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Aussi réussi que le premier, aussi haletant et prenant. Le cocktail est le même et il fonctionne toujours à merveille : on ne repose le roman qu'une fois fini en se demandant ce qui nous a à ce point captivé, mais en pensant : "Vite, vite le tome 3 !" (décembre 2010)
Comme bon nombre de ses lecteurs, Hunger Games m'a prise et ne m'a pas lâchée. Je l'ai lu en une journée, quasiment d'une traite. Un très bon divertissement. Il FAUT que je me procure la suite ! Comme quoi les livres estampillés "Ado"... (octobre 2010)
C'est typiquement le genre de livre que je ne lis pas d'habitude : la (très) lourde histoire familiale de l'auteur, bien plombante, ça n'est pas pour moi ! En plus, dernièrement, je suis assez sensible sur le trio "Suicide, deuil et troubles bipolaires", alors merci, mais non merci ! Et puis bon, une collègue, deux collègues, ma tante, toutes enthousiastes. Je me lance donc, avec un reste de réticence. Au bout de vingt pages, j’avais déjà pleuré deux fois. Et ce ne seront pas les dernières...
Je sors de ce livre assez partagée : l’écriture est très belle, le récit maîtrisé.
J'ai juste été parfois gênée par les apartés de l'auteur, des chapitres qui revenaient assez régulièrement, où elle s'excusait en quelque sorte d'écrire ce qu'elle écrivait, où elle prenait des précautions, comme pour adoucir ce qu'elle venait de raconter. A mon goût, une préface aurait suffit. Mais à aucun moment, je n’ai voulu abandonner, j’étais même impatiente de retrouver cette famille en morceaux. Leur histoire très touchante, très émouvante, très tristement réaliste. Certaines des personnes avec lesquelles j’ai discuté de ce livre m’ont dit qu’elle y avait quand même trouvé de la lumière, de l’espoir. Moi, j’avoue que j’ai eu du mal à en ressortir du positif. Ca a été une épreuve, de bout en bout. Et du coup, je me demande si ça vaut le coup de lire ce genre de chose, sachant que ce sera difficile, pénible. En fait, ça me fait me poser la question de ce que je recherche dans la lecture : me confronter à la réalité, à ma réalité, ou au contraire simplement m’évader ? La question reste posée…
Plutôt déçue, donc...
Zut, je n'aurais pas du lire les critiques des autres juste avant de rédiger la mienne. J'ai trouvé dans certaines critiques mon opinion si bien exprimée que j'ai presque envie des faire des copier-coller de 2-3 extraits pour composer mon billet.
Alors, moi aussi, j'avais très envie d'aimer ce livre au départ. J'ai tenu jusqu'au bout, mais je me suis battue, car si l'histoire et les personnages m'ont bien plu, j'ai moi aussi eu beaucoup plus de mal avec toutes les digressions et les références philosophico - intellectualo - psychologico - je-ne-sais-quoi. Plutôt déçue, donc. (octobre 2011)