Tout y est dans le style romanesque: haine et amour, amitié et trahison, argent et misère, pouvoir, justice et vengeance, cruauté et tendresse.
Bien écrit, on est pris dans le tourbillon de l'Histoire entre deux époques et deux continents.
Mais, à mon sens, on oublie aussi vite ce roman qu'on s'y est laissé emporter.

Deux époques, deux lieux différents, deux histoires et un personnage qui lie le tout...
Le dernier des nôtres nous parle d'un homme : Werner Zilch. C'est le personnage principal, il vit à Manhattan en 1969. Lors d'une sortie au restaurant, il tombe éperdument amoureux d'une femme, comme ça, en un seul regard. Avec l'aide de son ami, il met tout en oeuvre pour se faire remarquer par la jeune femme et après un tour abracadabrant, ses efforts vont payer. Nous suivons donc d'un côté Werner et Rebecca dans leur histoire d'amour naissante.
D'un autre côté, nous sommes plongés dans les années 40, plus précisément en 1945 lors de la Seconde Guerre mondiale. Là, l'histoire se passe en Allemagne, à Saxe. Une femme, Louisa, est en train d'accoucher alors que les bombardements ne cessent de détruire la ville. Elle sait qu'elle va mourir, c'est pourquoi elle se sent obligée de confier son enfant à un soldat.
Les chapitres s’alternent alors entre les deux histoires pour finir par se rejoindre sur une intrigue absolument grandiose et bluffante. La suite → http://www.leslecturesdelily.com/2017/02/le-dernier-des-notres-ecrit-par.html#more
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