Mettre en perspective l'oeuvre de Baudelaire, initiative intéressante. Mais se limiter aux anecdotes croustillantes ou glauques, ne voir que la débauche, les dépenses absurdes, la fuite devant les créanciers, et croire que les alexandrins lui venaient incidemment, c'est se moquer ! Baudelaire a beaucoup travaillé, était assez fin pour traduire Edgar Poe, publier des critiques d'art, nouer des amitiés durables avec de nombreux artistes de son siècle. Crénom, que c'est laid de le trahir ainsi !
Graveleux, superficiel, quel gâchis
Mettre en perspective l'oeuvre de Baudelaire, initiative intéressante. Mais se limiter aux anecdotes croustillantes ou glauques, ne voir que la débauche, les dépenses absurdes, la fuite devant les créanciers, et croire que les alexandrins lui venaient incidemment, c'est se moquer ! Baudelaire a beaucoup travaillé, était assez fin pour traduire Edgar Poe, publier des critiques d'art, nouer des amitiés durables avec de nombreux artistes de son siècle. Crénom, que c'est laid de le trahir ainsi !