Cher Vous,
Pauvre Hubert Bonisseur de la Bath !
Le pauvre gars décide de s’octroyer un peu de bon temps à Tokyo, histoire de récupérer un peu... mais c’est sans compter un regard qui va le fourvoyer…
Pense donc, une histoire de chantage !
Lui, bon gus, accepte de filer un coup de main à l’antenne locale de la CIA, juste pour donner son avis. Sauf que quand il voit les yeux de la donzelle, il a comme un picotement dans le bas-ventre, le genre de truc qui fout un bonhomme en carafe… et le plonge dans la fosse à emmerdes.
Seconde réédition des aventures d’OSS 117 que je relis,
et je dois t’avouer que c’est encore une fois avec grand plaisir.
Bien sûr, les pisses-vinaigre et autres mauvais coucheurs te diront que ce n’est que du roman de gare. Certes, c’est un fait, mais le roman de gare fait partie de la littérature, et c’en est même un des piliers fondateurs, alors pourquoi bouder son plaisir ?
Ça se lit rapidement, le temps d’un petit trajet en train hein, et cela te fait passer un bon moment.
Juste avant d’aller poser ton cul au ciné pour aller voir Jean Dujardin interpréter le héros de Jean Bruce, n’hésite pas à faire un retour aux sources…
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/09/19/39140855.html
Retrouver OSS117 en Poche, le bonheur !
Cher Vous,
Pauvre Hubert Bonisseur de la Bath !
Le pauvre gars décide de s’octroyer un peu de bon temps à Tokyo, histoire de récupérer un peu... mais c’est sans compter un regard qui va le fourvoyer…
Pense donc, une histoire de chantage !
Lui, bon gus, accepte de filer un coup de main à l’antenne locale de la CIA, juste pour donner son avis. Sauf que quand il voit les yeux de la donzelle, il a comme un picotement dans le bas-ventre, le genre de truc qui fout un bonhomme en carafe… et le plonge dans la fosse à emmerdes.
Seconde réédition des aventures d’OSS 117 que je relis, et je dois t’avouer que c’est encore une fois avec grand plaisir.
Bien sûr, les pisses-vinaigre et autres mauvais coucheurs te diront que ce n’est que du roman de gare. Certes, c’est un fait, mais le roman de gare fait partie de la littérature, et c’en est même un des piliers fondateurs, alors pourquoi bouder son plaisir ?
Ça se lit rapidement, le temps d’un petit trajet en train hein, et cela te fait passer un bon moment.
Juste avant d’aller poser ton cul au ciné pour aller voir Jean Dujardin interpréter le héros de Jean Bruce, n’hésite pas à faire un retour aux sources…
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/09/19/39140855.html