D’une finesse remarquable, fragile à l’os des sentiments les plus dénudés, de sociologies intimes qui s’effritent, La justice des hommes, sonde avec une grâce mystérieuse la vie d'un couple qui bascule, ce qui se cache en chacun de nous, ce qui se tait, les ombres de la solitude mêlées de silences et de chimères.
L’existence dans toute sa complexité.
Santiago H. Amigorena fait de cette histoire d’amour qui se rompt dans la douleur un texte magnifique d’intelligence, de profondeur et de sensibilité parce qu’il parle de la vie, de nos vies, d’amour et de séparation,
de déchirements, de filiation, de ce qui demeure, de ces lieux intimes à préserver malgré tout.
Ces fébrilités qui caressent nos incertitudes et nos excès, ces petits bouts d’enfance qui résonnent comme autant de tendresse et de douleurs malaxées font de ce roman un moment infiniment beau, de son humanité arpentée, des questions suspendues qu'il aborde avec une justesse des plus émouvante.
La justice des hommes.
D’une finesse remarquable, fragile à l’os des sentiments les plus dénudés, de sociologies intimes qui s’effritent, La justice des hommes, sonde avec une grâce mystérieuse la vie d'un couple qui bascule, ce qui se cache en chacun de nous, ce qui se tait, les ombres de la solitude mêlées de silences et de chimères.
L’existence dans toute sa complexité.
Santiago H. Amigorena fait de cette histoire d’amour qui se rompt dans la douleur un texte magnifique d’intelligence, de profondeur et de sensibilité parce qu’il parle de la vie, de nos vies, d’amour et de séparation, de déchirements, de filiation, de ce qui demeure, de ces lieux intimes à préserver malgré tout.
Ces fébrilités qui caressent nos incertitudes et nos excès, ces petits bouts d’enfance qui résonnent comme autant de tendresse et de douleurs malaxées font de ce roman un moment infiniment beau, de son humanité arpentée, des questions suspendues qu'il aborde avec une justesse des plus émouvante.