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Découvrir une adaptation graphique est presque toujours agréable. Mais découvrir une adaptation graphique d’un roman de RJ Ellory ? C’est que du bonheur !
Je ne savais pas du tout que celle-ci existait jusqu’à dernièrement. Heureusement le romancier en a fait mention au cours d’une discussion, et j’ai pu remédier à ce manquement en la commandant sitôt la conversation terminée.
Et je l’ai bien entendu lue dès sa réception.
Chicagoland, pour sa version roman, n’existe en France qu’en format numérique (Sonatine, please, on rêverait d’une édition papier !).
Le
principe de l’intrigue est simple, mais diablement efficace : fin des années 50, une jeune institutrice est retrouvée assassinée.
Nous allons suivre, tour à tour, suivre l’histoire du point de vue de la sœur de la victime, du policier qui a mené l’enquête, puis de celui du tueur.
Et comme souvent avec Ellory, les apparences peuvent s’avérer trompeuses. Pour la plus grande joie du lecteur !
135 pages de plaisir pur. Le scénariste et le dessinateur ont su mettre en images l’atmosphère que l’écrivain parvient si bien à nous faire ressentir dans chacun de ses romans.
Les dessins sont simples et très beaux, la palette de couleurs idéalement choisie et le scénario est parfaitement respecté.
C’est vraiment une très belle réussite, et on referme ce roman graphique avec la même sensation de stupéfaction qu’à la lecture d’un roman papier classique.
C’est donc une bande dessinée que je recommande sans hésitation.
Elle a, en plus du mérite de nous permettre de découvrir une histoire peu connue de RJ Ellory (ce qui est déjà beaucoup !), celui de nous faire passer un excellent moment de lecture en attendant la parution de son prochain roman.
Cette belle bande dessinée, Chicagoland, est éditée par les Éditions Delcourt, est a été publiée en septembre 2015. Vous pouvez donc facilement la trouver ou la commander chez votre libraire.
Que dire de plus, puisque tout est bon dans cet ouvrage ? Juste, peut-être, deux mots : lisez-le !
Bernard Werber avait rencontré un beau succès à la parution de son roman "Demain les chats", en 2016, rapidement suivi de deux autres tomes, constituants "Le Cycle des Chats" de l’auteur.
Je n’avais pas encore pris le temps de lire cette trilogie, ni même le premier titre de celle-ci, et ayant beaucoup aimé la plume et les histoires de ce romancier il y a quelques années de ça (notamment avec son cycle des Dieux, celui des Anges, ou encore au travers de nombre de ses nouvelles), la sortie de cette adaptation en bande dessinée était l’occasion parfaite de retrouver son univers.
Malheureusement,
celle-ci n’a pas du tout fonctionné sur moi...
L’idée est très bonne et j’étais pourtant persuadée d’adhérer à l’histoire de Bastet, qui, comme tout chat digne de ce nom, estime être d’une supériorité bien plus élevée que les autres espèces, y compris les humains.
La trame ne tarde pas à lui donner raison, puisque, comme toujours, l’Homme n’a pas besoin d’aide pour courir à sa propre perte.
Mais Bastet pense pouvoir améliorer tout ça, à sa manière.
Oui, vraiment, je ne voyais pas comment ce genre d’intrigue aurait pu me laisser de marbre. Et pourtant...
Je pense que l’erreur vient de moi : j’aurais probablement dû commencer par lire le roman avant de m’attaquer à son adaptation.
J’ai vraiment l’impression que c’est entre la BD et moi que ça n’a pas fonctionné : je n’y ai (pour ma part) pas retrouvé le style de l’auteur, ni le genre d’atmosphère que je me souviens connaître de ses écrits.
Les dessins sont beaux, aucun doute là-dessus, mais je n’ai pas réussi à me perdre à l’intérieur.
Est-ce le trait ? Les couleurs ? Le fait que, fatalement, l’histoire est plus rapidement mise en place ?
Peut-être un peu de tout ça.
C’est pourtant une nouveauté que beaucoup de lecteurs ont appréciée et sur laquelle j’ai lu de nombreux beaux retours.
De mon côté j’imagine que je dois être plus hermétique à la lecture d’une BD qu’à celle d’un roman, et je tenterai donc prochainement de me replonger dans les aventures de Bastet au travers de la trilogie écrite par Bernard Werber.
Le mieux, comme toujours, est de vous faire votre propre avis en découvrant cette nouveauté.
Pourquoi avez-vous si peur, agent Travis ?
Michael serait bien en peine de répondre à cette question. Surtout qu’elle en entraîne fatalement une autre : de qui pourrait-il, ou plutôt devrait-il avoir peur ?
Promu agent spécial senior, il se voit confier sa première enquête en solo.
Pour cet homme rien ne compte plus que comprendre. Le quoi, le qui, le où et le pourquoi, sont ses moteurs, le respect et l’ordre, ses carburants.
Car il existe une explication. Toujours.
Ou pas ?
Depeché à Seneca Falls il va pourtant se retrouver confronté à une enquête qui va fortement remettre
en question toutes ses certitudes.
Et risque même de faire dangereusement vaciller son esprit.
Un cirque ambulant, une troupe étrange, des habitants aux réactions étonnantes et un cadavre retrouvé là sans raison apparente.
RJ Ellory joue une fois de plus avec son lecteur en l’entraînant dans une intrigue subtile et aux multiples ramifications.
Gros bébé de plus de 600 pages, Le Carnaval des Ombres pose son histoire en prenant son temps.
Et c’est ce qui en fait son plus grand charme.
Comme souvent, l’auteur ne se contente pas d’offrir une enquête à son lectorat. Pour lui, l’important n’est pas forcément le sujet, mais les êtres qui le composent.
Il va être question de choix et de conséquences.
De pouvoir et de secrets.
De loyauté et d’Histoire.
De souvenirs et de vérités.
À l’échelle d’un homme, d’un groupe, ou même d’un pays entier.
Le romancier aime se pencher sur cet aspect humain, Et nous offre ici un beau spectacle, porté par son imagination (mais pas que !) et servi par sa plume.
La galerie des personnages est étendue sans être trop vaste. Et chacun est si parfaitement créé par l’auteur que nous avons rapidement l’impression de les connaître.
L’atmosphère qui se dégage est, comme toujours avec lui, une réussite époustouflante ! Impossible de ne pas se croire réellement au fond du Texas, en milieu des années 50.
J’ai adoré mes perdre dans cette longue intrigue se déroulant sur un temps assez court.
J’ai adoré apprendre à connaître Michael, Laura, Chas et tous les autres.
J’ai adoré retrouver cette plume exceptionnelle.
Bref, j’ai adoré ce roman.
Du Ellory pur jus !
Pourquoi avez-vous si peur, agent Travis ?
Michael serait bien en peine de répondre à cette question. Surtout qu’elle en entraîne fatalement une autre : de qui pourrait-il, ou plutôt devrait-il avoir peur ?
Promu agent spécial senior, il se voit confier sa première enquête en solo.
Pour cet homme rien ne compte plus que comprendre. Le quoi, le qui, le où et le pourquoi, sont ses moteurs, le respect et l’ordre, ses carburants.
Car il existe une explication. Toujours.
Ou pas ?
Depeché à Seneca Falls il va pourtant se retrouver confronté à une enquête qui va fortement remettre
en question toutes ses certitudes.
Et risque même de faire dangereusement vaciller son esprit.
Un cirque ambulant, une troupe étrange, des habitants aux réactions étonnantes et un cadavre retrouvé là sans raison apparente.
RJ Ellory joue une fois de plus avec son lecteur en l’entraînant dans une intrigue subtile et aux multiples ramifications.
Gros bébé de plus de 600 pages, Le Carnaval des Ombres pose son histoire en prenant son temps.
Et c’est ce qui en fait son plus grand charme.
Comme souvent, l’auteur ne se contente pas d’offrir une enquête à son lectorat. Pour lui, l’important n’est pas forcément le sujet, mais les êtres qui le composent.
Il va être question de choix et de conséquences.
De pouvoir et de secrets.
De loyauté et d’Histoire.
De souvenirs et de vérités.
À l’échelle d’un homme, d’un groupe, ou même d’un pays entier.
Le romancier aime se pencher sur cet aspect humain, Et nous offre ici un beau spectacle, porté par son imagination (mais pas que !) et servi par sa plume.
La galerie des personnages est étendue sans être trop vaste. Et chacun est si parfaitement créé par l’auteur que nous avons rapidement l’impression de les connaître.
L’atmosphère qui se dégage est, comme toujours avec lui, une réussite époustouflante ! Impossible de ne pas se croire réellement au fond du Texas, en milieu des années 50.
J’ai adoré mes perdre dans cette longue intrigue se déroulant sur un temps assez court.
J’ai adoré apprendre à connaître Michael, Laura, Chas et tous les autres.
J’ai adoré retrouver cette plume exceptionnelle.
Bref, j’ai adoré ce roman.
Du Ellory pur jus !
D’après Dante Alighieri, l’enfer comporterait neuf cercles.
Mais il se pourrait qu’il ait sous-estimé la chose...
En tout cas les auteurs réunis dans ce recueil de nouvelles nous en proposent dix, et sincèrement chacune d’elle vaut largement un ou deux cercles du célèbre penseur italien.
La couverture et le titre vous promettent du noir, et croyez-moi vous allez être servis !
Chacun à sa façon, ils nous proposent des histoires diaboliques totalement fascinantes.
J’ai eu un gros coup de cœur pour celle de Michaël Mention. Vous passerez avec cette lecture les 28 minutes
les plus longues et stressantes de votre vie de lecteurs.
Benoit Philippon m’a, quant à lui, autant fait sourire que trembler.
Solene Bakowski nous propose un conte noir magnifique et terrifiant.
Valentin Musso nous offre une intrigue excellemment pensée et à la fin idéalement politiquement incorrecte.
Maud Mayeras nous donne une de ses histoires dont elle a le secret et qui nous envoûte pour mieux nous sidérer à la toute fin.
La nouvelle de Ghislain Gilberti, toute en ombres, ténèbres et faux-semblants, recèle bien des mystères.
Celle de Jacques Saussey nous entraîne dans un lieu où le danger n’est pas là où on l’attend.
Eric Cherrière, nous conte une troublante et sanglante histoire de famille.
Danielle Thiery nous fait savoir que la musique n’adoucit pas toujours les mœurs, bien au contraire.
Et enfin, Franck Thilliez et Laurent Scalese nous prouvent par A + B qu’une bonne trame peut se présenter... de différentes façons !
Bref, tout est bon dans Toucher Le Noir. Les intrigues, surprenantes et diverses, les plumes riches et plaisantes, les thèmes variés et inattendus...
Comme dans les deux précédents recueils, les auteurs nous entraînent en quelques pages dans des mondes d’où ne ressortons abasourdis et conquis.
Oh oui, c’est du noir, aucun doute là-dessus. Et il est là, à attendre d’être exploré sous toutes ses formes.
À portée de main.
Un texte c’est toujours du rêve mis en mots par des auteurs. À nous, lecteurs, revient seulement la charge de les visualiser.
Et avec ce recueil vous n’aurez aucun mal à le faire.
Une parution dantesque à ne pas rater ! Foncez !
L’oubli est parfois une destination. Et le silence, un des rares moyens de s’y rendre.
À bien regarder Nina Kircher, belle femme, veuve d’un photographe de renom et mère de Théo, rien ne peut laisser croire que de sombres secrets l’empoisonnement depuis des décennies.
Et pourtant.
Le jour où, sans raison apparente, elle tue un inconnu lors d’un séjour à l’hôtel, Théo comprend que ce qu’il a toujours pris pour de la pudeur ou du chagrin dans le regard de sa mère pourrait être tout autre chose. Et pour lui venir en aide, il va devoir chercher de quoi il s’agit. Même
si c’est contre son gré.
Valentin Musso a un vrai don pour créer des intrigues féroces axées sur des faits de société.
Qu’à Jamais J’oublie en est un bel exemple.
En plus de l’enquête, ce roman nous parle d’un sujet peu connu et pourtant d’une gravité phénoménale : les internements administratifs.
Si la France a assez tôt mis fin à ces enfermements barbares, il n’en a pas été de même pour la Suisse, où ils se sont prolongés jusqu’en 1981.
Derrière sa façade neutre, sage et tranquille, ce pays a toléré que des dizaines de milliers de jeunes personnes soient claquemurées dans des institutions où, bien souvent, le pire leur arrivait...
Ce nouveau thriller a donc le double bénéfice de nous distraire ET de nous informer.
Sur la forme, l’intrigue se tient parfaitement, et l’auteur s’est suffisamment renseigné pour que l’immersion du lecteur soit complète.
Le rythme est bon, l’alternance des temporalités apportant comme toujours un plus non négligeable.
Pour les personnages, même s’ils sont bien évidemment bien travaillés, il m’a manqué un peu de profondeur pour certains d’entre eux, ou du moins une humanité un peu plus soulignée.
Mais ça reste un jugement personnel et qui n’enlève en rien tout l’intérêt du sujet de ce roman.
La fin est bien pensée, comme souvent chez Valentin Musso. Elle est peut-être, cette fois, un peu plus politiquement correcte que ce qu’il sait nous proposer parfois, mais le sujet est tellement fort que je pense que ce choix est plutôt judicieux.
Encore une belle réussite pour le romancier. Cette lecture rencontrera certainement un grand succès !
Elsa Roch est décidément toujours aussi talentueuse.
Ce qui marque, ou en tout cas ce qui m’attire le plus, personnellement, c’est sa capacité à donner corps (et âme !) à ses personnages. Amaury Marsac en tête.
Avec La Fureur des Mal-Aimés, elle parvient une fois de plus à nous entraîner dans une enquête terriblement sombre, qui souligne d’autant plus la douce lueur d’humanité de certains de ses protagonistes.
Rien que ça, c’est déjà un bonheur.
Le commissaire Marsac est à bout. En cette veille de Noël il réalise une fois de plus que les monde des « Ides »
empiète de plus en plus dans son quotidien, et met à mal tout ce que la vie peut représenter beau.
Il ne sait pas encore que d’ici quelques minutes, un voile de ténèbres va de nouveau s’abattre sur lui...
La double temporalité apporte comme souvent un grand plus, et ajoute une belle profondeur à l’intrigue.
Le thème est terrible mais malheureusement bien réel, et l’auteure l’amène et le traite de manière très juste.
L’action se déroulant sur une semaine, le rythme est bien présent, et les chapitres (courts et intenses) nous poussent à tourner chaque page encore plus rapidement que la précédente.
Le personnage d’Alex est magnifique, au sens large du terme. Et la confrontation entre Marsac et lui va les entraîner (et entraîner le lecteur) dans une course folle.
Course contre la montre, contre les souvenirs, contre les douleurs, contre les terreurs, contre les apparences.
Au bout de tout cela, pour Marsac, l’espoir de faire gagner la vie, et pour Alex, l’espoir d’oublier la sienne.
Mais ces deux volontés seront-elles compatibles ?
De Paris à Nice, de 1995 à nos jours, ça a été un vrai plaisir de me laisser emporter par La Fureur des Mal-Aimés.
Si vous connaissez les romans précédents d’Elsa Roch, vous retrouverez ici toute la finesse, la délicatesse, la profondeur et la poésie dont elle sait faire preuve à chaque nouvelle histoire.
Si vous la découvrez avec ce titre, nul doute que vous rejoindrez les rangs de ceux qui attendent ses nouvelles intrigues avec impatience.
Pour les uns comme pour les autres, ce très très bon polar est à ne pas rater !
Et si on pouvait retourner dans les années 70 pour y suivre une enquête palpitante ?
C’est précisément ce que nous propose Casey Cep avec son livre, Les Heures Furieuses.
Dans les années 70, au cœur de l’Alabama, Harper Lee s’est déplacée pour assister à un procès qui retient l’attention du public : celui de Robert Burns, l’assassin du Révérend Maxwell.
Il faut reconnaître que ce bon Révérend avait le don de côtoyer les ennuis. Surtout si l’on se fie au nombre de morts suspectes qui se sont accumulées dans son entourage proche...
Quant à l’avocat chargé
de la défense de Burns, c’était auparavant celui de Maxwell, toutes les fois où il a été plus ou moins suspecté dans ces disparitions troublantes.
Pour l’auteure, l’occasion est trop belle, et elle décide d’enquêter pour comprendre les tenants et les aboutissants de toute cette affaire. Avec l’espoir d’en faire un jour son « De Sang Froid » à elle.
Et pour y parvenir, elle va effectuer un vrai travail de fourmi.
Les Heures Furieuses est un récit composé de trois parties : Le Révérend, L’Avocat, et L’Écrivaine.
Chacune d’elle permettant de faire connaissance avec Harper Lee et les principaux personnages de ce fait divers retentissant, mais également de comprendre l’évolution de cette région des États-Unis, tant au niveau social que démographique ou politique.
Casey Cep a réalisé un travail assez incroyable, et nous en offre, avec ce premier titre, le formidable résultat.
Si Les Heures Furieuses peuvent se lire comme un roman, l’intrigue se présente comme une lecture d’enquête. C’est non seulement original, mais surtout particulièrement bien fait.
En plus du fait divers en lui-même, nous apprenons également beaucoup de choses sur Harper Lee, que ce soit au niveau privé ou professionnel.
Et c’est passionnant !
Le Révérend était-il une victime innocente ou un tueur multirécidiviste impuni ?
De quel bois Maitre Radney est-il réellement fait ?
Et, surtout, qu’est devenu le manuscrit de Harper Lee retraçant toute cette affaire ?
Si vous souhaitez partir à la recherches des réponses à ces interrogations, emboîtez le pas de Casey Cep, elle s’occupera de tout le reste.
456 pages de réel plaisir de lecture !
Un roman qui vous vrille et vous transporte. Loin et longtemps.
Amélie Antoine a un don pour ça, et chacun de ses romans le confirme.
Avec « Le Bonheur L’Emportera » elle puise dans ce vivier de drames véritables qu’est la vie, et nous conte une histoire aussi étincelante que poignante.
Comme souvent avec cette auteure, je vous recommande de commencer votre lecture sans même prendre connaissance de la 4ème de couverture. Plus la surprise sera importante, plus le plaisir de lecture sera grand.
De toute façon, le risque d’être déçu est inexistant.
Ça, c’est dit.
Avec
ce nouveau titre, la romancière nous fait suivre la vie d’une famille sur une période d’un an.
Sophie. Joachim. Maël.
Mère. Père. Enfant.
Une famille comme cent mille autres. Avec ses bonheurs et ses doutes, ses failles et ses certitudes. Une famille comme tant d’autres, qui pense que la vie va de soi.
Jusqu’au jour où tout déraille.
Découvrir et fondre devant l’évolution de Maël. S’enthousiasmer du caractère conciliant et aimant de Joachim. Se révolter face à la rigidité de Sophie.
S’attacher incroyablement personnages, espérer, de chapitre en chapitre, que les choses s’arrangent.
Que les choses changent.
Et assister à LA scène. Celle qui vous broie le cœur.
Tourner alors frénétiquement les pages, dans l’espoir d’une fin heureuse.
Y sera-t-elle, cette fin ? Pour le savoir il vous faudra lire ce très beau roman.
Une nouvelle fois l’auteure parvient à nous toucher, nous secouer, nous faire prendre conscience. Avec des mots simples et justes, qui frappent l’âme et résonnent à l’esprit, jusqu’à la dernière ligne.
Et avec des thèmes toujours aussi forts, incroyablement humains.
Alors, lancez-vous. Faites la connaissance de ces trois là. Ça pourrait être vous, ou moi. Ça pourrait être n’importe qui, et c’est bien pour cela que ce roman est si vibrant. Vivant.
Une nouveauté à ne pas rater !
Un opus parfum frissons.
On avait pu le toucher, le regarder, l’écouter… cette année les auteurs rassemblés entre ces pages (et toujours sous l’excellente supervision d’Yvan Fauth) nous proposent de « Respirer le noir ».
13 auteurs, pour 12 histoires à couper le souffle.
13 conteurs qui aiment le noir et nous livrent des histoires à lire en apnée.
- RJ Ellory montre qu’un parfum peut (r)éveiller la nature d’un homme.
- Sophie Loubière prouve qu’une capacité hors du commun peut conduire à la folie. Ou à la triste réalité…
- Franck Bouysse offre un texte dont l’odeur de soufre poursuit le lecteur.
- Mo Malø crée une histoire aussi dure et belle que symbolique.
- Dominique Maisons raconte une histoire qui pourrait se retrouver aux infos de 20h.
- FX Dillard nous terrifie avec une intrigue dans laquelle chacun pourra s’imaginer… dans son pire cauchemar.
- Adeline Dieudonné nous propose un voyage dans le passé dont nous ne revenons pas indemne.
- Hervé Commère nous explique comment une vie ordinaire peut facilement basculer dans le monde d’après.
- Vincent Hauuy nous projette dans le futur tout sauf idéal.
- Jérôme Loubry se renouvelle dans une histoire où l’émotion est sublimée.
- Chrystel Duchamp nous explique comment l’amour peut (terriblement) mal tourner.
- Enfin, Barbara Abel et Karine Giebel font équipe pour une nouvelle à 4 mains furieusement actuelle et angoissante.
13 auteurs, 12 nouvelles.
Toutes autour du thème de l’odorat, dont chacun s’est emparé avec des idées bouillonnantes et un talent incontestable.