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Dans la troisième humanité, on retrouve l’arrière-petit-fils d’Edmond Wells (la trilogie des fourmis, l’encyclopédie du savoir absolu et relatif) qui est un scientifique qui s’intéresse au rapetissement de la population. Il croise le chemin de Aurore Krammerer qui elle s’intéresse à la féminisation de la population. Ils vont « s’associés » et essayer de créer un humain plus petit et plus résistant.
J’ai beaucoup aimé le livre car déjà on retrouve des extraits de l’encyclopédie du savoir absolu et relatif. L’histoire est pleine d’imagination notamment sur l’explication
de l’utilité des pyramides en Egypte ou au Mexique…
J’ai beaucoup apprécié le rôle tenu par la planète Terre (Gaïa). Car dans ce livre elle est représentée comme une personne, qui parle réfléchit… et je trouve cela très intéressant. Elle nous raconte un peu son histoire.
Vivement que je puisse commencer le second volume les Micro Humains car franchement ça promet d’être vraiment bien.
Dans les Évaporés, Thomas B. Reverdy, aborde le thème de la disparition. Non pas les enlèvements, mais les gens qui décide du jour au lendemain de laisser leur famille, leur amis, leur travail…etc
Dans ce roman, nous suivons cinq chemins parallèles liés les uns aux autres par leur histoire.
Malgré le thème très dur, l’auteur l’a écrit avec beaucoup de poésie. Surtout que le plus gros de l’histoire se passe au Japon post Tsunami.
D’ailleurs l’un des chapitre le plus dur (Rêve de Fukushima) est celui qui m’a le plus touché car bien que le destin du personne soit tragique
le texte est très poétique et imagé. Le dialogue avec le renard blanc est surement mon préféré.
Après la lecture de ce livre vous n’aurez qu’une envie prendre l’avion et partir au japon.
Il me reste 30 pages à lire (que je ne souhaite pas finir tout de suite) que je vais savourer, car une fois le livre refermé, il m’aura livré tous ces secrets. Donc pour l’instant, il renferme encore ses 30 derniers secrets qu’il garde bien au chaud, même si la tentation est grande, je pense que je vais résister (même si je suis un homme faible) et les consommer avec modération.
En tout cas un grand merci à Thomas B Reverdy (je suis déjà en train de regarder pour acheter les autres livres…) et merci à Entrée Livre de m’avoir fait découvrir cet auteur que je ne connaissais absolument pas.
Une belle invitation.
Plonger, quelle belle invitation nous fait là Christophe Ono-Dit-Biot. Mais plonger dans quoi ? Dans l’eau ? Au sens littéral ou symbolique de la chose ? Car si c’est au sens littéral, on plonge dans une Piscine, un océan ou une mer ? Si c’est au sens symbolique de la chose, alors là, c’est une invitation à plonger dans l’émotionnel… Invitation d’autant plus intéressante.
Dans ce roman, nous allons, plutôt, plonger dans le sens symbolique de l’eau. Nous allons suivre ou devrais-je plutôt dire, nous allons reconstruire l’image d’une mère, d’une femme, d’une amante au travers des souvenirs de César, celui qui l’a aimé, pour son fils Hector. Nous allons découvrir une femme au fort caractère (tu m’étonnes c’est une espagnole et de surcroît Asturienne) qui pourrait presque prendre le « rôle de l’homme » dans la relation à l’autre alors que César aurait le « rôle de la femme. » Bien entendu cette image de Paz, n’est pas complète car nous n’avons qu’un seul point de vue. Elle nous est uniquement décrite au travers des yeux de César.
Plonger, c’est aussi plonger dans les personnages, nous allons être amené à vivre des choses très personnelles, on rentre dans l’intimité des personnes avec des émotions très justes, très vraies, on pourrait presque croire que l’auteur nous offre une part de son intimité tellement les émotions sont fortes. Mais encore une fois, l’histoire est incomplète, nous n’avons pas les ressenties de Paz, nous n’avons uniquement ceux de César.
Christophe Ono-Dit-Biot nous fait Plonger en plein cœur de l’amour, le vrai, le beau, mais aussi celui qui fait mal et qui a ses travers. On se rend compte, que parfois, par amour, on oublie d’être soi et qu’il arrive un moment où l’on ne peut plus avancer, on étouffe comme le dit si bien Paz. Dans ce cas-là, on prend des décisions qui font mal.
Ce livre est comme un exutoire. J’ai l’impression de César, fait se travaille sur la femme qu’il a aimé afin exorciser cette histoire et en ressortir purifié.
Le livre est très intéressant, car il fait énormément référence à des œuvres d’art, des œuvres littéraires et à la Mythologie Grecques.
Les références aux photographies que fait Paz sont telles, que l’on a l’impression de les avoir devant les yeux, mais c’est d’autant plus frustrant que l’on ne pourra jamais les voir.
J’ai beaucoup apprécié ce livre, qui a une rythmique assez soutenu, les mots sont beaux, vrais. On s’attache facilement aux personnages.