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À découvrir
Cette histoire se déroule en Alaska. Bess recherche un petit garçon égaré dans la tempête de neige. Elle a peur pour lui. Comme un puzzle qui raconte l’histoire de plusieurs personnages, leur biographie, leur parcours de vie, tous les éléments se rassemblent à la fin. Les bons et les méchants ne sont pas toujours ce que l’on croit. Pour son premier roman, c’est très réussie, Marie Vingtras a une belle plume, une écriture ciselée. Je le conseille vivement !
Je suis peu déçu. Je trouve que son premier livre "la vraie vie" était meilleure. Son roman "Kérozène" est un enchevêtrement de plusieurs petites histoires sans liens entre elles mise à part que ces personnages se retrouvent tous à la station service. Sinon la qualité et l'originalité d'écriture sont au rendez-vous !!
Le style littéraire est original, singulier ! Enfermé dans une prison, Duke a une façon très naïve, très simple de raconter toute sa vie avec ses mots à lui. Malgré les violences qu’il a commises, il se dégage de lui, paradoxalement, une sensibilité. D’où la beauté du roman qui est tout en nuance et en subtilité. Duke finit par trouver le chemin de la rédemption. De mon point de vue, ce roman questionne notre humanité, la violence de la société qui ne finit pas de se ressourcer et de se perpétuer.
la vie d'un très grand poète très bien raconté ! Seul bémol, l'accent est plus mis sur la vie que sur le génie de Baudelaire ! C'est là tout le paradoxe du génie !
Franchement, cela ressemble plus à un fourre tout littéraire, historique, ésotérique et philosophique. Souvent trop érudit, à mi chemin entre l'essai, plus de l'essai que du roman. Difficile à lire par moment. J''ai été un peu déçu. Heureusement, j'ai aimé la fin.
Pour un premier roman pour adulte, j’ai beaucoup aimé. Kiran Millwood Hargrave a beaucoup de talent. En quelques mots, on est en 1617 en Norvège dans un village paumé prés de la mer. Une violente tempête emporte 40 marins sur les flots. Tous périssent. L’on découvre au fil de l’histoire des femmes de marins indépendantes, fières, révoltées et qui, à l’encontre, des croyances et des valeurs de l’église, vivent et survivent en toute autonomie. Mais un émissaire du roi très catholique, avec une réputation de chasseur de sorcière, débarque sur cette terre inhospitalière…
Ce n’est, selon moi, pas le meilleur cru d’amélie Nothomb ! Même si cette histoire, les aérostats, est assez intéressante. Surtout les dialogues. On est à Bruxelles. Ange est une jeune fille de 19 ans terriblement sérieuse qui suit des études de philologie. Elle donne des cours de français, de dictions à Pie qui ne sait pas lire. Il est dyslexique. C’est un jeune garçon de 16 ans, renfermé et solitaire, surdoué mais complètement délaissé par ses parents. Il apprend très rapidement à lire. De nombreux passages et explications littéraire comme Le Rouge et le Noir de Stendhal, dans ce livre, peux donner le goût de la lecture aux plus jeunes. Pourquoi ce titre ? Les aérostats (zeppelins, montgolfière) semblent être une métaphore d’Ange et Pie qui rêve de s’envoler vers de nouveaux horizons, de prendre leur liberté, vers de nouvelles rencontres, d’amour et d’amitié.
Je préfère « la Vérité sur l’affaire Harry Quebert ». C’est son meilleur roman. L’histoire est beaucoup plus travaillée et plus vraisemblable que « l’Énigme de la chambre 622 ». Ce n’est que mon avis cependant. Je trouve que la construction de son roman « L’Enigme de la chambre 622 » ressemble plus à une pièce de Marivaux qu’à un roman. Les nombreux chassés croisés amoureux des personnages, leurs psychologies, coups bas, impostures et trahisons en témoignent. Un point positif, on ne s’ennuie pas, il y a de nombreux rebondissements, de l’action, des effets de surprises. Pour résumer rapidement : le conseil de la banque suisse va élire son nouveau président lors du Grand Week-end au sein du Palace Verbier. Un meurtre a eu lieu. Pour connaitre le nom de la victime, il faut attendre plus de la moitié du livre. C’est un bémol mais le meurtrier est bien dévoilé qu’à la fin. C’est un point positif. Ce qui nous tient en haleine pour le lire jusqu’au bout.
Dans les années 50, Kya est une petite fille qui vit dans les marais avec sa famille. Un jour, sa mère part et l’abandonne, puis s’ensuivent ses frères et sœurs. Elle se retrouve seule avec son père alcoolique et violent un long moment. Puis son père l’abandonne à son tour. Kya va devoir apprendre à vive toute seule, à l’écart des gens de la ville. Mais certaines personnes l’aideront. Elle apprendra également à lire. Cette histoire est un mélange de Tom Sawyer et de Robinson Crusoé. Délia Owens décrit à merveille les beautés de la faune et flore !
Remarquable
Ce roman historique épistolaire de la Renaissance italienne du 16ème siècle est très bien documenté.
Le célèbre peintre Pontormo est mort d’une façon suspecte. Il travaillait depuis une décennie sur la cathédrale de Florence. Vasari mène l’enquête. Tout le monde est suspect !
De l’action, des rebondissements, de l’amour… Tous les ingrédients y sont !
L’on y découvre entre autre le fameux Michel-Ange et Catherine de Médicis également.