Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Avec cet ouvrage commence une série de mémoires d'officiers et de soldats ayant combattu contre la France durant les guerres napoléoniennes. C'est...
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Résumé
Avec cet ouvrage commence une série de mémoires d'officiers et de soldats ayant combattu contre la France durant les guerres napoléoniennes. C'est la vie d'un homme hors du commun qui nous est présentée : soldat au service du Wurtemberg, il passe au service de la Prusse et devient précepteur du prince Eugène de Wurtemberg, rencontre Napoléon lors des négociations pour le mariage de Jérome Bonaparte avec Catherine de Wurtemberg ; en 1807, il intègre l'armée russe et accède bientôt au grade de lieutenant-colonel puis devient aide de camp de l'empereur Alexandre. Il doit reconnaître et cartographier la frontière Ouest de la Russie et une partie de la Pologne en prévision d'une offensive de Napoléon. Il rendra des mémoires très précis, qui ont été conservés et rassemblés dans cet ouvrage, jusqu'à l'entrée de la Grande Armée en Russie en 1812. Il est alors colonel ; il reste dans l'entourage d'Alexandre et assiste à l'incendie de Moscou. En 1813, après la bataille de Leipzig, où ses observations évitèrent à Schwartzenberg la perte de ses réserves, il quitte la Russie pour le duché de Weimar. Lors de la campagne de 1814, il est chef d'état-major du duc Carl August von Weimar, et relate un aspect peu connu de cette campagne dans le Nord de l'Europe, notamment en Belgique et Hollande. A l'issue de cette campagne, il est envoyé au Congrès de Vienne pour représenter le duc de Weimar. De 1815 à 1817, il est chargé de l'instruction militaire des princes royaux Frédéric et Guillaume de Prusse, futurs roi et empereur. Il a été enterré à la cour des Invalides de Berlin. Sur les milliers de mémoires publiés, les traductions de mémoires d'officiers étrangers sont des raretés. François Gendreau, amateur éclairé, s'est attelé à ce travail colossal, digne des érudits du XIXe siècle, en l'enrichissant d'un appareil critique remarquable. Enfin une vision qui n'est pas franco-française !
Sommaire
Années d'enfance jusqu'à l'entrée au service de la Prusse, 1773-1794
Temps de service dans le régiment d'infanterie royal de Prusse du prince von Hohenlohe, 1794-1802
Mon emploi de précepteur auprès du prince Eugène de Wurtemberg, 1802-1805
La campagne de 1805 avec les troupes du Wurtemberg et mon poste d'aide de camp auprès du roi de Wurtemberg, 1805-1807
Entrée au service de la Russie, 1807-1811
Reconnaissance du théâtre de la guerre en 1811
La campagne de 1812 en Russie
La campagne de 1813, jusqu'à l'entrée des alliés à Francfort-sur-le-Main
La campagne du troisième cors d'armée allemand en Belgique et en Hollande en 1814 jusqu'au Congrès de Vienne
Le Congrès de Vienne et ma réintégration au service de la Prusse, 1814-1815
Mon séjour à Berlin de 1815 à 1817
Mon séjour à Francfort-sur-le-Main, comme ministre plénipotentiaire de Prusse à la commission militaire de la Dière fédérale allemande de 1818 à 1836