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Il y a bien longtemps que je ne n'avais pas lu un roman aussi passionnant!
Rien qu'en lisant le résumé, j'avais déjà envie de m'y plonger et c'est ce qui m'a poussée à postuler pour le partenariat avec babelio.com .
Évidement, il s'agit d'un gros pavé, qui, au premier abord peut faire peur, mais ce premier sentiment est vite oublié dès les premières pages. En effet, au premier chapitre le ton est donné, on est tout de suite plongé dedans et on a qu'une envie : connaitre le dénouement et vite! De plus, les chapitres sont courts, ce qui en fait une lecture facilitée (à mon avis).
Tout
est réuni pour nous immerger au cœur d'un thriller palpitant : une flic hantée par ses propres démons, un homme enlevé et séquestré alors qu'il était enfant et qui a réussi à échapper à son bourreau après plusieurs années de captivité, une femme retrouvée assassinée et dont le fils reste introuvable
De rebondissement en rebondissement, on se trouve dans une histoire ficelée avec une main de maitre!
Je ne connaissais absolument pas cet auteur, , et j'avoue franchement ne pas avoir été déçue, bien au contraire! Je pense pouvoir dire sans me tromper que je me jetterais sur ses prochains livres.
Amatrice de (vrais) thrillers, je ne peux que vous conseiller ce roman, vous ne serez pas déçu, croyez moi!
Si vous attendez une fin héroïque, à l’américaine, où le héros du film survivra quoi qui l’arrive, ne lisez pas ce livre, l’auteur est français.
Ce livre vous surprendra, car rien ne se déroulera comme vous le souhaiterez où comme vous l’avez imaginé. « Le héros finissant dans les bras de la belle qu’il a sauvé, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. » Sauf que, ce n’est pas un conte de fée, c’est un thriller psychologique redoutablement bien écrit.
Comme l’assassin, l’auteur vous manipulera de l’intérieur. Vous donnera des sueurs froides, vous
empêchera de dormir.
Pourriez-vous en lisant ce livre, devenir comme Cloé : Paranoïaque ?
Mes nerfs avaient déjà été mis à rude épreuve avec "juste une ombre", j'ai donc choisi de vivre une nouvelle aventure écrite par K.GIEBEL.
Ce livre, à la progression lente, mais pour le bien du récit et pour créer chez le lecteur un attachement aux personnages principaux, nous plonge dans les histoires de petit village, au pied d'un des plus beaux endroits d'europe le lac d'Allos dans le parc naturel du Mercantour.
Pour peu que vous connaissiez le site, l'intérêt que vous vouerez à cette histoire n'en sera que décuplé.
Seulement comme à chaque fois avec cette auteure,
si la clarté des sommets et les lumineuses descriptions du spectaculaires site qu'est la lac d'Allos introduisent ce roman au travers des randonnées de Vincent, guide de montagne et personnage principal, le mauvais temps et les événements sordides prendront vite leur quartiers dans les deux tiers restant du livre, pour atteindre le summum de l'horreur et de l'angoisse, sur les 100 dernières pages.
J'ai dévoré cette histoire, menée d'une main de maître, au suspens et à l'intrigue croissants. j'ai adoré la complicité entre les personnages, le développement de leur bouleversante amitié.
La trame est construite avec intelligence, c'est racontée avec justesse et sensibilité sans être redondant au cours des 600 pages. Et les rebondissements viennent assombrir le tableau comme il faut pour mettre le lecteur dans un état de stress et de panique assez efficacement.
J’ai dévoré ce livre.J’en reste bouche bée, je n’ai pas envie d’en commencer un autre. Je vous le conseille mille fois.
L’histoire est profonde. Les problèmes psychologiques de cette jeune femme, qui a un passé lourd et difficile a vivre, la suive dans tous ses gestes. Cela va de la préparation de son dîner jusqu’aux actes de torture. Il est très sanglant, c’est vrai. La torture y est omniprésente, et Karine Giebel ne rechigne pas sur les moyens de nous faire comprendre la douleur du prisonnier. Il ne fait pas avoir le cœur fragile, mais il est tellement prenant. Ce
livre me donne envie d’en lire bien d’autre de cette auteure, très douée !
Alors là, coupe de cœur, énorme coup de cœur, immense coup de cœur. Ce livre est addictif à un point terrifiant. L’histoire est noire, sombre, tragique.
Les personnages sont attachants pour certains et haïssable pour d’autre, terriblement haïssable !
Marianne est le personnage principale du livre et malgré ce qu’elle a fait il est impossible de ne pas s’attacher à elle. J’ai pleuré durant ma lecture, ce qui ne m’arrive pas souvent, c’est assez rare un livre qui vous fait pleurer…
Forcément je n’ai pas pu lire les 988 pages d’affilée, il a bien fallu que je le
pose et là, là ce fût à chaque fois un déchirement de laisser Marianne. Je pensais à elle quasiment sans arrêt, une vraie torture mentale ce bouquin.
Et même à un certain stade de l’histoire pendant une très petite fraction de seconde je m’attendais à ce qu’on parle d’elle dans les titres des journaux télévisés, c’est dire comme ce livre vous imprègne !!
De plus avec ce livre on ne peut que se poser des questions sur le milieu carcéral.
Meurtres de rédemption est mon troisième roman de Karine Giebel et pas le dernier, cette femme est un génie !
C’est quand même énorme le pouvoir de ce livre parce que là en écrivant ma chronique les larmes me viennent….
Ce nouveau roman de Giebel est différent des précédents, c'est certain, et j'apprécie quand un auteur sait se renouveler !
Un road movie sombre et passionnant, avec des portraits humains tout en finesse et en profondeur. On apprend à connaître les deux héros de cette histoire page après page, ou plutôt kilomètre après kilomètre. On tremble pour eux, on espère avec eux, jusqu'au bout de ce voyage mouvementé C'est toujours aussi bien écrit, on y retrouve le style de l'auteur, concis, efficace, fluide Beaucoup d'émotions jusqu'à la dernière ligne Bref, j'ai beaucoup aimé ce
roman et j'attends, comme bien d'autres lecteurs apparemment, le prochain opus !
J'ai trouvé cette suite de Rituel un peu confuse, Jack Caffery fait une fixation sur le Tokoloshe, c'est un peu pénible et cette histoire de peau humaine est nébuleuse, je n'ai pas bien compris la finalité de ces « vols » de peau, quant au résumé du 4ème de couverture, il ne veut rien dire, ou alors, je suis particulièrement hermétique.
La seule histoire accrocheuse est celle des galères de Flea et de son frère, là, on retient son souffle, on est révolté, pour le reste, déception malgré une fluidité de lecture agréable.
Phoebe Marley dit Flea (puce), plongeuse de la police de Bristol et le commissaire Jack Caffery sont confrontés dans ce roman à des rituels particulièrement sanglants et sadiques.
Ces atrocités sont commises au nom de vieilles croyances et superstitions venues du continent Africain et plus particulièrement d'Afrique du Sud.
Ce nouveau Mo Hayder serait passionnant si l'enquête n'était pas sans cesse interrompue par des pages et des pages consacrées aux problèmes psychologiques et personnels de Flea (la perte de ses parents lors d'une plongée) et de Caffery (le meurtre de son frère).
Cela
à mon avis casse pas mal le rythme du livre.
Par exemple l'histoire de la rencontre entre Caffery et le "Marcheur" n'apporte vraiment rien.
Mis à part ces passages un peu longs, le polar est original, très noir et parfois assez glauque (comme tous ses romans) mais se laisse lire facilement.
Mo Hayder nous donne ici un roman comme on en lit peu, comment fait elle pour nous inventer un assassin à l'esprit si tordu. Certains seront peut etre choqués lorsqu'ils arriveront à la fin de cette macabre, sordide histoire,aucun adjectif n'est assez fort, mais vraiment il fallait y penser pour ecrire une tel oeuvre pour moi sa meilleure et pourtant birdman sort aussi de l'ordinaire mais l'homme du soir est encore mieux. Mon conseil lisez les deux c'est le top du roman mi policier mi d'horreur car ce que font les assassins dans ces deux romans est vraiment horrible.Deux chefs d'oeuvres de
la litterature policiere anglo-saxonne. A son auteur je ne peux dire que chapeau l'artiste.
Une écriture actuelle pour une belle intrigue rétro !
Valentin Musso nous emmene dans une intrigue bien loin de ce qu'on a l'habitude de lire ou de voir. La police scientifique existait déjà après la Première Guerre (si ! si !), mais on ressent beaucoup plus la poussière sur les bureaux que dans le laboratoire aseptisé de Grisom. Entre les méthodes classiques et l'avennement de la police moderne, avec en toile de fond les horreurs vécues par les personnages lors de la guerre de 14 ; vous tenez un récit parfaitement huilé, des rebondissements (des vrais) et le tout dans une écriture rythmée. Un livre à conseiller ! Vraiment !!!