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En la Barcelona de finales de los anos 50, Daniel Sempere ya no es aquel nino que descubrió un libro que habría de cambiarle la vide entre los pasadizos del Cementerio de los Libros Olvidados. El misterio de la muerte de su madre Isabella ha abierto un abismo en su alma del que su esposa Bea y su fiel amigo Fermin intentan salvarle. Justo cuando Daniel cree que está a un paso de resolver el enigma, una conjura mucho más profunda y oscura de lo que nunca podría haber imaginado despliega su red desde las entranas del Régimen.
Es entonces cuando aparece Alicia Gris, un alma nacida de las sombras de la guerra, para conducirlos al corazón de las tinieblas y desvelar la historia secreta de la familia... aunque a un terrible precio. El Laberinto de los Espíritus es un relate electrizante de pasiones, intrigas y aventuras. A través de sus páginas llegaremos al gran final de la saga iniciada con La Sombra del Viento, que alcanza aquí toda su intensidad y calado, a la vez que dibuja un gran homenaje al mundo de los libros, al arte de narrar historias y al vínculo mágico entre la literatura y la vida.
Une fin qui vaut le détour!
Ma première impression sur ce livre: il est énorme, à tel point qu’il est difficile à tenir et que pour le lire je suis obligée de la poser à plat. Le plus, c’est que le site de la librairie espagnole sur lequel je l’ai commandé m’a fourni un lien pour obtenir une carte de Barcelone et une de Madrid avec les principaux lieux où se déroulent les évènements des 4 tomes, ainsi qu’un espèce d’arbre de lien entre les différents personnages des 4 tomes.
Ce tome devient intéressant aux alentours de la centième page. De manière générale, ce tome est très prenant, empli de suspens mais,vu qu’il est énorme, quelques fois j’avais l’impression que je n’arriverai jamais au bout de ma lecture. Ce tome est lié au 3 premiers tomes notamment grâce à certains personnages que l’on retrouve dans tous les tomes.
Aux environs des 650 pages, il y a un grand retournement de situation, je ne l’ai pas vu venir, on comprend qui est le tueur et c’est une grosse surprise. En parlant de révélations très importantes, on en a pour notre compte surtout dans la partie appelée « El cuaderno de Isabella 1939 ». Cette partie a une typographie différente, elle ressemble à une écriture manuelle. Isabella SEMPERE GISPERT, la mère de Daniel, a écrit dans ce cahier, une partie de son histoire, pendant les quelques jours qui ont précédé sa mort et elle nous livre tous ses secrets…
Pour les 100 dernières pages, on a juste envie de dévorer la fin de cette saga mais, pour faire durer le plaisirs et apprécier la lecture, j’ai pris le temps de les lire… Enfin presque…