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Tous nos livres d’occasion ont leurs propres histoires en plus d'en raconter une.
Cependant, un contrôle minutieux est effectué par nos équipes afin de vérifier qu’ils respectent notre charte de qualité. A savoir, des livres lus peu de fois pouvant présenter des traces d’usure ou de vieillissement, mais qui ne nuisent pas à la lecture.
La couverture et le dos peuvent présenter de petits défauts. Le papier avec le temps peut être jauni sans pour autant gêner la lecture. Toutes les pages sont présentes. Des livres à lire et relire encore et encore…
*Photo non contractuelle. L'édition livrée peut différer de celle commandée.
Jake Cole est profiler jusque dans ses viscères. Lorsque son père, peintre de génie devenu fou, se défenestre, il doit renouer avec un passé lourd et douloureux. Et c'est le moment que choisi l'ouragan Dylan pour se déchaîner sur les côtes et qu'un dépeceur ressurgit trente ans après son dernier crime : la mère de Jake. Le profiler le sent et le sait : il n'y a jamais de coïncidences.
Alternant entre tableaux de violence et poésie destructrice, Robert Pobi est impitoyable. Si ce premier roman présente quelques défauts inhérents à un premier essai (quelques répétitions de
forme, des indices bien disséminés mais décelables pour les gros mangeurs de polar), il faut en saluer la qualité, l'écriture viscéral, un héros avalé par le gouffre de la psychologie criminelle et la plongée dans une violence bouillonnante.
Encore une réussite de Sonatine !
Si vous en avez assez des thrillers prévisibles, ruez-vous sur ce premier roman absolument époustouflant. Robert Pobi maitrise les codes du genre a la perfection, et le suspense est total du début a la fin. Une vraie réussite.
Si le livre est bien écrit , quoiqu'avec quelques passages dilués, tout y est très dosé , trop: une pincée de héros torturé, une compagne à l'avenant , une cuillère de père génialement psy quelque chose, une goutte toutes les heures d'éléments déchaînés , une scène à caractère erotico machin toutes les 47 pages....bref des ingrédients très prévisibles voire ennuyeux pour une fin désolante très" à la mode", alors que cela aurait pu être , malgré tout un bon polar ....
Toujours à la recherche du thriller qui m’empêchera de dormir, me donnera la chair de poule et me fera pousser de petits cris de stupéfaction à la dernière page. J’ai donc tenté L’invisible, qui avait eu cet effet-là sur Cajou et qui promettait du gore et bien des surprises. Pas de bol pour moi, j’ai très vite découvert où l’auteur voulait en venir, presque dans les moindres détails (alors que je suis loin d’une experte des thrillers, que je suis la reine des naïves et que ce n’est pas bien dur de me surprendre).
Alors oui, les scènes de crime sont vraiment bien décrites
et font froid dans le dos. On a presque envie de vomir devant ces pauvres gens écorchés vifs, tant l’atmosphère est palpable. C’est le gros plus du bouquin : le style de l’auteur nous permet de suivre l’enquête comme si on y était et on prend plaisir à découvrir ses personnages et leurs histoires. Si le tout est longuet, l’intrigue reste prenante, surtout pendant la deuxième moitié, où j’espérais à chaque page que je faisais fausse route, qu’un vrai retournement de situation me laisserait enfin pantoise… Sauf que non. Il y a tellement de gros indices qu’il était facile de confirmer mes soupçons au fil de pages. Par exemple, voici les deux détails qui m’ont totalement convaincue que j’étais dans le juste (surlignez pour lire le spoiler) : °Sur la plage, Kay et son petit garçon font signe à des passants qui les ignorent, mais ceux-ci répondent au salut de Jake. Ce serait vraiment des cons ! Et plus loin, Jake pense acheter 3 pizzas pour lui et sa famille, mais s’aperçoit qu’il n’a finalement commandé qu’une pizza et une boisson pour lui. Cela confirmait mes soupçons que Jake les imaginait et que les deux premiers écorchés étaient Kay et l’enfant.°
Je pensais vraiment que ce thriller ferait mouche, mais même si ma lecture ne m’a pas déplu, je suis quand même un peu déçue. Surtout que j’aurais aimé plus d’explications finales. Étant donné que je connaissais déjà la chute, j’espérais au moins avoir des réponses à d’autres questions, des précisions… Tant pis !
Un petit mot sur le format Point 2 que je découvre avec ce roman : j’étais sceptique, mais j’adhère totalement. Sur la plage, je l’ai trouvé très pratique pour lire dans n’importe quelle position sans avoir de crampes aux bras. À emporter partout dans sa poche ! Par contre, il va se perdre entre les GF de ma bibliothèque, il faudra peut-être que je lui achète des amis ! Quoi que, 11 € pour ce petit poche, je vais encore réfléchir…
Attention...ce talent est canadien.....il n'est pas suédois, ni des US.....et il a un talent fou.....
L'essentiel tient dans le personnage, à mi chemin entre Jack Reacher et Harry Hole.....des zones d'ombre, membre du FBI, un passé flou, des souvenirs qui le sont tout autant.... mais surtout le père, omniprésent dans tout le livre, presque le personnage principal du livre, par son caractère, son génie pictural....et une intrigue qui va crescendo. L'atmosphère devient asphyxiante, impression accrue par les intempéries liées à l'ouragan qui arrive....le ciel est bas et lourd comme un
couvercle, cela ne vous rappelle rien ? le spleen de Baudelaire ( "Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle, Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits....)
Vous avez saisi l'ambiance ? vous y êtes......mettez y des crimes très sanguinolents..... je vous defie de fermer le livre avant la dernière ligne.....et quelle fin, mais je n'en dis pas plus
C'est le poche à lire !!!!
C'est un premier roman...quelque chose me dit que cet écrivain va être attendu au tournant !!
Bon, il faut que je m'en remette, moi.....qu'est ce que je commence comme livre ? Au risque qu'il paraisse bien fade...
Un thriller qui a le mérite d'être peu commun dans ses thématiques et ses ressorts, très axés sur la confrontation avec la folie: un détective du FBI au passé sulfureux et torturé (jusque là, rien de bien original, nous sommes d'accord), qui va revenir sur ses origines familiales troubles quand son père, artiste contemporain de renommée mondiale, perd la tête jusqu'à s'automutiler, alors qu'en même temps une mère et son fils sont découverts écorchés vifs... Appelé à enquêter sur cette affaire, il va vite y trouver des liens, mais des liens vraiment très cachés.... En remontant la piste de ces messages mystérieux et effrayants, le héros prend une épaisseur intéressante et son enquête est passionnante. La fin est inattendue, mais m'a semblé un cran en dessous par rapport au reste de l'ouvrage...
J'ai eu du mal à entrée dedans au début, puis j'ai commencé à avoir peur, au point d'arrêter ma lecture quelque jours pour reprendre mes esprits....puis j'ai repris et là...j'ai continué à avoir très très très peur jusqu'au dénouement final à glacer le sang! Un livre à placer aux côtés des plus grands, qui n'est pas sans rappeler un des plus grands polars de tous les temps (que je ne peux pas citer au risque de donner une idée sur le dénouement). Une lecture qui avait mal débutée et dont je vais avoir du mal à me remettre finalement!
j'avais écouté de bonne critique sur ce polar qui mêle notion artistique et enquête autour d'effroyable crime. Tout est bien ficelé , on se prend dans l'intrigue entre un père atteint d'alzeimer, un fils qui ne trouve pas sa place le tout accentué par l'arrivée d'un ouragan.
Très bon final, bref, a lire de toute urgence.
Comme l’indique la sobre et éloquente couverture, c’est pièce après pièce que se construit ce roman…jusqu’à la dernière pièce. Et bien malin qui pourra la poser avant les autres. Je me suis bien laissé prendre ; par l’histoire qui happe le lecteur, et par le vilain qui s’est bien joué de moi tout au long de ces 400 pages. Pour mon plus grand bonheur.
Tout tourne autour de Jake revenu dans la maison de son père , peintre fécond en pleine démence, et qui se voit embarqué sur une sombre histoire de meurtre. Jake a certains pouvoirs, et cela intéresse beaucoup la police
locale. A l’extrémité de Long Island, l‘ambiance n’est pas des meilleures, d’autant que l’ouragan du siècle pointe le bout de son œil.
Comment, à partir d’un millier de toiles, l’auteur va peindre à son tour une seule et même toile qui va livrer sa propre vérité ?
Si Robert Pobi, antiquaire de son état, remet le monde de l’art au centre de son histoire, comme Jesse Kellerman l’avait fait avec les visages, j’ai trouvé que Pobi l’avait utilisé de manière on ne peut plus subtile et machiavélique, pour servir au lecteur un thriller qui sort des sentiers battus.
Les personnages ont tous une personnalité très bien exploitée. Tout au long de ce roman, ce sont ces mots qui reviennent à Jake « écorché vif » Ecorchées, comme le seront toutes les victimes, écorché comme Jake qui cache bien des zones d’ombre, écorchée comme sa femme, elle aussi particulière, écorché comme le père dont on dit qu’il est fou…mais l’est-il vraiment tant que cela ?
Le ton est juste, bien dosé entre le beau parlé, et celui un peu moins classieux qui sied si bien au FBI. Si les scènes décrites ont de quoi combler les amateurs du genre sans tomber dans l’extrême ; ceci dit, parfois, il faut rester accroché à son livre…heureusement, il s’agit d’une fiction !!!
La tension générée par la succession de meurtres, et de disparitions, est alimentée par le stress bien palpable qui va crescendo alors que l’ouragan arrive et s’abat sur la région…
Voilà, à mon humble avis, un premier roman abouti ; et un auteur à suivre.
Un petit bémol cependant, enfin deux… une quatrième de couverture qui en dit un peu trop, et le titre anglais the bloodman qui convient mieux que l’invisible.
Encore une fois, cette maison aura su me surprendre, et me captiver.
Un excellent thriller, comme je les aime, et comme je continuerai à apprécier d'en lire! Quelques imperfections, dues au fait que c'est le premier roman de Robert Pobi, et un dénouement un peu trop prévisible arrivé aux 2/3 pour ceux qui comme moi sont de gros consommateurs.
Mais malgré tout, une atmosphère sanguinolente jouissive qui nous va droit au coeur dans ces moments morisité! ;-)
Pour un premier roman, c'est un véritable coup de maître ! Non seulement ce thriller est extrêmement bien construit, mais en plus il est très bien écrit, ce qui évidemment ne gâche rien à l'affaire !... bref, un de ces grands polars qui vous hantent bien longtemps après avoir refermé la dernière page.
Mais attention : âmes sensibles, passez votre chemin...
Pitoyable!Une succession de poncifs,des personnages tous plus caricaturaux les uns que les autres.On aurait souhaité que le tueur....oh!...et puis non,ce qu'on aurait souhaité, c'est de ne pas avoir acheté ce "livre".
A éviter!!!!!!
Avec « l'Invisible », Robert Pobi fait une entrée fracassante dans l'univers du thriller .
Après 30 années d'exil, Jake Cole, profiler au service du FBI, revient à Montauk, en Nouvelle Angleterre, pour s'occuper de son père, un peintre très célèbre mais qui a progressivement sombré dans la démence et qui vient d'être hospitalisé en urgence après un grave accident.
Très vite les réminiscences d'un vieille et inextinguible animosité entre le père et le fils refont surface. La découverte macabre des cadavres atrocement écorchés d'une femme et de son enfant ainsi que l'arrivée imminente d'un monstrueux ouragan vont exacerbé la tension à son paroxysme, jusqu'au final, digne du maître de l'angoisse Stephen King !
Servi par une atmosphère oppressante et presque claustrophobique , L'invisible, premier roman de Robert Pobi, est un thriller en forme de puzzle, sombre et réussi.