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Tous nos livres d’occasion ont leurs propres histoires en plus d'en raconter une.
Cependant, un contrôle minutieux est effectué par nos équipes afin de vérifier qu’ils respectent notre charte de qualité. A savoir, des livres lus peu de fois pouvant présenter des traces d’usure ou de vieillissement, mais qui ne nuisent pas à la lecture.
La couverture et le dos peuvent présenter de petits défauts. Le papier avec le temps peut être jauni sans pour autant gêner la lecture. Toutes les pages sont présentes. Des livres à lire et relire encore et encore…
*Photo non contractuelle. L'édition livrée peut différer de celle commandée.
La vie, la mort, la maladie sont des des thèmes difficiles mais abordés d'une façon simple et réaliste dans ce livre, sans jamais tomber dans le pathos. Entre rires et larmes, ce livre lumineux est à lire absolument.
Avoir 16 ans et souffrir autant, l'injustice pour ces enfants malades...
Un magnifique roman plein de douceur mais aussi de rage face à l'impuissance de ces jeunes gens malades d'un cancer.
Ce roman est tellement beau, j'en ai pleuré.
Il y est question de mort, de vie, d'espoir et d'amour. Encore une belle réussite de la part de John Green que j'avais découvert avec Qui es-tu Alaska.
C'est bien connu, la vie ne fait pas de cadeau.
Elle frappe encore plus durement pour certains, et de façon beaucoup plus injuste.
Avoir 16 ans et souffrir dans sa chair, sans espoir de guérison, c'est contre nature.
Lire la pitié sur le visage de ceux que l'on aime, c'est détestable.
Ne pas savoir quand la mort va arriver, c'est terrorisant.
C'est pourtant le destin des deux héros de ce livre superbe.
Sans jérémiades, sans voyeurisme, avec humour et délicatesse, John Green vous emmène dans le sillage d'Hazel Grace et d'Augustus, que vous ne pourrez plus jamais oublier.
Entre
douceur et révolte, entre rage de vivre et résignation, entre larmes et éclats de rire, avec ce style simple et lumineux qui lui est propre, et son amour de l'adolescence qu'il insuffle si bien à chacun de ses personnages.
A la dernière page, si ce livre a visé juste,vous êtes submergé par la joie d'être en bonne santé.
Et EN VIE...
Encore une merveille atrocement difficilement à conseiller aux parents qui veulent offrir un livre à leur ado !
Hé oui, comment ne feraient-ils pas la grimace en apprenant que c'est l'histoire d'une jeune fille atteinte du cancer et de tous ses petits camarades tout autant malades qu'elle ? Nous (libraires) sommes obligés de mentionner ce fait pour parler du livre mais ce n'est pas pour autant ce qui en fait l'histoire. L'histoire de "Nos Étoiles Contraires", c'est l'espoir. Ne pas perdre ses rêves. Vivre chaque jour le meilleur jour de sa vie.
Ce n'est pas un livre larmoyant et déchirant.
Absolument pas. C'est un livre très doux et mature. On tombe instantanément amoureux du personnage d'Hazel qui a une vision du monde très sarcastique et franche. Il faut reconnaître à l'auteur le talent de savoir se mettre dans la peau de personnages qui n'ont rien à voir avec lui et de tout de même parvenir à restituer leurs sentiments et leurs émotions avec un grand réalisme.
C'est difficile de dire que j'ai aimé ce livre, parce que j'ai l'impression qu'en le faisant et qu'en le conseillant comme lecture, je trahis son univers intime et secret.
Pourtant, il faut que vous le lisiez. Il le faut.
"OK ?"
Hazel a 16 ans et lutte depuis de nombreuses années contre un cancer incurable de la thyroïde. Lors d'une séance de soutien à l'église, elle rencontre Augustus 17 ans, en rémission. Ils sont rapidement attirés l'un par l'autre. Leur histoire va les mener jusqu'en Hollande où ils vont rencontrer l'auteur Van Houten, que Hazel admire particulièrement.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce roman n'est pas larmoyant. Ces deux personnages principaux ont une énergie débordante et savent nous faire partager leur combat avec humour, dérision et réalisme. L'auteur s'est inspiré
de rencontres faite lorsqu'il travaillait dans un hôpital pour enfants.
Dès 14 ans.
Bonsoir c est un très beau livre ! Si vous l avez aimé je vous propose de lire mon roman Victoire sur les maux (dispo sur Amazon): A l’approche de la quarantaine, Lucile est une jeune femme célibataire qui s’investit dans sa carrière et voyage beaucoup. A peine remise d’une déception sentimentale, elle connaît une période de spleen, de manque de confiance en elle et s’inquiète de voir l’horloge biologique tourner. C’est dans ce contexte qu’en un éclair, Lucile voit sa vie basculer en apprenant qu’elle est malade. Elle doit désormais consacrer toute son énergie à se
sauver.
Lucile est un personnage très combatif et déterminé à venir à bout de sa maladie et à réaliser ses rêves. Au fil du récit, elle voit ses priorités changer, quelques projets s’évanouir, de nouveaux horizons se dessiner, et sa personnalité se révéler.
Cet ouvrage émeut à la fois pour le récit du combat d’une femme qui lutte contre la maladie, et pour la romance passionnelle dévastatrice qu’elle vit pendant cette période si particulière de sa vie. Cette lecture permet de voir la maladie sous un nouvel angle, de casser les préjugés.
Au travers du regard du personnage principal, on découvre certains aspects de la nature humaine. Les capacités d’entraide, de courage et d’espoir, mais également l’abandon, la peur et la lâcheté.
Cette palette d’émotions est celle que ressentent les gens qui se battent au quotidien contre la maladie. L’auteure espère partager un message d’espoir et de combativité avec ce roman, pour tous les patients et leurs familles, pour que l’histoire de Lucile leur donne la force de mener leur guerre.
«Certains infinis sont plus vastes que d’autres.»
J’ai vu le film avant de lire le livre et je peux vous dire que j’ai eu autant de frissons.
Pour ceux qui ne connaissent pas, qui n’ont vu ni le film ni lu le livre, on rencontre deux adolescents: Augustus Waters et Hazel Grace. Et non pour une fois ce ne sont pas des ados lambdas.
En effet les personnages principaux sont atteints par le cancer.
Hazel se sent condamnée et Augustus semble être, quand à lui, sur la voie de la rémission.
Quand on lit le résumé, qu’on voit le thème du livre on se dit: « Vive la déprime
avec ce livre » , détrompez vous!
J’ai adoré ce livre, j’ai été transportée dans une autre dimension où je vivais dans le monde de Hazel et Augustus. Sans rien autour.
Ok, on parle de sujets pas très joyeux comme la douleur, la maladie, la mort...Mais c’est raconté avec tellement de poésie et d’humour.
Ce n’est pas un livre déprimant, bien au contraire! Il affronte la maladie avec sourire et dérision et c’est ça que j’ai adoré.
Hazel et Augustus se rencontrent dans un groupe de soutient et ne vont plus se quitter. On va suivre leur quotidien dans ce combat contre l’ennemie qui est la maladie.
Je n’oublie pas Isaac qui va être leur comparse au long de cette aventure.
Ce qui est bien c’est que John green nous fait vivre la maladie à travers ces deux adolescents qui sont géniaux! Leur humour et leur voyage dans les méandres shakespeariennes m’ont fait rire et la façon dont ils vivent leur maladie est extraordinaire et totalement tournée à la dérision.
Ce livre nous fait vraiment réfléchir sur notre existence. On prend réellement conscience des choses et on sort de notre zone de confort, il nous secoue!
Je ne saurais trouver l’adjectif exacte pour définir ce livre qui est en même temps joyeux, triste, sublime, horrible...Il est totalement déroutant et peut nous faire passer du rire aux larmes en une page!
C'est l'histoire d'une rencontre improbable entre deux malades du cancer, Hazel et Augustus. Hazel ne veut pas aller à la séance de soutien psychologique mais s'y rend contrainte par ses parents. Heureusement le hasard faisant bien les choses, Hazel et Augustus vont se découvrir durant leur thérapie.
Une histoire forte en émotion, touchante, qui montre au lecteur qu'il faut profiter de la vie et ne jamais perdre espoir.
Contrairement à la majorité je n'ai pas aimé ce livre. L'histoire est survolée,on a l'impression qu'il manque des morceaux. Je n'ai ressenti aucune émotion. Je me suis vraiment ennuyée. Le seul passage intéressant fut la visite de la maison d'Anne Franck. Il en faut pour tout les goûts. Celui-ci en tout cas n'était pas du miens. Dommage...
"Nos étoiles contraires" est un de ces romans à succès sur lesquels on peut avoir un préjugé plutôt négatif. En tout cas, c'était mon cas. Je l'ai entamée par curiosité, pour voir s'il y avait vraiment raison à autant de tapage. Eh bien, je dois dire que oui. Non seulement l'histoire est prenante, touchante et bien ficelée, empreinte d'un réalisme bouleversant, mais l'écriture de l'auteur est tout simplement belle. Elle est simple et même crue par moment, empreinte de sarcasme et pose un regard narquois sur la vie. Un roman qui convient aussi bien aux adolescents qu'aux adultes, et qui mérite amplement son succès!
Ce livre me tentait depuis un bout de temps déjà et étant donné que le film sort en septembre, il fallait que je le lise avant.. C'est chose faite. Je n'ai vu que des coups de cœur et des avis très positifs dessus donc j'avoue que j'en attendais beaucoup. Même si ca a été une lecture formidable ce ne sera pas un coup de cœur pour moi.
On retrouve Hazel qui a un cancer et qui ne sait pas combien de temps encore elle peut durer et il y a Augustus... Ils se rencontrent dans un groupe de soutien et leur relation est vraiment magique.
J'ai adoré les personnages, que ce soit les principaux
ou les secondaires, ils apportent tous quelques choses à leurs manières. Les personnages d'Hazel et d'Augustus se complètent, ils voient les choses tellement différemment concernant ma vie et la mort, j'ai adoré suivre les deux approches car les deux sont très compréhensibles. Chacun réagit différemment face à la maladie. J'ai beaucoup aimé la relation entre Isaac et Augustus qui gardent leur humour malgré les situations difficiles. Quand à Peter Van Houten j'ai beaucoup aimé son personnage et j'ai vraiment voulu le suivre.
Encore un coup de coeur en cette fin de semaine. J'avoue que le sujet ne me tentait pas des masses mais une fois dans le livre, je l'ai dévoré d'une traite. Une belle leçon de vie. A consommer sans modération avec un paquet de mouchoir à coté....
En panne de lectures, j'étais à la recherche d'un roman rafraîchissant, facile à lire tout en transmettant de véritables émotions. Difficile à trouver! Et pourtant, voyant la couverture bleue de Nos Etoiles Contraires revenir sans cesse alors que je navigue sur le net, je décide de l'acheter. En deux jours, il ne reste rien du livre à part ses pages gondolées par mes crises de rires et de larmes. L'écriture simple et vibrante de John Green ne peut pas vous laisser de marbre, elle vous touche au plus profond de vous pour ne laisser qu'un vide interstellaire quand on arrive au dernier
mot du roman. Nos Etoiles Contraires est définitivement entré dans ma liste de romans préférés (et pourtant il est difficile de s'y faire une place!). A la fois léger et bouleversant, le roman de John Green est un petit miracle de la littérature contemporaine! Et tout ceux qui se méprennent et qui pensent que ce n'est qu'un roman d'adolescents se fourvoient et se privent de ce petit bijou.
À bon entendeur, coucou!
Bonjour,j'entends parler de ce livre depuis un moment et je repoussais le moment de le lire de peur d'être déçue ,mais comme le film sort bientôt je me suis lancée.
Dans ce roman nous suivons Hazel Grace qui rencontre Augustus Waters dans un groupe de soutient pour enfants cancéreux et leur rapprochement...
Pour moi un coup de cœur et un livre qui dès les premières pages vous embarque et qu'on ne peut plus lâcher et arriver vers la fin on ralentit la lecture pour ne pas devoir se séparer des personnages . Puis une fois finit on a qu'une envie le relire ou le partager pour que tout
le monde ressente la même chose que nous à la lecture . Et c'est exactement ce qui c'est passé avec ce livre.
L'auteur a sut sublimer un sujet qui pourtant n'était pas facile. On tombe amoureuse d'Augustus Waters en même temps qu'Hazel, et on regrette de ne pas avoir passé plus de temps avec lui.
Pour moi certaines scènes et répliques sont déjà cultes ,et si je devais trouver un défaut à ce livre ce serait " une impériale affliction " le livre qui les réunit, je trouve dommage de ne pas pouvoir le lire.
Bref vous l'aurez compris j'ai beaucoup aimé ce livre et vous le conseille.
Ce roman est un gros coup de coeur !
C'est une pépite... J'ai eu l'impression de savourer l'un des bonbons les plus précieux du monde.
L'auteur est un génie. Il traite d'un sujet triste, pessimiste et aux issues fatales et pourtant on rit, on vit, on espère, on aime.
L'écriture est toute en finesse et les idées sont très philosophiques et sensées, comme si on nous ouvrait les yeux pour comprendre les choses, le sens de la vie et de la mort.
Dès les premières lignes, vous êtes irrésistiblement attiré par le récit, ne pouvant plus le lâcher.
C'est un de ces romans qui
fait du bien, qu'on peut ouvrir à n'importe quel moment de sa vie et méditer.
Je suis persuadée que ce roman peut donner de l'espoir aux malades et leur faire appréhender leur maladie ou leur fin de vie autrement, avec une autre vision.
L'histoire d'Hazel et Gus est une vraie leçon de vie, ils atteignent un tel niveau de second degré qu'on ne peut qu'aimer la vie et rire avec eux.
D'ailleurs, Hazel a une magnifique phrase qui résume à elle seule ce roman : "Je crois qu'on peut choisir dans la vie comment on a envie de raconter une histoire triste, et Augustus et moi avons choisi la manière drôle... etc.".
C'est un livre puissant.
Je viens de terminer "Nos étoiles contraires", après être tombée par hasard sur la bande annonce de l'adaptation à venir. Je ne m'attendais pas à être à ce point bouleversée.
C'est infiniment bien écrit, intelligent, exigent (comme quoi littérature ado et grande littérature font très bon ménage) et vraiment émouvant (j'étais en larmes 60% du temps).
Je le recommande à tous, et vais, de ce pas, m'attaquer à Ou es-tu Alaska ?
Deuxième livre pour ados que je lis en quelques semaines après le très réussi " Revanche " de Cat Clarke, et encore un très beau moment de lecture. Ici deux adolescents malades du cancer se rencontrent dans un groupe de paroles : entre eux l'amitié d'abord puis l'amour. Hazel, la fille, Augustus, le garçon, leur ami Isaac, leurs parents et la littérature pour passion commune. Beaucoup d'amour, une pointe d'humour, des sentiments forts, de l'émotion et des personnages tous attachants. Les parents d'Hazel notamment sont formidables. Un hymne à la vie malgré un sujet grave abordé sans miévrerie aucune. A lire.
Il faut définitivement que j'arrête de lire les romans pour adolescents, car ils ne sont pas mon truc.
J'ai trouvé les personnages mièvres, j'ai eu l'impression que l'auteur lui-même ne savait pas comment se dépétrer avec son personnage de Van Houten.
Alors oui, il plaira aux ados, mais il faut croire que j'ai passé l'âge.
Bref, je n'ai pas aimé.
Est-ce que par hasard je traverserai un passage "bougon" ? Affaire à suivre...
Elle souffre d'un cancer incurable, participe un peu contre son gré à un groupe de paroles, où elle rencontre un adolescent atypique. Entre eux, le courant passe, une belle amitié nait puis se transforme. Les sentiments sont forts, les émotions intenses, dans la joie comme dans les larmes, rien n'est épargné. Les personnages sont forts, attachants, entiers dans leur combat contre la maladie, pour la vie, pour à tout pour faire aboutir leurs rêves. L'auteur nous surprend sans cesse au fil des pages, nous touche, nous émeut. La fin n'est pas celle à laquelle on aurait pensé. Un livre aussi bien pour les parents que pour les ados, très fort, qui se lit d'une traite.
Ma fille de 13 ans a acheté ce livre, du coup je l'ai lu aussi. Elle a pleuré, pas moi !!! il n'empêche que les personnages sont attachants, les émotions très bien décrites. Je suis toujours fascinée par ces auteurs qui savent transmettre de telles émotions alors que le personnage n'est pas du tout ce qu'ils sont!!! ce doit être cela un "bon auteur"; A conseiller à tous adultes, ados...
Pourquoi classer ce livre au rayon "jeunesse" ou "ado"? ce livre doit être lu par tous, adultes, jeunes adultes, ados... C'est le meilleur livre lu depuis bien longtemps. Sur un ton accessible, l'auteur navigue entre dérision, émotion, sensibilité, suspens et humour. On connaissait John Green, pour cet ouvrage, il s'est surpassé !
Bientôt adapté pour le cinéma, n'attendez plus, lisez le avant de le "voir"... Lecture d'été ou d'automne, comme bon vous semble. parents, laissez le trainer, vos enfants vous le chipperont !
J’ai mis beaucoup de temps avant d’écrire cette chronique. En fait, je crois que ce livre m’a tellement chamboulée que j’avais tout simplement peur de ne pas réussir à poser les bons mots sur ce que je ressens et de ne pas lui rendre justice.
Nos étoiles contraires est vraiment pour moi LE livre de l’année, celui qu’il faut avoir lu en 2013… un véritable bijou, un livre estampillé « grosse claque dans la tronche »…
C'est sûr qu'au premier abord, on se dit que ce livre doit être vraiment triste à en pleurer… « Une fille qui a cancer qui rencontre un garçon
qui avait un cancer » eh bien non ! John Green est vraiment un maitre parce-qu’ il a réussi à écrire un livre sur un sujet très dur et triste et à en faire quelque chose de profondément réaliste et à la fois horrible, beau et positif.
Le cancer est bien sûr le thème principal et il est omniprésent tout le long du livre mais pourtant, on n’est clairement pas dans l’apitoiement. C’est surtout une belle leçon de vie et une jolie histoire d’amour entre deux adolescents amoureux de littérature que la maladie n’a malheureusement pas épargnés. Augustus est un garçon plein de vie qui va permettre à Hazel de s’ouvrir, de sortir et lui faire comprendre qu’elle doit vivre sa vie et ses rêves. Que certes, son cancer fait partie d’elle mais qu’elle est aussi beaucoup plus que ça.
En plus de la belle histoire et belle morale, les personnages sont terriblement attachants, vrais, authentiques… tous. Je les ai tellement aimés que ce fut un déchirement de les quitter à la fin du roman. Malgré leur souffrance et leur maladie, Hazel, Augustus, Isaac ont su me faire sourire avec leur humour et leur intelligence, leur sens de la répartie.
Bon, je ne vous cache pas qu’on pleure quand même… Mon dieu, quelle fin ! Ça fait tellement longtemps que je n’ai pas pleuré autant pour un livre ! Mais Nos étoiles contraires, c’est ça : un concentré d’émotions pures, puissantes, intenses. C’est un livre magnifique et bouleversant sur la vie, sur la mort et sur l’amour qui nous fait passer en quelques lignes du rire aux larmes. Franchement, si vous ne devez lire qu’un livre cette année, ce devrait être celui-ci…
Face aux critiques pratiquement unanimes pour dire que ce livre est génial, j'ai eu peur d'être déçue. Il n'en est rien, j'ai passé un superbe moment, c'est un livre magnifique.
Hazel, jeune fille de seize ans, est atteinte d'un cancer des poumons. Elle est condamnée mais un traitement expérimental et une bombonne à oxygène lui permettent de stopper l'évolution de la maladie pour un temps. Combien de jours, de semaines, de mois exactement ? Elle ne le sait pas et vie au jour le jour. Ses parents insiste pour qu'elle fasse partie d'un groupe de soutien pour jeunes cancéreux. Hazel
n'y va pas forcément de bon coeur, mais c'est l'occasion pour elle de voir son ami Isaac (atteint d'un cancer des yeux) et c'est là qu'elle va faire la connaissance d'Augustus (un malade en rémission).
Je me suis complètement laissée embarquée par l'écriture de John Green, par l'histoire d'Hazel et d'Augustus. Malgré un thème pas facile, j'ai beaucoup souris tout au long de ma lecture. Hazel a un esprit incroyable, de même qu'Augustus. « Nos étoiles contraires » n'est pas un roman larmoyant ni glauque, même si j'avoue avoir pleuré. C'est avant tout un roman bourré d'émotions (joyeuses ou non) et de vérités.
Je suis tombée amoureuse de cette histoire et de ses personnages. Le duo formé par Hazel et Augustus est tout simplement excellent. Leurs dialogues, leurs aventures, tout m'a charmée. Les personnages secondaires ne sont pas en reste et m'ont également beaucoup touchée.
« Nos étoiles contraires » m'a fait penser à « La fille qui ne croyait pas aux miracles » de Wendy Wunder (que j'avais adoré). Ce sont d'ailleurs deux romans que je vous conseille très fortement !
J'évite de lire les histoires tristes habituellement (qui ne sont pas des témoignages), tout simplement car je pense qu'il y a assez de malheur dans le monde, alors à quoi bon en inventer ? Du coup quand on répond à la fameuse question "Pourquoi aimes-tu lire ?" en lisant ce type de livre on ne peut pas répondre "Pour m'évader, découvrir un nouveau monde (...)". Alors au final, à quoi sert-il Nos étoiles contraires est un livre qui se savoure, comme un bonbon qui fond dans la bouche. Je l'ai lu donc avec lenteur et plaisir, tout simplement car je n'avais pas envie de savoir la fin. Mais
pour moi ce livre est un livre qui se lit en deux temps, en deux lectures. La première lecture est pour l'histoire en elle-même, les sentiments, la découverte ; puis une deuxième lecture est nécessaire pour bien comprendre tous les messages que cherchent à nous faire passer l'auteur.
Hazel Grace & Augustus sont nos deux héros. On apprend à connaitre leurs souffrances et leurs combats, mais aussi leurs joies et leurs triomphes. On apprécie les personnages non pas car ils souffrent - l'auteur ne veut pas qu'on ait pitié d'eux - mais pour leur caractère et leur personnalité. Je me suis laissé plonger dans le livre avec une facilité déconcertante pour un thème pareil, et aux côtés d'Hazel et Gus j'ai passé un moment très fort. De plus, ils apportent une bonne dose d'humour au livre, un peu décalé. La preuve : j'ai presque autant rit que pleurer !
Nos étoiles contraires n'est pas un livre sur le cancer, c'est une ode à la vie. Le cancer n'est donc pas en soi le sujet principal du livre. Ce roman m'a énormément fait réfléchir, mais il ne m'a pas bouleversé à proprement parler. Ce livre donne une leçon de vie incroyable... pour ceux qui n'en ont pas encore compris la véritable valeur. Or, je savais déjà la chance que j'avais d'être en vie...
En refermant Nos étoiles contraires, j'ai compris que ce livre n'était pas pour les personnes atteintes du cancer. Ce livre nous bouleverse à nous, lecteur en bonne santé (ou du moins n'ayant pas de cancer), pas à ceux qui en ont vraiment besoin. C'est donc ce que je reproche à l'auteur, j'aurais préféré que ce livre s'adresse (et touche) les cancéreux, car ils en ont mille fois plus besoin que nous. De plus, est-ce-que les fonds de ce livre reviennent à une association qui lutte contre le cancer ? Non. Ce livre nous apprend à vivre, à apprécier la vie à sa juste valeur, mais je doute sincèrement qu'il puisse aider les cancéreux, leur redonner espoir - au contraire.
Ce livre est une perle, un énorme coup de coeur pour moi. John Green nous offre avec ce roman une histoire émouvante et poignante qui bouleversera votre vision de la vie.
..."On rit, on pleure, et on en redemande".
en réf. à l'avis de l'auteur MARKUS ZUSAK.
Si vous aimez les histoires d'amour, lisez ce livre !
Si vous aimez les histoires tristes, lisez ce livre !
Si vous aimez les histoires emplies d'humour, lisez ce livre !
On ne peut pas conseiller cette histoire en la résumant ; elle ne se raconte pas, elle se vit ! ; elle est criante de vérités ! et si belle !!!!
J'étais captivée par le récit ; mettant le nez dans le livre dès que j'avais une seconde de libre ; seuls quelques passages m'ont semblés un peu légers mais ça, c'est un avis d'adulte,
de surcroît, professionnelle !
Bonne lecture !
Je retiendrais les mots de Markus Zusak au sujet de ce livre : « Un roman sur la vie, la mort et les gens qui se retrouvent coincés entre les deux » et je préciserais que les « gens » sont des ados ce qui change la donne. En effet ces enfants que la maladie rend matures plus vite qu’il ne faudrait ont pleinement conscience qu’ils peuvent mourir, puisque leurs copains tombent comme des mouches autour d’eux et que leurs parents suintent l’angoisse et la tristesse, mais ils réalisent surtout qu’ils ne vont pas vivre. L’auteur s’appuie essentiellement sur ce fil rouge : quelle
aurait pu être ma vie si je n’avais pas été malade ? Aurais-je aimé avec passion, réalisé mes rêves ? Et puis il y a l’autre question existentielle : pourquoi eux ? Pourquoi le cancer prend dans ces pinces ces êtres sans défense que sont les enfants ?
Hazel lit en boucle « Une impériale affliction » de Peter Van Houten, elle a 17 ans et va mourir d’un cancer qui attaque ses poumons et la fait souffrir à chaque respiration. Augustus a le même âge, ils se rencontrent lors d’une réunion d’un groupe de parole. Ils tombent amoureux mais Hazel s’autorisera-t-elle à aimer persuadée qu’elle mourra avant Augustus qui lui est en rémission ? Et puis aimer, c’est se projeter dans l’avenir.
Hazel est comme les personnages d’« Une impériale affliction », suspendue en mode pause. La rencontre avec l’auteur à Amsterdam va lui révéler la force de l’amour d’Augustus et lui faire prendre conscience qu’elle doit vivre le temps qui lui est compté au lieu de l’imaginer comme dans un roman. "Vous êtes les effets secondaires d’un processus évolutif qui fait peu de cas des vies individuelles. Vous êtes une expérience de mutation ratée. » dit l’auteur Peter Van Houten à Hazel et Augustus lors de leur rencontre. La cruauté et la force de ces mots permettent à Hazel de s’autoriser à aimer et de comprendre qu’il n’y a pas toujours de causalité aux atrocités de la vie mais qu’il y a obligation d’en assumer les conséquences.
« J’ai compris alors que les hommes ne peuvent se satisfaire de rêves réalisés, car il reste toujours l’idée que tout peut être refait, en mieux. » dit Hazel.
C’est aussi ce que je dirai de ce livre où John Green nous indique de nombreuses voies de réflexion philosophique sur la vie, la mort et sur ce que nous en faisons, utilisant parfois l’humour, privilégiant toujours la profondeur des sentiments et la beauté intérieure mais qui me laisse penser que ce n’est pas tout à fait abouti.
Les chroniques sur ce livre fleurissent sur les blogs depuis quelques temps déjà. J’ai plutôt bien réussi à ne pas les lire…Mais bon, j’avais compris qu’il recueillait la quasi totalité des suffrages. Ça me met toujours la pression, ces bouquins (ou films d’ailleurs) que tout le monde adore.
Et bien je l’ai adoré. Comme tout le monde…
Il parle cancer, il parle d’ados et d’amour. Il parle d’amitié aussi. Et de littérature. Comment les livres parviennent à parler aux ados ? Qu’est-ce qui fait qu’un livre, écrit par un vieux monsieur aigri, touche au cœur
des adolescents ? Quand on est touché par un livre, une chanson ou tout œuvre artistique, doit-on connaître leur auteur ?
Et puis la maladie. Qui se cache (ou pas), qui rejaillit à tout moment. La maladie est un vrai personnage du roman. Le cancer habite les personnages. Il les entrave, les détruit, souvent, il les rassemble aussi parfois. Alors oui, il y a des moments très émouvants et j’ai versé quelques petites larmes (en même temps la petite maison dans la prairie doit encore me faire pleurer), mais ce n’est pas un livre sombre et déprimant. Pas du tout. Il y a aussi plein de passages drôles, ironiques mais drôles. Hazel est une vraie héroïne : elle est intelligente ; elle a une répartie d’enfer ! Et du culot…On l’aime et on s’attache à ce personnage de bout en bout.
J’ai aimé son histoire d’amour avec Augustus. Augustus l’irrésistible, le beau gosse. Qui veut laisser une trace dans l’histoire. J’ai aussi beaucoup aimé les moments d’amitié entre Isaac, Augustus et Hazel. Et puis, je crois que ce qui m’a le plus touché, ce sont les rapports entre Hazel et ses parents. Cet amour si fort entre un père (qui pleure beaucoup), une mère (solide et parfois trop présente) et cette jeune fille de 16 ans. Qui est malade oui, mais qui est une ado. Qui aimerait claquer les portes plus souvent, qui voudrait qu’on lui lâche les basques et qu’on la laisse un peu s’envoler…
Je n’ai pas envie de trop raconter les détails de l’histoire mais je recommande chaudement ce livre, qui se lit d’une traite.
Quand on lit le résumé de ce livre, on s'attend à beaucoup d'émotions. Alors oui, ce livres est un concentré d'émotions, mais pas que de tristesse, John Green aborde un sujet assez triste en y mettant de la joie et de l'humour.
Les personnages sont très attachants et assez particulier. Peut-être le fait de se savoir condamné les fait réagir ainsi. Hazel est une ado de 16 ans qui est atteinte d'un cancer,ne sachant plus respirer d'elle même elle est obligé d'avoir avec elle 24h/24 une bombonne d'oxygène. Augustus fera son apparition quelques pages après, lui est en rémission, il
est unijambiste.
John Green va nous faire découvrir le monde de cancéreux mais pas que ... Il va nous montrer qu'eux aussi peuvent vivre une belle histoire d'amour et que ces condamnés ont aussi droit à leur part de joie et d'amour.
John Green a une écriture fluide et simple, dès le départ il nous plonge dans cet univers particulier des enfants atteint d'un cancer. Au départ j'ai été un peu sceptique quand au fait que c'est un livre destiné à la base à des ados à partir de 14 ans.
Et finalement ce livre peut-être lu autant par des adultes que par des jeunes.
John Green nous donne beaucoup d'émotions, mais aussi une belle leçon de vie avec cet écrit. On en ressort avec beaucoup de réflexions quand à nos attente de la vie. Quand on voit ces jeunes gens se battre on se dit que parfois nous sommes injuste envers nos exigences. La seule chose qu'ils veulent c'est vivre !
Même si j'ai beaucoup aimé cette lecture, je n'ai pas été conquise au point d'avoir eu un coup de coeur. Il me manquait un petit truc ...
Je tiens à remercier les éditions Nathan de m'avoir fait découvrir ce livre.
Ce livre donne une envie irrésistible de manger des sandwichs au gouda, de dire OK à chaque fin de phrase, d'embrasser son amoureux sur la pointe des pieds, de dire une tonne de mots pas jolis du tout en jouant à un jeu vidéo pour les aveugles, de regarder Top Model USA et de même pas en avoir honte, de fumer sans jamais fumer, de réciter des poèmes et de vivre, comme jamais
J'ai adoré, je l'ai relu, j'ai encore aimé !
C'est bien la première fois que j'entends parler d'un sujet pareil de cette façon ! Je m'attendais à un roman larmoyant, pas du tout ! C'est au contraire un roman plein d'humour, qui a de la répartie et beaucoup d'esprit. On ne peut que s'attacher aux personnages qui sont à la fois si fort et si fragiles (au niveau de la santé, mais pas du caractère). Si Hazel est fan du livre « Une impériale affliction », je suis quant à moi, déjà fan de « Nos étoiles contraires », que je me verrais bien relire de temps à autre, comme elle.