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Que faire quand son couple bat de l'aile ?Vers qui se tourner si son mariage prend l'eau ? Consulter le premier thérapeute venu ? Autant divorcer ! Ou bien pousser la porte de l'agence Pillow, qui fait rimer conjugal avec conjugaison, chargeant les meilleurs spécialistes du langage de sauver les. unions en plein naufrage... C'est ainsi que Jeremy Cook, le plus misanthrope des linguistes, est dépêché au secours des Wilson.
Armé de sa seule science des adverbes kickapoos et de sa riche expérience des désastres amoureux, sera-t-il vraiment capable de ne pas créer plus de malentendus qu'il n'en existe déjà ? Et l'étrange Manuel Pillow qui lui a été confié suffira-t-il à l'aider dans sa mission ô combien délicate ? Mais surtout, parviendra-t-il à débusquer la bête immonde qui ronge chaque couple ? David Carkeet, auteur du Linguiste était presque parfait, nous livre dans ce nouvel opus un monde étrange tissé d'amour et de non-dits, de gestes attentionnés et de colères rentrées, où les scènes de ménage ressemblent à s'y méprendre à des scènes de crimes.
Comédie domestique grinçante, analyse dévastatrice mais souvent touchante d'un mariage moderne à la dérive, Une Putain de catastrophe nous entraîne au pays dangereux de "la schismogenèse complémentaire" et de "l'échec thématique" où, une fois de plus, l'humour le dispute à la tragédie.
Une putain de catastrophe
J'ai passé des moments agréables à lire ce roman qui ne sera pas une révolution du genre. Les exentricités du patron Pillow m'ont faites sourire ; les avis sur le couple en général de Jeremy beaucoup moins.
Je me suis posée la question tout le long de ma lecture : que vient faire la linguiste là dedans ? Elle n'est qu'un prétexte, évidemment.
Les relations de couple sont bien décrites, et tout est bien qui fini bien.
Pas de quoi fouetter un linguiste un chat.
En revanche, ce qui m'a beaucoup dérangé, ce sont les fautes de frappe, les espaces manquant entre les mots ou les répétitions des mots. Une relecture du texte aurait été nécessaire.
L'image que je retiendrai :
Celle de Monsieur Wilson faisant travaux sur travaux sur le toit de la maison et se mettant la tête dans les trous du jardin pour ne pas parler du vrai problème.
http://motamots.canalblog.com/archives/2014/11/30/30859997.html