Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Un historien de première grandeur. " Georges Duby, La Quinzaine littéraire
" Le livre de Paul Veyne apparaît d'abord comme une vaste entreprise...
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" Un historien de première grandeur. " Georges Duby, La Quinzaine littéraire
" Le livre de Paul Veyne apparaît d'abord comme une vaste entreprise de démythification, une machine de guerre, destinée à combattre une foule d'idées " reçues " concernant l'histoire et les sciences humaines. " Claude Dubar, Revue française de sociologie
" Raymond Aron ne s'y est pas trompé : le David aixois se bat contre les querelles de sectes, de modes parisiennes, Paul Veyne a levé le drapeau de la Provence. Son épistémologie est d'abord un cheval de Troie d'où sortent 350 pages de pamphlet qui pourraient s'intituler : Décoloniser l'histoire. " Michel de Certeau, Les Annales, ESC
Provençal, né en 1930. Ecole normale supérieure. Ecole française de Rome. A enseigné le latin et le grec à l'université d'Aix-en-Provence. Professeur au Collège de France.