Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Schtilibem, ça veut dire prison, en argot. Et 41, pour 1941. C'est l'année où le futur auteur du Salaire de la peur découvre la prison, accusé d'un...
Lire la suite
11,00 €
Neuf
Expédié sous 8 à 17 jours
Livré chez vous entre le 21 mai et le 30 mai
En librairie
Résumé
Schtilibem, ça veut dire prison, en argot. Et 41, pour 1941. C'est l'année où le futur auteur du Salaire de la peur découvre la prison, accusé d'un triple meurtre. Il sera innocenté, mais dix-neuf mois de captivité, en pleine guerre, cela laisse des traces. Schtilibem 41 est le cri d'un homme meurtri, cassé. Et Georges Arnaud sait crier fort. Il se révolte en argot, la langue des irréguliers, des irréductibles, pour nous offrir un brûlot qui prend aux tripes. Pierre Mac Orlan profite de la sortie du livre en 1953 pour faire paraître un article sur "les langues d'argot". Nous le publions en guise de préface.