Philippe Besson nous présente une mère des dernières heures, dont le fils – le dernier fils – quittera la maison en fin de journée, prendra son envol : la couve s’achève ici.
Une journée où toutes les choses qu’elle fait avec lui deviennent les dernières choses qu’elle fait avec lui, où le moindre geste la projette dans un passé, pour lui déjà tassé, mais qu’elle chérit, elle, mère, comme encore un refuge.
Comment tenir bon, comment faire face au gouffre qui s’annonce, celui d’une impossible solitude, celui d’un deuil étrange que jamais personne ne voit
venir ? Avec amour, peut-être ?
Un roman tout en finesse sur la maternité qui nous bouleverse par sa simplicité, par sa banalité, tant il nous parle, droit dans le coeur.
« Parfois, la tendresse est un mouvement qui nous échappe. »
Philippe Besson nous présente une mère des dernières heures, dont le fils – le dernier fils – quittera la maison en fin de journée, prendra son envol : la couve s’achève ici.
Une journée où toutes les choses qu’elle fait avec lui deviennent les dernières choses qu’elle fait avec lui, où le moindre geste la projette dans un passé, pour lui déjà tassé, mais qu’elle chérit, elle, mère, comme encore un refuge.
Comment tenir bon, comment faire face au gouffre qui s’annonce, celui d’une impossible solitude, celui d’un deuil étrange que jamais personne ne voit venir ? Avec amour, peut-être ?
Un roman tout en finesse sur la maternité qui nous bouleverse par sa simplicité, par sa banalité, tant il nous parle, droit dans le coeur.