Tohu-Bahut
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages120
- FormatePub
- ISBN978-2-268-09879-1
- EAN9782268098791
- Date de parution01/02/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille464 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Rocher
Résumé
Bienvenue à Hector-Luneau, grande cité scolaire parisienne, en ce jour de prérentrée ! Une ruine et une ambiance délétère. Ça jacasse, ça s'agite, ça réclame, ça se lamente. C'est Tohu-bahu. Vetraz reprend l'enseignement après un long séjour à l'étranger; Chloé est collégienne, plutôt mutine. Fefeu, c'est le latiniste hanté par la décadence ; Kétidja, elle, a souffert dans ce lycée pour poursuivre ses études ; l'angliciste Ignolin endure depuis des années ; quant à Agnès, elle débarque du 93 avec un moral à toute épreuve.
Chacun de ces personnages, tour à tour, fait la chronique d'une année scolaire, où, sur fond de guerre en Irak et de grève, défile toute la communauté scolaire. De difficultés en humiliations, de bonnes volontés en fantasmes, de drôleries en cruautés, chaque voix dit son histoire, sa vérité. Mais on dirait un théâtre d'ombres : on ne communique plus vraiment, les relations humaines se réduisent à des pulsions, des réactions.
La solitude de chacun, au fond, est terrible. Une fiction qui met en scène le nihilisme de l'Education nationale, sans complaisance mais non sans ironie et humour.
Chacun de ces personnages, tour à tour, fait la chronique d'une année scolaire, où, sur fond de guerre en Irak et de grève, défile toute la communauté scolaire. De difficultés en humiliations, de bonnes volontés en fantasmes, de drôleries en cruautés, chaque voix dit son histoire, sa vérité. Mais on dirait un théâtre d'ombres : on ne communique plus vraiment, les relations humaines se réduisent à des pulsions, des réactions.
La solitude de chacun, au fond, est terrible. Une fiction qui met en scène le nihilisme de l'Education nationale, sans complaisance mais non sans ironie et humour.
Bienvenue à Hector-Luneau, grande cité scolaire parisienne, en ce jour de prérentrée ! Une ruine et une ambiance délétère. Ça jacasse, ça s'agite, ça réclame, ça se lamente. C'est Tohu-bahu. Vetraz reprend l'enseignement après un long séjour à l'étranger; Chloé est collégienne, plutôt mutine. Fefeu, c'est le latiniste hanté par la décadence ; Kétidja, elle, a souffert dans ce lycée pour poursuivre ses études ; l'angliciste Ignolin endure depuis des années ; quant à Agnès, elle débarque du 93 avec un moral à toute épreuve.
Chacun de ces personnages, tour à tour, fait la chronique d'une année scolaire, où, sur fond de guerre en Irak et de grève, défile toute la communauté scolaire. De difficultés en humiliations, de bonnes volontés en fantasmes, de drôleries en cruautés, chaque voix dit son histoire, sa vérité. Mais on dirait un théâtre d'ombres : on ne communique plus vraiment, les relations humaines se réduisent à des pulsions, des réactions.
La solitude de chacun, au fond, est terrible. Une fiction qui met en scène le nihilisme de l'Education nationale, sans complaisance mais non sans ironie et humour.
Chacun de ces personnages, tour à tour, fait la chronique d'une année scolaire, où, sur fond de guerre en Irak et de grève, défile toute la communauté scolaire. De difficultés en humiliations, de bonnes volontés en fantasmes, de drôleries en cruautés, chaque voix dit son histoire, sa vérité. Mais on dirait un théâtre d'ombres : on ne communique plus vraiment, les relations humaines se réduisent à des pulsions, des réactions.
La solitude de chacun, au fond, est terrible. Une fiction qui met en scène le nihilisme de l'Education nationale, sans complaisance mais non sans ironie et humour.