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À découvrir
"Je vais te confier quelque chose qui va t'aider, Poppo. C'est la formule secrète du bonheur ! Il faut se dire à l'intérieur : "Brille, brille.", c'est tout. Et alors, les étoiles se mettent à briller les unes après les autres dans les ténèbres qui t'habitent, et un beau ciel étoilé se déploie."
C'est de la contemplation, de la beauté, de la poésie ! En un mot, je me sens apaisée quand je lis ce livre.
C'est l'histoire de Poppo qui reprend la papeterie familiale et qui commence à exercer le métier d'écrivain public : elle écrit des lettres pour ceux qui ne savent pas écrire
ou qui ne savent pas s'exprimer.
C'est une ode à la vie, à tous les sentiments qui l'habitent, au quotidien, à la nature. A tout ce qui est beau dans ce monde et tout y passe : la nourriture, l'amitié, l'amour et même les ruptures.
Une fois qu'on termine le livre, on le pose et on observe ce qui nous entoure : tout est plus éclatant, plus beau et on apprécie simplement le temps et les saisons qui passent ! On apprécie d'être en vie et de pouvoir simplement ressentir !
Un roman ressourçant et simple !
Besoin d’un moment de douceur et de poésie ? Alors prenez une tasse de thé, installez-vous confortablement et suivez le quotidien de la jeune Hatoko dans sa petite papeterie, non loin de Tokyo. Poppo n’est pas seulement papetière, elle est aussi écrivain public. Et, au fil des saisons, se succède devant elle toute une série de protagonistes aux demandes tantôt classiques tantôt des plus saugrenues. D'une manière parfaitement épurée, Ito Ogawa nous décrit la vie quotidienne de Poppo et nous offre une véritable immersion dans la culture japonaise.
Une ode au temps qui passe, à
la nature qui se transforme et aux moments précieux de la vie.
C’est beau, léger et absolument ressourçant !
Douceur et poésie sont les maîtres mots de ce nouveau roman d'Ito Ogawa. On retrouve avec plaisir l'univers de l'auteur délicat de l'auteur à travers un voyage sensoriel aux côtés de Hatoko qui revient dans son village natal pour reprendre la papeterie de sa grand-mère. La jeune femme va aussi devoir apprendre le métier d'écrivain public pour lequel les habitants viennent régulièrement la consulter. Choix du papier, de l'encre, de la plume, des bons mots : Hatoko doit trouver le bon équilibre pour que la missive reflète la personnalité de l'expéditeur.
Si vous voulez vous échapper
de votre quotidien agité, ce roman vous fera le plus grand bien !
Si vous voulez voyager sans bouger de chez vous ce livre est pour vous...
Dépaysement et zenitude garantis....
Hatoko – surnommée Poppo dans son quartier – revient à Kamakura suite au décès de sa grand-mère pour reprendre la petite papeterie familiale. En plus de la papeterie, Poppo est chargée de suivre les pas de sa grand-mère en tant qu'écrivain public. Sa grand-mère, qu'elle a surnommé L'Aînée, lui a transmis la mission délicate d'écrire pour les autres. Non seulement elle doit retranscrire leurs idées en mots, mais le choix de la calligraphie, de l'encre, du papier, de l'enveloppe et du timbre sont tout aussi importants et nécessaires. Peu à peu, les clients viennent la voir,
lui demandant de calligraphier toutes sortes de demandes : cartes de vœux, condoléances, mot d'amour ou d'amitié, lettre de séparation... Les besoins et les demandes sont nombreuses !
Grâce à son talent, sa sensibilité et son écoute, Poppo devient bientôt essentielle et la papeterie un lieu important du quartier.
Depuis que j'ai découvert Ito Ogawa, je ne cesse de clamer le talent de cette auteure, et de la conseiller à tous : que ce soit avec Le restaurant de l'amour retrouvé, Le Ruban, Le Jardin Arc-en-Ciel et maintenant La papeterie Tsubaki, elle n'a plus à prouver son talent !
Avec La papeterie Tsubaki, Ito Ogawa décrit le rituel ancestral de l'écriture et de la communication, avec ses rigueurs, ses rituels et les gestes à accomplir. Même si Poppo introduit des matériaux contemporain dans son art (stylo à plume ou à bille, papier moderne), le tout reste résolument campé dans la tradition, qui a été transmise de génération en génération. La description du travail de Poppo est poétique, légère, et absolument magnifique. La description des papiers, le choix du stylo, tout a un impact, et le tout participe au message envoyé. Merveilleux !
En plus de cette ode à l'écriture, La papeterie Tsubaki donne aussi la part belle aux personnages. Poppo est une jeune femme qui a eu un parcours difficile, elle a eu peu d'amis dans son enfance car son étude de la calligraphie lui prenait énormément de temps, et sa relation avec L'Aînée a parfois été conflictuelle. Ce n'est qu'après la mort de sa grand-mère, à son retour au Kamakura, qu'elle commence à comprendre réellement les idées de l'Aînée et les choix qu'elle a fait pour l'élever. Poppo est une jeune femme réservée, douce, que j'ai énormément apprécié. Mais les personnes qui gravitent autour d'elle sont tout aussi essentielles, que ce soit avec Barbara, son amie et voisine, mais aussi avec une petite fille de cinq ans, les clients qui viennent à sa papeterie... Ito Ogawa a ce talent de brosser en peu de mots des personnages vivants, uniques et passionnants.
La papeterie Tsubaki est un livre absolument magnifique et vibrant, une ode aux traditions et à l'écriture. Mais surtout une histoire qui rend hommage aux gens : Ito Ogawa parle des personnes avec douceur et tendresse, on retrouve dans chacun de ses livres l'amitié, l'entraide, le partage et l'amour.
Un très beau moment de lecture, La papeterie Tsubaki fait partie de ces livres que l'on n'a pas envie de finir !
On entre dans cette histoire par la porte du quotidien ordinaire et paisible de notre héroïne avec lenteur et précision.
On la quitte enveloppés d'un sentiment de paix, de sérénité, d'aboutissement d'un chemin bienveillant, humain.
Au fil du roman, l'étude de la calligraphie choisie pour chaque événement (quelle découverte !) s'ajoute à l'entrée subtile de personnages attachants.
Un beau voyage au fil des quatre saisons.
On entre dans cette histoire par la porte du quotidien ordinaire et paisible de notre héroïne avec lenteur et précision.
On la quitte enveloppés d'un sentiment de paix, de sérénité, d'aboutissement d'un chemin bienveillant, humain.
Au fil du roman, l'étude de la calligraphie choisie pour chaque événement (quelle découverte !) s'ajoute à l'entrée subtile de personnages attachants.
Un régal
Hatoko 25 ans reprend la petite librairie papeterie que lui a légué sa grand-mère , au sein de la petite ville de Kamakura au sud de Tokyo. Elle reprend également son rôle d’écrivain public, chargée de rédiger le courrier, sur demande de ses clients. Chaque jour elle calligraphie diligemment tout type de lettres. Le procédé y est d’ailleurs bien expliqué, un délice à lire. Elle fait la connaissance de Baron, un homme assez froid au premier abord et de plusieurs autres personnes égayant son quotidien .
Un roman à la douce ambiance, à déguster sans modération.