Le châtiment des élites - Grand Format

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Il n’existe pas de cercles de pouvoir dont la richesse ne soit établie sur le vol, l’usurpation et le meurtre. Dans la République en danger, les... Lire la suite
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Résumé

Il n’existe pas de cercles de pouvoir dont la richesse ne soit établie sur le vol, l’usurpation et le meurtre. Dans la République en danger, les hommes sont la proie des éléments. Les rivières emportent les âmes, le ciel sélectionne ses cibles et le soleil aveugle les justes. Sous le sceau du secret d’État, la république est la proie d’un prédateur ! Les têtes des élites de la nation roulent dans des caniveaux insalubres.
Les hommes les plus influents des sphères économiques et politiques paient de leurs vies l’appartenance aux cercles de pouvoir occultes. Dans l’ombre se dresse un justicier sans visage dont les mobiles restent mystérieux. Seules la ténacité et la fulgurance de ses intuitions permettront à l’anticonformiste commissaire Brocca de démêler les fils d’une enquête engluée dans les méandres des sociétés secrètes.
Brisé par le souffle du passé, celui pour qui l’autorité ne fera jamais force de loi se laissera entraîner par les vents incertains de la rédemption. Des bords de la Vologne aux Saintes-Maries-de-la-Mer, la piste se heurte à des jalons sanglants : sociétés secrètes, princesse gitane, ordre nouveau et amour trouble. Au bal mortel des cercles de pouvoir, qui porte le masque ?

Caractéristiques

  • Date de parution
    09/08/2011
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-8195-0095-7
  • EAN
    9782819500957
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    397 pages
  • Poids
    0.486 Kg
  • Dimensions
    13,7 cm × 21,1 cm × 3,2 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Giampiero Marongiu

50 ans, chef d’entreprise et français du monde. Expatrié perpétuel, Giampiero Marongiu mêle aux cultures d’ailleurs les accents de sa France natale. Qui je suis, d’où je viens ? Ma seule certitude est que j’ai dû naître quelque part en méditerranée au large de Marseille. Un jour de mistral sans doute si j’en juge par la difficulté que j’ai toujours éprouvée à lutter contre le courant. Quand je pense à ce jour lointain du mois de mars 1960, la première image qu’i me vient en mémoire, c’est la statue dorée qui veille sur le port.
Notre Dame de la Garde, illuminée de soleil qui s’élève dans un ciel bleu sans concession, comme si elle flottait dans l’air au-dessus de la ville. J'ai, au fond du coeur, ce bleu qui n'existe que dans l’idée que l’on se fait du ciel, et le sourire de cette vierge qui est celui de toutes les mères. Ce qui me définit mieux que les mots, les dates ou la liste infinie de mes erreurs, ce sont les sensations, ces morceaux d’émotion qui s’accrochent à la peau.
La première d’entre elles est le goût du sel sur les lèvres. Ensuite, c'est la perception du vent qui remue les idées, qui nettoie les oreilles et qui parfois poursuit sa route jusque dans les recoins les plus poussiéreux de la conscience. Il y a les odeurs aussi, celles d’Orient, d’Asie, d’Afrique et d'alentours. Ces odeurs, qui comme les accents qu’elles emportent flottent dans l’air avant de s’accrocher dans une rue, un quartier, un village.
Il ne me viendrait pas l’esprit de les chasser pour aseptiser mon paysage. Elles m'ont toujours été nécessaires et vitales. Et enfin, il y a le goût. Celui du basilic, du thym, du fenouil, de l’ail, l’huile d’olive et de l'anis. Il m’en a fallu du temps pour réaliser qu'au bout de tout, je n'avais finalement jamais quitté la rue où j’ai grandi. Je ne la voyais plus, ou bien, était-ce que je regardais ailleurs ? Elle était pourtant toujours avec moi en travers de mes errances.
Toujours là, dans les recoins les plus sombres où j’ai traîné mes illusions. C'est la lumière d'un sourire, pas celui d'une statue, mais celui d'une femme, qui comme un phare dans la nuit qui me reconduisit à bon port. Ma rue, elle, n’avait jamais changé de place. La statue de la vierge non plus n’a pas changé, c’est toujours avec le même regard indulgent qu’elle veille sur les marins qui ont pris le large.
Il m'arrive, les jours de mistral, d'entendre une voix murmurer que le vent ne change jamais de direction, ce sont les hommes qui parfois lui tournent le dos. Et si je ne suis pas rentré au bercail, c’est peut-être parce que je ne l’ai jamais quitté ce rivage qui me colle à la peau. Alors, j’écris pour les femmes qui sourient et pour les hommes qui s'épuisent à nager à contre-courant.

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