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  • Nombre de pages144
  • PrésentationRelié
  • FormatAlbum
  • Poids0.8 kg
  • Dimensions20,4 cm × 28,4 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-226-44930-6
  • EAN9782226449306
  • Date de parution28/04/2021
  • ÉditeurAlbin Michel

Résumé

Humains, ne craignez rien... Nous allons sauver votre civilisation.
Humains, ne craignez rien... Nous allons sauver votre civilisation.

Avis libraires
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1 Coup de cœur
de nos libraires
Cynthia S.Decitre Annecy
4/5
Les chats, toujours
Violence, guerre, cupidité... Quand elle remarque que l'humain court à sa perte, Bastet la majestueuse s'interroge : pourquoi ne comprennent-ils rien ? Pythagore le sage, lui, connaît déjà un grand nombre de ces réponses grâce à son passé de chat de laboratoire et sa connaissance illimitée. Ensemble, ils vont tenter de prendre la relève de l'humanité et accomplir ce que les humains ont négligé. Mais on ne sauve pas toute une civilisation sans un plan bien préparé... Un album qui se lit d'une traite, porté par un très beau graphisme ! Il manquerait seulement quelques pages en plus pour laisser le contexte et les personnages s'installer plus progressivement.
Violence, guerre, cupidité... Quand elle remarque que l'humain court à sa perte, Bastet la majestueuse s'interroge : pourquoi ne comprennent-ils rien ? Pythagore le sage, lui, connaît déjà un grand nombre de ces réponses grâce à son passé de chat de laboratoire et sa connaissance illimitée. Ensemble, ils vont tenter de prendre la relève de l'humanité et accomplir ce que les humains ont négligé. Mais on ne sauve pas toute une civilisation sans un plan bien préparé... Un album qui se lit d'une traite, porté par un très beau graphisme ! Il manquerait seulement quelques pages en plus pour laisser le contexte et les personnages s'installer plus progressivement.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Demain les chats, la BD.
Bernard Werber avait rencontré un beau succès à la parution de son roman "Demain les chats", en 2016, rapidement suivi de deux autres tomes, constituants "Le Cycle des Chats" de l’auteur. Je n’avais pas encore pris le temps de lire cette trilogie, ni même le premier titre de celle-ci, et ayant beaucoup aimé la plume et les histoires de ce romancier il y a quelques années de ça (notamment avec son cycle des Dieux, celui des Anges, ou encore au travers de nombre de ses nouvelles), la sortie de cette adaptation en bande dessinée était l’occasion parfaite de retrouver son univers. Malheureusement, celle-ci n’a pas du tout fonctionné sur moi... L’idée est très bonne et j’étais pourtant persuadée d’adhérer à l’histoire de Bastet, qui, comme tout chat digne de ce nom, estime être d’une supériorité bien plus élevée que les autres espèces, y compris les humains. La trame ne tarde pas à lui donner raison, puisque, comme toujours, l’Homme n’a pas besoin d’aide pour courir à sa propre perte. Mais Bastet pense pouvoir améliorer tout ça, à sa manière. Oui, vraiment, je ne voyais pas comment ce genre d’intrigue aurait pu me laisser de marbre. Et pourtant... Je pense que l’erreur vient de moi : j’aurais probablement dû commencer par lire le roman avant de m’attaquer à son adaptation. J’ai vraiment l’impression que c’est entre la BD et moi que ça n’a pas fonctionné : je n’y ai (pour ma part) pas retrouvé le style de l’auteur, ni le genre d’atmosphère que je me souviens connaître de ses écrits. Les dessins sont beaux, aucun doute là-dessus, mais je n’ai pas réussi à me perdre à l’intérieur. Est-ce le trait ? Les couleurs ? Le fait que, fatalement, l’histoire est plus rapidement mise en place ? Peut-être un peu de tout ça. C’est pourtant une nouveauté que beaucoup de lecteurs ont appréciée et sur laquelle j’ai lu de nombreux beaux retours. De mon côté j’imagine que je dois être plus hermétique à la lecture d’une BD qu’à celle d’un roman, et je tenterai donc prochainement de me replonger dans les aventures de Bastet au travers de la trilogie écrite par Bernard Werber. Le mieux, comme toujours, est de vous faire votre propre avis en découvrant cette nouveauté.
Bernard Werber avait rencontré un beau succès à la parution de son roman "Demain les chats", en 2016, rapidement suivi de deux autres tomes, constituants "Le Cycle des Chats" de l’auteur. Je n’avais pas encore pris le temps de lire cette trilogie, ni même le premier titre de celle-ci, et ayant beaucoup aimé la plume et les histoires de ce romancier il y a quelques années de ça (notamment avec son cycle des Dieux, celui des Anges, ou encore au travers de nombre de ses nouvelles), la sortie de cette adaptation en bande dessinée était l’occasion parfaite de retrouver son univers. Malheureusement, celle-ci n’a pas du tout fonctionné sur moi... L’idée est très bonne et j’étais pourtant persuadée d’adhérer à l’histoire de Bastet, qui, comme tout chat digne de ce nom, estime être d’une supériorité bien plus élevée que les autres espèces, y compris les humains. La trame ne tarde pas à lui donner raison, puisque, comme toujours, l’Homme n’a pas besoin d’aide pour courir à sa propre perte. Mais Bastet pense pouvoir améliorer tout ça, à sa manière. Oui, vraiment, je ne voyais pas comment ce genre d’intrigue aurait pu me laisser de marbre. Et pourtant... Je pense que l’erreur vient de moi : j’aurais probablement dû commencer par lire le roman avant de m’attaquer à son adaptation. J’ai vraiment l’impression que c’est entre la BD et moi que ça n’a pas fonctionné : je n’y ai (pour ma part) pas retrouvé le style de l’auteur, ni le genre d’atmosphère que je me souviens connaître de ses écrits. Les dessins sont beaux, aucun doute là-dessus, mais je n’ai pas réussi à me perdre à l’intérieur. Est-ce le trait ? Les couleurs ? Le fait que, fatalement, l’histoire est plus rapidement mise en place ? Peut-être un peu de tout ça. C’est pourtant une nouveauté que beaucoup de lecteurs ont appréciée et sur laquelle j’ai lu de nombreux beaux retours. De mon côté j’imagine que je dois être plus hermétique à la lecture d’une BD qu’à celle d’un roman, et je tenterai donc prochainement de me replonger dans les aventures de Bastet au travers de la trilogie écrite par Bernard Werber. Le mieux, comme toujours, est de vous faire votre propre avis en découvrant cette nouveauté.
Bernard Werber

Bernard Werber est un écrivain, réalisateur et journaliste français, né le 08 Septembre 1961, à Toulouse. Il écrit sur la spiritualité, la science fiction, la biologie et la mythologie. L'auteur considère son style littéraire comme étant de la "philosophie-fiction", un style unique en son genre. Il est particulièrement connu pour sa trilogie des fourmis qui lui a valu un grand succès.

Ses débuts d'écrivain

Dès l'âge de 14 ans, le jeune Bernard, doté d'une débordante imagination, commence à écrire des histoires pour des petites revues de bandes dessinées. Cette passion pour l'écriture le conduit, un peu plus tard, au lycée, à créer son propre journal sous le nom d'Euphorie. Il continue ainsi, à puiser sa plume dans toutes sortes de nouvelles, principalement sur la science fiction et le genre fantastique. Plusieurs de ses écrits ont inspiré des bandes dessinées. Pendant l'année de son bac, il débute sa plus grande aventure littéraire, la rédaction de son roman : Les fourmis !

Sa vie professionnelle

Le bac en poche, Werber entreprend des études en criminologie à l'Institut de Criminologie de Toulouse, en 1980. Il enchaîne avec des études de journalisme à l'École Supérieure de Journalisme de Paris, en 1982. Il devient pigiste pour plusieurs journaux tels que Libération, Le Nouvel Observateur et Le Point.


Son ambition littéraire toujours éveillée, il poursuit la rédaction de Fourmis parallèlement avec son emploi. Durant 12 ans, l'auteur réécrit son ouvrage 18 fois, avec de nouvelles intrigues à chaque fois. En 1982, Fourmis pesait plus de 1400 pages.

Quelques temps plus tard, Bernard intègre le poste de journaliste scientifique au sein du journal Nouvel Observateur, cet emploi lui a permis de se baigner plus profondément dans le domaine scientifique, notamment en réalisant un reportage sur la migration des fourmis en Afrique.

En 1990, Bernard est licencié de son poste de journaliste. Il pense aussi à abandonner la rédaction de son ouvrage car celui ci a été refusé des dizaines de fois auprès des maisons d'édition. Toutefois, le soleil a brillé à nouveau dans la vie professionnelle de Werber lors de sa rencontre avec l'éditeur Albin Michel qui, intéréssé par son manuscrit, lui demande de le réduire à 350 pages pour pouvoir l'éditer. Dure tâche, qu'il a pourtant faite. Et heureusement d'ailleurs, car en 1992, Les Fourmis voit le jour et fait un grand écho. Il est aujourd'hui traduit dans plus de 30 langues et vendu en 30 millions d'exemplaires.

L'auteur s'intéresse notamment à la vie après la mort et écrit, à ce sujet, le livreLes thanatonautes, en 1994. Il poursuit ses explorations à la fois scientifique et spirituelle en rédigeant Le rire du cyclope, Les micro-humains et La voix de la terre sous forme de Saga.

Bernard est actif dans d'autres domaines artistiques. En effet, il a peint plusieurs tableaux qu'il présente sur son site officiel http://www.bernardwerber.com/. Il a réalisé aussi des pièces de théâtre et des courts métrages.



Ses derniers ouvrages

Accueil critique

Bernard Werber est considéré comme l'un des écrivains français les plus lus dans le monde. Il est particulièrement apprécié en Corée Du Sud. En effet, l'Écho républicain le présente comme "auteur au succès incontesté"

Néanmoins son œuvre est parfois critiquée par la presse, on lui reproche souvent une rédaction rapide, brutale et qui se focalise sur l'efficacité au détriment de la forme. Certains lui reprochent de présenter des concepts scientifiques comme des réalités absolues alors que ce n'est pas le cas.


D'autres critiques sont plutôt positives comme celle de François Busnel qui le qualifie de "visionnaire dont nous avons besoin".

Prix et distinctions

  • Le Prix de la Fondation New du meilleur jeune reporter (1982)
  • Le Prix Mumm du meilleur article de l'année pour son reportage "Singapour, la ville ordinaire"
  • Le Prix des lecteurs « Science et Avenir » pour son livre Les Fourmis
  • Le Grand Prix des lectrices de « Elle » pour son livre Le Jour des fourmis (1992)
  • Le prix des lecteurs du « Livre de Poche » pour son ouvrage Le livre du voyage (1997)
  • Prix de Jules Vernes pour son livre L'empire des anges (2000)
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