L'homme qui avait tout, tout, tout

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Miguel Angel Asturias et Jacqueline Duhême - L'homme qui avait tout, tout, tout.
L'Homme qui avait tout, tout, tout, quand les serviteurs oubliaient de refaire son lit de sel blanc, de sel gros, se réveillait avec d'énormes boulons... Lire la suite
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Résumé

L'Homme qui avait tout, tout, tout, quand les serviteurs oubliaient de refaire son lit de sel blanc, de sel gros, se réveillait avec d'énormes boulons dans ses narines transformées en écrous, avec des restes de locomotives sur les bras, des roues de voitures rouillées dans les oreilles, sans compter les marteaux, tenailles et autres ustensiles avec lesquels il fallait qu'il se bagarre pour enfin sortir sa tête et crier : " Au secours ! "... De Rome où il est retenu prisonnier pour avoir dérobé ses biens sacrés à notre sainte mère l'Eglise, au cirque Babylone où il exécute des exercices de magnétisme somnambule avant de finir dans une amphore, les aventures de l'Homme qui avait tout, tout, tout doivent à l'inépuisable imaginaire de Miguel Angel Asturias leurs rebondissements aussi inattendus que surréels.

Caractéristiques

  • Date de parution
    30/10/1999
  • Editeur
  • ISBN
    2-02-038032-3
  • EAN
    9782020380324
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    89 pages
  • Poids
    0.265 Kg
  • Dimensions
    14,5 cm × 21,9 cm × 0,7 cm

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À propos des auteurs

Miguel Angel Asturias, de sang espagnol et indien, est né en 1899 au Guatemala. Il passe son enfance à Salama où sa nourrice lui raconte les légendes des Indiens et laisse entrer en lui toute la beauté des formes et des couleurs du paysage guatémaltèque. Plus tard, il le décrira lui-même ainsi : " Guatemala. Paysages endormis dans la lumière. Enchantement. Splendeur. Pays vert. " Asturias poursuit ses études dans le Paris des années vingt et réinterprète en Sorbonne les valeurs indiennes à travers les textes de l'antiquité maya. Il n'oublie pas non plus la langue et la culture espagnoles qui seront pour lui de magnifiques outils pour écrire ses œuvres. Asturias reçoit le prix Nobel de littérature en 1967. IL meurt en 1974, ayant légué tous ses manuscrits à la Bibliothèque nationale. Jacqueline Duhême, née en 1927, a été aide d'atelier chez le peintre Matisse, mais aussi journaliste pour Elle et peintre cartonnier. Elle a mis en image de nombreux textes d'auteurs tels que Paul Eluard, Jacques Prévert, Maurice Druon, Raymond Queneau, Claude Roy, Gilles Deleuze. C'est pour elle, pour ses images, que Miguel Angel Asturias a écrit L'Homme qui avait tout, tout, tout, un conte philosophique dont la morale pourrait être qu'il vaut mieux profiter de tout ce que la vie vous offre à regarder, à sentir et à toucher plutôt que de vouloir en être propriétaire. Jacqueline Duhême parle aujourd'hui encore avec passion de sa rencontre avec l'écrivain : " Miguel comme un masque de terre cuite aztèque, grand, large comme un oiseau protecteur ; beau, altier, prince de ses forêts guatémaltèques dont il parlait si bien, de ses collines couvertes de caféiers odorants, des lacs miroirs du ciel... "

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