En cours de chargement...
À découvrir
Un roman attendu de Werber, dans la lignée des Fourmis puisqu'on retrouve les descendants d'Edmond Wells. Ce nouvel opus traite de l'évolution de l'humanité, des manipulations génétiques et des découvertes de nos origines, sujet déjà traité dans "le père de nos pères". Originalité de ce roman : plus de passage de l'Encyclopédie, mais un journal intime de...la planète Terre. Qui, lassée de l'espèce humaine qui la détruit, décide de se venger. Bien que sans surprise ce roman contentera tous les fans de l'auteur.
c'est l'énergie de deux livres dans un seul, puisque Gaîa est un personnage à part entière et prend une place importante dans se roman.
On y retrouvera nombres de thèmes développés dans de précèdents romans.
Des personnages attachants ou des questions existentielles seront posées, qui sommes nous et jusqu'ou l'homme ou Gaîa sont-ils capable d'aller pour leur survie.
Captivant.
C’est toujours aussi magique de découvrir un nouveau livre de ce virtuose de la pensée qu’est Bernard Werber. Dans ce roman, notre monde est sur le déclin et la question est : comment assurer la continuité du genre humain et améliorer la vie des générations futures ? La Sorbonne lance un concours relatif à l’évolution des espèces où le lauréat verra ses travaux scientifiques subventionnés totalement. Trois projets sont unis pour n’en former qu’un : la génétique, la féminisation et la miniaturisation. Voilà comment est créé, par des savants, ce nouveau peuple composé de « micro-humains ». Parallèlement, il personnalise notre terre Gaïa, la fait parler et lui fait ressentir des sentiments en lui donnant par la même occasion une pensée et une réflexion humaine. J’ai apprécié ce roman construit comme un livre d’aventures. Ce premier tome de sa nouvelle trilogie est bien dans l’ère du temps et j’attends avec impatience de lire la suite des aventures des petites « E-mach ».
Dans la troisième humanité, on retrouve l’arrière-petit-fils d’Edmond Wells (la trilogie des fourmis, l’encyclopédie du savoir absolu et relatif) qui est un scientifique qui s’intéresse au rapetissement de la population. Il croise le chemin de Aurore Krammerer qui elle s’intéresse à la féminisation de la population. Ils vont « s’associés » et essayer de créer un humain plus petit et plus résistant.
J’ai beaucoup aimé le livre car déjà on retrouve des extraits de l’encyclopédie du savoir absolu et relatif. L’histoire est pleine d’imagination notamment sur l’explication
de l’utilité des pyramides en Egypte ou au Mexique…
J’ai beaucoup apprécié le rôle tenu par la planète Terre (Gaïa). Car dans ce livre elle est représentée comme une personne, qui parle réfléchit… et je trouve cela très intéressant. Elle nous raconte un peu son histoire.
Vivement que je puisse commencer le second volume les Micro Humains car franchement ça promet d’être vraiment bien.
J'ai l'habitude de dire qu'avec Bernard Werber c'est tout bon ou tout mauvais.
Dès les premières pages, j'étais conquise, ravie de retrouver la famille Wells, mais Edmond, fait place ici à son petit-fils David, lui aussi passionné par l'extrêmement petit.
David va être engagé par Natalia Ovitz, chargée d'une section secrète de la Défense française, son but, sauver le monde.
Car à travers son héros, Weber nous passe un message fort et puissant, une prise de conscience, nous sommes beaucoup trop nombreux et beaucoup trop irrespectueux de notre planète, la tuant à petit feu.
La
plume et le style sont toujours aussi plaisants, le récit s'entrecoupe comme à son habitude par l'encyclopédie d'Edmond Wells, mais là, l'originalité suprême, est de donner, une conscience et une voie, à la terre, qui nous donne son ressentit, et son histoire, telle qu'elle l'a vécue.
Pourtant, j'y ai décelé beaucoup de longueur, je me suis même demandée si je n'allais pas l'abandonner. Puis sont arrivé les Emachs, et le roman à repris un second souffle, avec une fin magnifique.
Quant aux personnages, ils sont plutôt attachants, David à beau faire partie de la famille Wells, il me fait surtout penser à Michael Pinson, autre personnage récurent de Werber.
En conclusion :
Un roman captivant qu'y demande qu'on lui laisse un peu de temps, comme pour toute recherche en fait. C'est avec plaisir que je lirai la suite.
Cela faisait très longtemps que je n'avais pas lu Werber, j'ai d'ailleurs mis un peu de temps à lire 3ème humanité... E c'est avec un plaisir non dissimulé que j'ai retrouvé cet univers propre à Bernard Werber.
Dans "3ème humanité" il est question de 3 humanités: celle qui nous a précédé, avec une très belle représentation de l'Atlantide, celle qui nous succédera et la notre... La lecture de ce livre fait d'ailleurs échos avec l'actualité du monde...
Mais au delà de ces 3 humanités, la magie de Werber est de nous faire "entendre" la voix de la Terre, ses confidences sur sa
création, sa vie...
Et puis l'apparition des Micro Humains...que j'attends maintenant très impatiemment de retrouver dans quelques semaine.
Ayant reçu ce livre grâce aux "Jeudis critiques" (merci Entrée livre!), je m'y suis précipité avec l'enthousiasme de retrouver l'auteur des Fourmis (le seul livre de Werber que j'ai lu jusque là et que j'ai adoré). Je ne me suis pas sentie trop dépaysée : on retrouve les Wells et les extraits de l'Encyclopédie du savoir absolu. Il est difficile de dire que je n'ai pas aimé ce livre, il est agréable à lire, l'histoire se suit avec plaisir...Mais!... Mais le côté science-fiction n'est paradoxalement pas crédible. Le récit de la création de cette 3e mini-humanité m'a même parfois arraché quelques sourires d'incrédulité! Alors fans de Werber, vous serez probablement un peu déçu, mais je ne peux pas vous dire de ne pas le lire...Attendez simplement la sortie en poche, ou achetez le d'occasion.
Troisième humanité de Bernard Werber est un Werber, je ne sais pas trop comment l’exprimer, à la fois ce livre je l’ai dévoré, mais dans le même temps je me suis fais la réflexion que l’auteur écrivait toujours de la même manière.
On retrouve dans Troisième Humanité le Bernard Werber de la trilogie des fourmis. Une imagination débordante, en plus de nous faire rêver, il nous fait réfléchir sur l’état de notre planète, son devenir.
Dans ce dernier roman Bernard Werber donne la parole a la Terre, elle devient protagoniste de l’histoire. La famille Wells est présente
encore une fois dans l’œuvre de Bernard Werber et l’encyclopédie du savoir relatif est absolue toujours plus présente.
Je ne suis pas en train de dire que cela me fatigue, car comme je le disais avant Bernard Werber est un puits sans fond d’inspiration nouvelle et je suis une nouvelle fois resté accroché a son livre. Mais il semble qu’il est trouvé sa ligne directrice à ressortir a toute les sauce ces même éléments et personnages qui ont fait son succès.
Je sais que mon avis peut paradoxalement paraître assez négatif mais dans le même temps, je peux vous dire que j’attends le Tome 2 avec impatience pour connaître la destinée des emachs.,,
C'est un livre qui pour moi à déclenché beaucoup de questionnement. Il développe ou renforce l'imagination du lecteur.
Après avoir lu quelques pages je n'ai eu qu'une seule envie: lire, lire et lire.
Je le conseil et j'ai hâte de lire la suite.
Je suis immédiatement rentrée dans le récit. Bernard Werber possède le talent de vous immerger en quelques lignes seulement dans des intrigues un peu folles, un peu futuristes, mais pas trop, scientifiques, mais compréhensibles par tout le monde sans avoir un niveau bac + 12 (vive le passé de journaliste scientifique de Bernard Werber).
C'est donc un excellent conteur d'histoire qui mêle la fiction et les informations très sérieuses qui enracinent le récit un peu plus.
On rentre dans son univers car on sent bien qu'il navigue entre notre monde et un autre à peine différent. Ses
clins d'oeil à certains de ses confrèred comme Loevenbruck, ses traits d'humour, certains noms sont parfois gros comme des maisons : Jaffar, Wilkinson, l'évocation de la très sérieuse Loi de Murphy… Il y met un peu de tout dans ses livres et cette mayonnaise prend parfaitement.
J'ai bien trouvé que quelques fois, on allait un peu vite en besogne, que certains traits étaient un peu grossiers, mais cela ne m'a pas gêné plus que cela dans ma lecture en fait. Je suis passée par dessus sans peine parce que j'avais envie d'en savoir plus et d'avancer dans l'intrigue fort prenante.
Les interventions de la Terre en tant que protagoniste m'ont beaucoup plu. Je la considère effectivement comme une entité vivante et donc cette "prise de parole" n'était pas si surprenante que cela.
Les autres protagonistes sont bien calibrés, ils ont chacun leur rôle et s'y tiennent. Pour un peu, je dirai que tout est bien à sa place dans ce livre. Il est presque méthodique, scientifique ? En tant que psycho-rigide qui s'assume, cela me convient parfaitement.
J'ai pris du bon temps avec ce livre, même si je ne sais pas si je le garderai longtemps en mémoire.
Il y a des points qui vont parfaitement dans le sens de ma pensée personnelle donc ils sont déjà intégrés et d'autres que je trouve plus originaux, mais qui me laissent encore dubitative. C'est indéniablement un bon bouquin, à lire donc même pour les personnes pas fan d'anticipation, mais qui ne restera peut-être pas dans les annales littéraires (mais je peux me tromper évidemment).
Je lirai avec plaisir le tome 2 à sa parution.
Je ne suis pas une adepte des romans historiques ou de science-fiction sauf quand les auteurs parviennent à y mettre une dimension personnelle et des anecdotes humaines.
Bernard Werber a créé un univers qu'il fait vivre dans chacun de ses romans. Le lecteur se trouve ainsi chaque fois dans un milieu de connaissance.
Ainsi, un des héros de Troisième humanité est David Wells, arrière-petit-fils d'Edmond Wells l'auteur de l'Encyclopédie du savoir relatif et absolu et on trouve donc des références à la société des fourmis. Mais, le colonel Ovitz décrit l'arbre des possibles et un
de ces axes retrace l'aventure du Pavillon des étoiles.
Ici, la Terre est personnifiée et nous livre ses états d'âme ce qui est l'occasion d'évoquer les dérives du progrès avec les exploitations abusives du sous-sol pour le précieux pétrole, la déforestation, la surpopulation.
Tous les thèmes récurrents se retrouvent dans une construction habituelle qui alternent le récit des héros, les pensées de la Terre, l'écho des actualités et les extraits de l'encyclopédie du savoir relatif et absolu.
Et tout cela met en évidence le savoir et le pouvoir imaginatif de l'auteur qui a une vision éclairée de l'actualité environnementale et politique. J'aime aussi les extraits de l'encyclopédie qui nous ouvre de larges horizons, tant sur la mythologie que sur l'histoire des sciences. On peut y découvrir la vie des ornithorynques, la féminisation du lézard, la mythologie, les anecdotes familiales des parents des héros ou même la recette du cassoulet.
C'est donc un roman d'une grande richesse qui nous fait réfléchir sur l'avenir de notre planète, sur l'environnement en analysant notre histoire, nos expériences passées, nos choix de vie.
Le récit des personnages, jeunes scientifiques enrôlés par le colonel Ovitz pour travailler sur l'avenir de l'humanité et notamment la création de micro humains féminisés et résistants au rayonnement nucléaire et aux attaques bactériennes, est passionnant même si parfois, je me suis demandée où l'auteur voulait nous emmener (par exemple lors de l'épisode de la grippe égyptienne).
Je regrette que le récit dérive quelquefois sur de la fiction un peu spectaculaire ( notamment lorsqu'Aurore et David sortent en plein couvre feu pour récupérer le père d'Aurore et la mère de David) mais cela reste suffisamment occasionnel pour que l'intérêt primordial l'emporte sur le détail.
Suffisamment accrochée par ces micro-humains, les Emach, j'ai hâte de suivre la suite de leurs aventures tout aussi bien enrichies par la vision éclairée et actuelle de l'auteur et le plaisir des anecdotes de l'encyclopédie d'Edmond Wells.
Je remercie Entrée Livre de m'avoir choisie comme Lecteur VIP pour découvrir et vous parler de ce roman.
Je suis fan de Bernard Werber. J'ai lu tous ses livres.
Son dernier roman, "Troisième Humanité", que je viens de terminer n'est pas un livre que je conseillerais. Je suis très déçue.
Premièrement, je ne sais pas où l'auteur veut nous amener, il confond irrationnel et science-fiction. C'est bourré d’invraisemblances, de contrefaits. La magie de la littérature de science-fiction c'est de nous amené à croire à quelque chose de nouveau et de crédible. Et là malheureusement, il n'y a aucune magie.
Deuxièmement, il y est beaucoup référence à l'Atlantide. Depuis des siècles
le mythe atlante a engendré un nombre incalculable de théories plus ou moins farfelues. Dans ce livre, il s'agirait d'un vaste continent avec une technologie de pointe et dont les réfugiés auraient peuplé l'Égypte antique et les régions précolombiennes d'Amérique. J'ai plutôt les pieds sur terre, et je sais que cette description de ce continent correspond exactement à celle faite par Edgar Cayce (surnommé le Prophète dormant). Cette conception spirituelle de cette terre prétendument disparue est née à la fin du 19ème siècle avec Ignatius Donnelly. Donc Bernard Werber n'invente rien. Mais le pire, c'est que l'ARE (Association for Research and Enlightenment ou Association pour la recherche et l'enseignement spirituel) est une secte dangereuse qui se base sur cette théorie, dont les "croyants" s'appellent eux-même "les adeptes de Cayce".
Ce n'est pas la première fois que Bernard Werber fait référence à l'Atlantide dans l'un de ses romans. Il a fait une séance d'hypnose et en remontant ses précédentes réincarnations il s'est vu en Atlante. Il y a vraiment cru. Mais il aurait dû penser que l'esprit et notamment le subconscient peut être influencé. J'espère pour lui qu'il n'est pas devenu un adepte de Cayce. Il a été journaliste scientifique et en tant que tel, il devrait rester vigilant et ne pas nier le darwinisme et les principes de L’Évolution, ce qu'il fait dans ce roman. Il devrait penser qu'il y a des jeunes qui lisent ses écrits, et il devrait au contraire les mettre en garde contre toute forme de sectarisme. Ces jeunes pourraient croire à 100 % à ce qu'il écrit, et cela en fait un auteur dangereux. Aussi dangereux que les négationnistes le sont.
Je suis vraiment peinée de penser que ce n'est pas l'Atlantide qui a disparu mais plutôt le talent de Bernard Werber.
Troisièmement, on ne sait plus trop s'il s'agit d'un délire psychotique, induit par l'égocentrisme de son auteur, ou s'il s'agit vraiment d'une œuvre littéraire. Je suis écoeurée que Bernard Werber ait pu croire que le lecteur s'intéresse à son égo. Personnellement si j'aime cet auteur, ce n'est pas pour sa personne mais pour son talent (englouti avec l'Atlantide).
Si vous voulez avoir un aperçu de ce qu'est un livre de science-fiction raté, si vous êtes un adepte de Cayce ou si vous voulez savoir comment l'égo d'un auteur a surpassé son talent, lisez Troisième Humanité.
Nouvelle humanité?
Un excellent cru que ce dernier werber, véritable roman d'anticipation sans en avoir l'air qui pose des questions fort intéressantes sur l'avenir de l'humanité.
David Wells est le descendant d'Edmond Wells ,auteur de la fameuse "Encyclopédie du savoir relatif et absolu" et fils du savant Charles Wells qui fait une extraordinaire découverte au début du roman qui va conforter son fils dans ces recherches sur les pygmées. Il rencontre Aurore qui travaille sur les dernières Amazones qui se cachent à la frontière de la Turquie et de l'Iran. D'autres personnages vont les rejoindre sous les ordres du colonel Ovitz pour mener à bien d'étranges expériences qui vont changer la face de l'humanité! C'est le premier volume . On a hâte de lire le second!