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Vous aimez les sagas familiales ? Alors n'hésitez pas à lire la plus folle, la plus belle, la plus poétique, la plus tragique des sagas : l'histoire d'une famille, les Buendia, et d'un pays, la Colombie. L'histoire de plusieurs générations de cette famille nous est racontée dans une langue prodigue en images dignes des fables qui nous font encore rêver.
Voici un des livres des plus emblématiques du réalisme magique, venu d'Amérique Latine pour secouer les fondements du roman et ouvrir en grand de nouvelles fenêtres.
De la grandeur à la décadence, entre l'horreur et la beauté
des événements, soulignons la poésie d'une vision du monde qui défie notre logique et nous invite à plonger dans les eaux – magie et solitude – d'une réalité multiple et bouleversante.
Vous verrez que la mort peut ressembler à l'envol d'un papillon.
Si Joyce a écrit son anti-Odyssée de l'ère moderne, Guimarães Rosa a écrit son anti-Iliade. Et en même temps, sa version toute en couleur du mythe de Faust. Le tout versé dans une langue nouvelle, recréée à partir du parler des gens de l'intérieur du Minas Gerais, au Brésil.
Avec Riobaldo et les autres personnages, nous voilà montés sur des chevaux pour la guerre et l'amour, chevauchant le vide, méditant sur la vie et la mort, sur l'amitié et l'amour, sur le sens ultime de l'existence. Lyrisme et cruauté. Sagesse. Excès. L'humain.
Une œuvre à lire et à relire, à emporter
avec soi dans nos voyages d'été, d'hiver.
Il y a des livres qui, une fois lus, nous quittent. Il y en a d'autres, que l'on quitte même avant les avoir finis. Celui-ci, il ne vous quittera pas. Vous ne le quitterez pas.
Mémoires de l'au-delà
Comment commencer ? Par le début ou par la fin ? Par la naissance ou par la mort ?
Notre auteur décide de commencer par sa mort. Et nous voilà devant le récit – erratique, fragmentaire – d'un défunt qui nous propose, avec plein d'humour, d'autodérision, de verve, et son portrait et celui de la société brésilienne de son époque.
Un texte d'une finesse psychologique inégalable, à ranger à côté d'un Tchekhov, d'un Shakespeare. Un classique absolu, savoureux, décoiffant, qui nous fait penser, par sa drôlerie, à un Sterne, un Molière qui auraient vécu sous les tristes tropiques.