Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Nicolas Bouvier (1929-1998) écrivain-voyageur ? Sans doute, mais d’abord écrivain tout court, et puis aussi Genevois, poète, photographe… À seize...
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Nicolas Bouvier (1929-1998) écrivain-voyageur ? Sans doute, mais d’abord écrivain tout court, et puis aussi Genevois, poète, photographe… À seize ans, celui qui s’emploiera à « raconter le voyage pour apprendre à écrire » sait qu’il veut sillonner le monde et inventer un art de la vie.Ce portrait se fonde sur des documents inédits - correspondance, feuilles de route et carnets. François Laut, qui a connu son personnage, a également interrogé ses proches. C’est donc un Bouvier intime qui nous est raconté, introspectif, souvent déprimé, toujours ironique, pleinement artiste. On le suit dans les voyages qu’il n’a pas racontés et dans ce qu’il a tu de ses voyages racontés. On le voit batailler avec l’écriture et ses démons intimes ; on le voit vivre, aimer, souffrir en consumant son existence.Né en 1953, Parisien de mère genevoise et romancier, François Laut a beaucoup voyagé et longtemps vécu au Japon. Sa biographie de Nicolas Bouvier a été saluée par la critique.« Enfin une biographie » (Lire).« Une belle biographie sentimentale » (Le Point).« Tout le contraire de ces biographies obèses que tourmente le désir de tout dire (Le Nouvel Observateur).« En évitant toute paraphrase, François Laut éclaire avec ferveur et délicatesse une œuvre magnifiquement ciselée » (Le Magazine littéraire).« Le retour méticuleux à des sources indiscutables fait de cette biographie le véritable roman d’une vie qui gagne en épaisseur et en mystère à chaque chapitre » (La Croix).