et documentée, elle nous ouvre un monde inconnu mais qui se trame pourtant depuis toujours : l'espionnage. On y découvre des parcours de femmes de différentes origines, avec leurs combats (personnels, patriotiques), leur formidable apport sur certaines enquêtes dans un milieu majoritairement masculin mais où ces femmes ont su s'imposer et prouver leur valeur sur le terrain. On vibre avec chacune d'elle en pensant aux risques encourus...
Cette première lecture nous donne envie d'approfondir ce sujet, de se pencher également sur certaines périodes de notre Histoire, bref vous l'aurez compris je vous le conseille
Un coup de cœur pour ce concentré d’émotions et d’humanité !
Grace débarque à Londres avec son amie Viv, pleine de rêves et d’ambition. Mais à l’aube de la Seconde Guerre Mondiale tout ne se passe pas comme elle l’espérait. Elle obtient néanmoins un emploi dans une petite librairie
tenue par Mr Evans, un homme aux premiers abords assez bourru et peu accueillant.
Et pourtant la vie de Grace va en être bouleversée. Ses rencontres et sa découverte de la littérature et des livres vont la changer et à son tour elle transformera la vie des clients de la librairie.
Une ode à la résilience, à l’amitié et bien sûr à l’amour des livres. Un roman qui montre la nécessité de pouvoir s’évader par la littérature (ou toute autre forme d’art) pour survivre aux difficultés, mêmes aux heures les plus sombres de l’Histoire.
Un plaisir de suivre tous ces personnages aussi touchants les uns que les autres, qui tentent de continuer à vivre et seront réunis par Grace et la librairie des rêves ensevelis.
Une magnifique lecture qui fait du bien !
Une belle surprise ! Un pur roman psychanalytique d’une relation mère-fils pour le moins toxique.
Victor Sommer, la trentaine, vie toujours chez sa mère qui l’entretien car elle ne souhaite pas qu’il travaille. Accaparé par cette mère possessive, Victor tente tant bien que mal de vivre
sa vie…jusqu’au jour où tout bascule.
L’aspect psychologique du roman avait déjà tout pour me plaire et cela a été confirmé par ma lecture. J’ai aimé le ton décalé du début, la lente plongée dans la compréhension de cette relation malsaine, les secrets de famille, la quête de Victor pour exister et non plus seulement se contenter de vivre…
Plongez dans les méandres psychiques du cas Victor Sommer, vous ne le regretterez pas !
Les éditions Ilatina sont une maison d’éditions comme je les aime, c’est-à-dire avec une identité marquée et la volonté de partager des histoires peu diffusées ou connues en France.
Je les ai découvert avec « Chroniques amérindiennes » et là encore j’ai adoré ma lecture.
Alvar
Mayor est un aventurier solitaire. Héro de la bande dessinée argentine, il est le fils des premiers descendants espagnols nés en Amérique du Sud.
Respectueux des peuples autochtones, désintéressé par l’or qui obsède les espagnols, il les guide sur ces terres d’Amérique du Sud qu’il connait si bien, à la recherche de citées perdues.
Récits alternants réalisme et imaginaire, une très belle plongée en Amérique du sud, de ses peuples et des mystères qui les entourent tel l’Eldorado, le tout porté par un incroyable dessin tout en noir et blanc.
Il y a quelques temps j’avais vu et adoré le film « La comtesse » (2009), j’ai donc tout de suite été intéressée par cette bande dessinée qui allait me permettre dans savoir plus sur celle qui a inspiré ce film : la comtesse Báthory.
Beaucoup de légendes circulent sur cette femme,
tantôt vampire féminin, femme sanguinaire et meurtrière, sorcière…mais quand est-il vraiment ?
C’est ce qu’expose ici ce récit, replaçant la comtesse Báthory dans son cadre historique et réel où les problématiques sont plus de l’ordre du pouvoir, de l’étendu des terres dont cette femme a disposé, plutôt que sur d’hypothétiques récits surnaturels.
En cela, on redécouvre la véritable Comtesse Báthory, femme libre et puissante dans la Hongrie du 17ème et comment l’Histoire l’a transformé en légende, occultant ce qu’elle a été.
Une lecture très intéressante et magnifiquement illustrée.
Quelle lecture ! C’est mon premier livre de cet auteur et j’ai adoré.
L’ambiance victorienne de Londres puis de Portsmouth est remarquablement retranscrite.
Une totale immersion dans l’Angleterre du XIXème, des bas-fonds à l’élite de la société, de la lutte des classes qui n’épargne
personne. Mais aussi une ambiance mystérieuse et dérangeante qui donne le souffle au récit.
Nous suivons Anne McCarey, infirmière en institut psychiatrique, et son énigmatique patient nommé Mr X, bientôt rejoint par un certain Docteur Arthur…Conan Doyle.
« Une étude en noir », titre miroir au célèbre « Une étude en rouge » de Conan Doyle pour un sublime hommage littéraire qui nous embarque totalement.
Qui est coupable des meurtres ciblant les mendiants ? Qui est fou, qui ne l’est pas ? Anne plonge à corps perdu dans cette enquête machiavélique avec nos deux acolytes.
Un roman rondement mené, prenant, avec rebondissement jusqu’à la dernière page. Quand on referme le livre, on a qu’une envie c’est de suivre de nouvelles aventures avec le duo Anne/Mr X.
Un cri pour la liberté, un cri de colère et d’espoir ! Une lecture forte et qui bouleverse d’autant plus qu’elle fait écho à l’actualité…
Le Savoir contre l’obscurantisme et l’oppression, c’est ce que Goktay et Ayla nous transmettent dans ce récit. En Turquie, une vague d’arrestations
de professeurs et d’intellectuels a lieu. C’est dans ce contexte et pour avoir signé une pétition pour la paix avec les Kurdes que Goktay se retrouve emprisonné. Une violence qui vient bouleverser la vie du couple, pris entre son histoire personnelle et celle de son pays.
Une force de combattre instinctive chez Goktay, un cheminement pour Ayla qui finira par dépasser sa peur au nom de la justice, de la liberté d’expression et de la liberté d’enseigner.
Une lecture qui fait froid dans le dos car ce qu’on lit se passe actuellement dans ce pays et nous rappelle que le chemin est encore long pour les libertés…
J’ai aimé plonger dans la très belle histoire de ce couple dont l’amour est mis à rude épreuve, suivre l’évolution psychologique de Ayla face à la situation : faut-il tout accepter pour continuer à vivre ou faut-il risquer sa vie pour une cause ? Loin d’être manichéen, ce roman y répond avec justesse et force.
C’est aussi un roman qui permet de ressentir ce pays dans sa diversité et sa richesse culturelle, de s’imprégner de l’art de vivre au pied du Bosphore, pris entre Orient et Occident.
Une entrée dans la compréhension de la situation politique complexe en Turquie.
Quelle clairvoyance, quelle finesse de jugement et intelligence du récit dans ce texte !
J’ai découvert Charlotte Perkins Gilman avec son livre « Le papier peint jaune » et c’est suite à ma lecture de « Femlandia » où Christina Dalcher cite « Herland » que je découvre ce roman.
Et
dire qu’il a été publié en 1915… !
Trois hommes, intrigués par des légendes parlant d’un peuple constitué uniquement de femmes se rendent à Herland. C’est donc par la voix de l’un d’entres eux que nous découvrons ce pays où les femmes s’épanouissent depuis plus de deux mille ans sans présence masculine.
Elles sont fortes, ne connaissent pas la peur, elles sont autosuffisantes et vivent dans la paix.
A la manière d’une étude sociologique, nous découvrons le fonctionnement de cette communauté qui met habilement en lumière les travers de nos sociétés « civilisées ».
Que ce soit sur la place et le rôle des femmes, sur la définition de la féminité, que sur des thématiques tels que l’éducation (est cité Maria Montessori), la productivité à outrance, l’écologie et la protection de la nature…
Une lecture indispensable et tellement moderne !
J’avais adoré « Vox » de Christina Dalcher, c’est donc tout naturellement que je voulais découvrir « Femlandia ».
Tout d’abord…quelle claque ! On ne ressort pas indemne de cette lecture.
Elle est forte, violente, bouleversante.
Dans une Amérique dévastée par une crise économique
sans précédent, il ne s’agit plus de vivre mais de survivre dans un monde où la sécurité est devenue précaire.
Des communautés réservées uniquement aux femmes naissent un peu partout dans le pays sous le nom de « Femlandia ». Miranda, seule avec sa fille, s’était toujours promis de ne jamais y mettre les pieds mais le chaos de la société va l’y pousser.
On ressort de cette lecture avec un mélange de sentiments qui prend aux tripes, on se questionne...
Ici, l’autrice pousse le féminisme à son extrême limite, avec un rejet total des hommes, dans une ambiance apocalyptique, d’inflation, de manque de nourriture…qui met en évidence notre consumérisme à outrance et l’effondrement de nos sociétés.
Si vous ne connaissez pas encore cette autrice alors surtout n’hésitez plus pour la découvrir.
Magnifique ! un véritable coup de cœur, j’ai adoré cette lecture…L’ambiance, les émotions, les personnages et les thématiques abordées, tout y est !
Année 50, l’image de la parfaite femme d’intérieur, de l’épouse dévouée à son mari est à son apogée.
Bienvenue à Artemisia
Lane, base militaire dans le Nevada où l’armée et les scientifiques travaillent sur la bombe atomique.
De véritable « Atomic Party » sont organisées à tour de rôle par les femmes du quartier, barbecues où le point d’orgue est le spectacle offert par la bombe.
Femmes impeccables, tirées à quatre épingles, maris souriants et avenants…tout semblent parfait, chacun dans son rôle…Comme vous vous en doutez, derrière ce vernis lisse la réalité est toute autre. Personne ne peut savoir ce qui se cache dans l’intimité d’un foyer.
C’est l’histoire de deux femmes, de leur rencontre. Summer, épouse réservée et peu sûre d’elle mais qui tient parfaitement son rôle, et Charlie, femme libre, sensuelle et indépendante. C’est le lourd secret porté par Charlie qui va réunir les deux femmes...
Il y a aussi Mrs Burns et Penny que j’ai adoré, et l’insupportable Lucy que j’ai aimé détester.
C’est poignant, drôle, émouvant, une très belle histoire de femmes qui vous emporte, à découvrir !!
C'est un coup de cœur pour ce roman.
Nous sommes en 1976, Dana une jeune femme noire moderne se retrouve du jour au lendemain projeté dans le passé...en pleine époque de l'esclavage, dans une plantation du Sud.
Autant dire que, dès le résumé, j'avais hâte de lire cette histoire.
Octavia
Butler est décidément une autrice incroyable. Que ce soit pour ce roman ou pour "Novice", elle plonge le lecteur dans l'action dès les premières lignes...et nous tiens en haleine jusqu'à la fin.
Ce que j'apprécie également dans son écriture c'est l'intelligence qui se dégage aussi bien dans la narration que dans la construction de ses personnages. Avec une thématique comme le racisme et l'esclavage il serait facile de tomber dans les clichés, mais elle réussit à être juste et totalement crédible. Ce qui qualifie ces personnages c'est "complexe" : que ce soit Dana, Rufus...chaque personnage réagi aux événements de manière différente, propre à son histoire, à ses émotions. Le lien qui uni Dana et Rufus est mêlé d'amour et de haine.
Un roman juste, fort, sans concession, très prenant.
A lire sans hésitation !
Une histoire entre flash-back et présent. 2 couleurs, deux ambiances.
J'avais peur de lire quelque chose d'un peu trop malaisant.
Mais il parle d'avantage de vengeance et de sororité.
Poignant et humain, un récit plutôt doux finalement.
Tatsu l'immortel, ancien yakuza effrayant, est devenu homme au foyer, toujours effrayant, mais bien meilleur en cuisine.
Un premier tome très drôle (bien plus que ce a quoi je m'attendais), qui donne envie de lire la suite !
Un passionnant récit sur le monde des yakuzas et la société japonaise au travers de l’autobiographie d'Ijichi Eiji.
Yakuza de l’ancienne génération, nous découvrons son histoire et en filigrane celle de son pays. Des maisons de jeux à l’influence de la mafia dans la société japonaise,
jusqu’à la nouvelle génération de yakuza que nous d’écrit Ijichi Eiji comme un véritable business organisé, de plus en plus fondu avec l’économie du pays, tentaculaire, à mille lieues de ce qu’il a connu.
Une immersion dans la vie d’un homme aux derniers jours de sa vie, un classique à découvrir.
Une fois n’est pas coutume, dans le monde masculin qu’est celui des Yakuzas, c’est ici la voie d’une femme que l’on va découvrir.
Il s’agit de l’histoire vraie de Shoko Tendo, fille d’un gangster, qui nous livre l’envers du décor de ce milieu et son autobiographie, ici adaptée
en manga.
C’est un récit fort, très dur, dont on ne ressort pas indemne et qui vous plongera sans concession dans la réalité impitoyable de la mafia japonaise.
Je me suis régalée avec cette lecture !
C’est jubilatoire, finement mené, ironique et décalé. C’est tellement drôle d’avoir pour narrateur cette intelligence artificielle qui pose son regard naïf sur la nature humaine et qui créé par là même des situations cocasses.
En effet, tout
l’intérêt de cette narration est, par le regard d’Alfie, de porter attention à nos travers, aux dérives de nos sociétés et des technologies qui sont partout, mais aussi sur les relations familiales et conjugales…Alfie met en exergue le fait que l’être humain n’a nul besoin des IA pour ressortir le meilleur comme le pire dans ses comportements.
Il y a donc plusieurs ambiances dans ce roman : de la dystopie, du policier, un regard sociétal et surtout de l’humour à revendre ! Embarquez dans le quotidien de la famille Blanchot aux côtés d’Alfie, vous ne serez pas déçu.
Un petit bijou du polar japonais, tout en subtilité, qui saura vous cueillir et vous manipulera avec brio jusqu’à la fin.
Dès le premier chapitre, on est intrigué, interloqué, on se demande vers quoi on va. Au sein de la Résidence K, habitée uniquement par des femmes célibataires, les
secrets refont surface, les apparences sont trompeuses et l’autrice nous balade allègrement, un secret en cachant un autre.
Par ce roman, inédit en Fance, Masako Togawa nous démontre que nous projetons nos pensées sur autrui mais qu’en réalité, on ne connait jamais vraiment toute la vérité. Les faux semblants, les injonctions sociétales sont ici exprimées par une galerie de personnages qui met en évidence la très grande solitude de ces femmes, leur situation précaire mais aussi la curiosité, la jalousie...
Un roman à l’intrigue efficace à découvrir !
J’ai adoré ! un thriller intelligent, maitrisé et très immersif.
Bienvenue au Paradox Hotel, prenez une chambre en attendant votre prochain voyage dans le temps, que vous souhaitiez visiter l’Egypte antique, découvrir la Renaissance ou le Jurassique, tout est possible…à condition d’en
avoir les moyens.
Pour superviser la sécurité de ces voyageurs temporels et celle de l’hôtel, il y a January Cole. Une femme au tempérament bien trempé, qui n’a pas sa langue dans sa poche et pour laquelle j’ai immédiatement accroché. January veille à ce que rien ne soit modifié dans le passé mais ses multiples voyages dans le temps ont altéré son cerveau. Elle souffre de « décollement », c’est-à-dire qu’à n’importe quel moment elle peut dériver dans le passé ou l’avenir, lui provoquant des absences de quelques minutes…
C’est lors d’un de ces décollements qu’elle découvre un cadavre.
En parallèle, le Paradox Hotel se retrouve sur le marché et accueille plusieurs acheteurs milliardaires pour un sommet de négociation…car quand on possède l’argent, pourquoi ne pas s’acheter le Temps…mais quelles seront les conséquences ? Et si certains voulaient réécrire l’histoire ?…
C’est prenant, très bien construit, les personnages sont plus vrais que nature. La notion de pouvoir, le sentiment de toute puissance et la folie de l’argent qui monte à la tête sont parfaitement décrit. Clairement un livre très cinématographique.
Une belle découverte qui donne envie d'en savoir plus sur le travail de Rob Hart.
Un super roman feel good à l’italienne, avec des personnages hauts en couleurs ! En même temps, avec un titre pareil, difficile d’être déçu quand on aime les livres.
On suit ici Blu, jeune femme qui vit en colocation à Florence et qui gère sa propre librairie. Elle tente de faire vivre
au mieux ce lieu tout en gérant les aléas du quotidien. Blu pense alors à créer des « prescriptions » sur une sélection de livres comme le ferait un médecin face à différents symptômes. Des livres qui soignent toute sorte de maux, la petite pharmacie littéraire est née.
Parallèlement à cela, elle fait la connaissance d’un étrange et mystérieux client aux airs de Gatsby qui va devenir son obsession…
Inspirée de la vie personnelle de l’autrice, on plonge avec plaisir dans ce roman auprès de personnages attachants, déjantés, le tout dans un univers baigné par la passion du livre et le métier de libraire.
Glaçant ! c’est le mot qui nous vient à l’esprit à la lecture de ce livre car tout ici est vrai.
Maureen Callahan, journaliste, nous retrace l’arrestation et toute l’enquête qui a permis de faire tomber le tueur en série Israel Keyes…qui n’a sans doute pas révéler tous ses secrets…
Elle
nous plonge directement au cœur des équipes du FBI. A leur côté, nous assistons pas à pas au déroulement des interrogatoires, aux aléas judiciaires et à la découverte de la personnalité du tueur.
Ce qui est intéressant ici c’est bien sûr le point de vue psychologique mais également la mise en exergue de l’incroyable travail de ces hommes et femmes qui côtoient l’innommable avec la responsabilité de sauver des vies. On y décèle clairement les rouages internes et les subtilités judiciaires qui peuvent accélérer ou ralentir une enquête.
C’est prenant, extrêmement bien documenté et ça se lit comme un roman. Amateur du genre, foncez !
J'avais feuilleté le début avant sa sortie et pas particulièrement accroché. Mais l'histoire est vraiment très profonde, pleine de questionnement sur ce que c'est que de devenir une grande personne, ce qu'on est prêt à faire/ à devenir, de belles histoires sur l'amitié, la magie, et les différentes
magies.
Je sens que la suite sera tout aussi intéressante. Je suis contente d'avoir lu cette bd en entier. Parce qu'elle vaut le détour.