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La vie est douce à Kamakura. Amis et clients se pressent dans la petite papeterie où Hatoko exerce ses talents d'écrivain public. Tendres, drôles ou tragiques, les destins se croisent sous son pinceau. Hatoko s'est mariée et découvre, en compagnie de Mitsurô et de sa petite fille, les joies d'être mère au sein de leur famille recomposée : elle enseigne à l'enfant l'art de la calligraphie comme le faisait sa grand-mère et partage avec elle ses recettes des boulettes à l'armoise ou du thé vert fait maison.
Mais si Hatoko excelle dans l'art difficile d'écrire pour les autres, le moment viendra pour elle d'écrire ce qui brille au fond de son coeur. Après La Papeterie Tsubaki se dévoile une fois de plus tout le talent d'Ogawa Ito pour nous révéler les sources invisibles du bonheur.
La République du bonheur
Il suffit de quelques phrases pour embarquer dans ce roman qui exhale légèreté, simplicité et fraicheur.
La vie de la papeterie Tsubaki, le mariage de Hatoko et Mitsuro, les familles que l’on reconstitue, les temples qu’on visite et les plats que l’on savoure, il y a dans ces pages une telle douceur de vivre, un tel élan vital.
Lire La république du bonheur, c’est lire les petites choses du quotidien, les émotions simples et la délicatesse des saisons.
Voilà une oasis dans laquelle on glisse, le sourire jamais bien loin et le plaisir d’une belle histoire.