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Angélique, placée par l'Assistance Publique chez des gens qui la maltraitaient, s'est enfuie. Elle est recueillie la nuit de Noël par un couple très pieux qui fait des broderies pour les vêtements sacerdotaux. Elle apprend le métier de brodeuse. Ses lectures d'histoires pieuses l'invitent à rêver de sainteté. A l'adolescence, elle s'éprend d'un jeune peintre de vitrail qu'elle identifie à St Georges.
Il l'aime. Leurs parents respectifs s'opposent à leur mariage, mais finissent par céder car Angélique est malade de chagrin. Elle meurt à la fin de la cérémonie nuptiale.
le reve
lien vers ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/le-reve-de-zola/
Le mot de la fin : Une très belle histoire que je me suis surprise a aimé. Zola place la religion et l’amour au centre de ce roman. A l’inverse des autres romans que j’ai pu lire de l’auteur, je suis étonnée de la façon douce avec laquelle il traite son roman, on se situerait presque dans le conte. L’histoire du couple Hubert est pour moi la plus belle critique de la complexité des relations humaines et du poids de la société. Le discours de la femme sur l’importance de l’argent car dans la société l’amour ne suffit pas, m’a fait pensé aux réflexions de Jane Austen, notamment la phrase de Madame Bennet « l’affection est souhaitable, l’argent est indispensable« … Une très belle découverte que j’ai dévorée sur une journée.