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Amandine Q. n'a pas encore complété son profil
Je retrouve Christian Carayon avec Les naufragés hurleurs. Je sais qu’avec ses romans précédents, j’avais passé un bon moment de lecture. Je n’ai donc pas hésité à lire celui-ci. Et je n’ai pas été déçue.
L’auteur mélange l’historique et le psychologique.
L’intrigue se passe en 1925 à Paris et au large de l’île de Bréhat.
Grâce à l’association dont il fait partie (le Cercle Cardan), Martial de la Boissière, le protagoniste déjà présent dans le premier roman de Christian Carayon (que je n’ai malheureusement pas lu), lutte contre les charlatans qui profitent
des sciences occultes comme la divination, le fait de parler avec les morts… pour berner le monde.
A l’occasion de son enquête sur le nouveau médium à la mode surnommé Collas, Martial emmène son ami d’enfance, Alain, à un spectacle afin de découvrir des preuves de l’escroquerie. Mais le spectacle tourne mal et le médium prédit à Alain un malheur en rapport avec la mer. Il lui conseille de fuir avant de cracher de l’eau de mer en plein Paris et de s’évanouir.
Alain, pourtant marin chevronné car c’était son métier, meurt d’un accident en mer près de l’île de Bréhat. Martial ne veut en rester là et décide de mener l’enquête afin de savoir ce qui est réellement arriver à son ami d’enfance car il ne croit pas aux prédictions.
Nous suivons donc ainsi son enquête où se côtoient la mer, la religion, les sciences occultes et paranormales ainsi que des secrets de famille. L’intrigue regorge de rebondissements et de péripéties qui nous invitent à continuer notre lecture afin de savoir quelle est la suite des aventures de Martial.
Avec La preuve ultime, Peter James nous livre un roman à la Da Vinci Code avec un rythme trépidant et des révélations.
Le protagoniste, Ross Hunter, est un journaliste d’investigation en quête du papier qui le rendra célèbre. Un vieux professeur, Harry Cook, le contacte car il a reçu la preuve de l’existence de Dieu et a besoin d’une personne comme Ross pour lui servir de caution afin d’être cru. Le professeur Cook lui fournit donc 3 coordonnées géographiques mystérieuses lui permettant de découvrir cette preuve. Mais l’investigation n’est pas de tout repos : Ross se
retrouve face à des obstacles et des menaces. En effet, beaucoup ne veulent pas de cette preuve que Dieu existe et des conséquences qui peuvent en découler. Cependant, Ross se montre opiniâtre et nous emmène toujours plus loin dans sa quête.
Ce n’est pas le premier roman de Peter James que je lis…et ça ne sera pas le dernier car j’ai beaucoup aimé suivre les péripéties trépidantes du héros qui s’enchaînent à un rythme endiablé (sans mauvais jeu de mots). Peter James ne nous déçoit pas et manie le suspens avec brio.
Jeu de cartes*****
J’apprécie beaucoup les romans de Sophie Loubière. Voyant qu’elle sortait son prochain, je n’ai pas su résister et je me suis donc lancée dans cette nouvelle intrigue. Il s’agit d’une histoire familiale inspirée d’un fait divers, de l’histoire d’un frère et d’une sœur qui ne s’entendent pas bien. L’un domine l’autre. Il est question d’humiliation, de harcèlement. La protagoniste est Laurence Graissac et son frère, Thierry, est de 3 ans son aîné.
On retrouve l’importance du jeu et des cartes avec leurs significations.
Le thème principal de Cinq cartes brûlées est ainsi la manipulation mentale. On la découvre dans l’intrigue mais également chez le lecteur. En effet, grâce au suspense et aux rebondissements, on se laisse mener et guider par l’histoire et les aventures de Laurence : de son enfance avec son frère dans une petite ville du Cantal à proximité d’un poste électrique qui bourdonne sans cesse à sa rencontre avec le docteur Bernard Bashert, devenu addict au jeu, qu’elle rencontre dans le casino où elle est devenue croupière.
J’ai été surprise par la fin ce qui m’a fait adorer ce livre. Mais je n’en dis pas plus de peur de trop en dévoiler. A vous de vous faire votre idée.