Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Tohu-bohu, joli mot hébraïque, désigne le chaos, la désolation, l'absence de tout, l'évidence du rien. On retrouve un peu de cela, lorsqu'il est...
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Résumé
" Tohu-bohu, joli mot hébraïque, désigne le chaos, la désolation, l'absence de tout, l'évidence du rien. On retrouve un peu de cela, lorsqu'il est question de faire écrire une tragédie à soixante lycéens de Seine-Saint-Denis. Mais les textes enseignent qu'après le tohu-bohu, il y a la lumière. Le fameux " Fiat ! " " De la lumière, de la lumière ", crie Lucky dans le célèbre monologue d'En attendant Godot. C'est elle que nous avons poursuivie tout au long de l'année. Certains de mes élèves me disent en avoir parfois distingué quelques traits. D'ailleurs leur tragédie se termine bien : Pol et Erik sont morts et " tout est possible ". Durant l'année scolaire 2000-2001, deux classes de français de seconde du lycée Evariste-Galois de Noisy-le-Grand ont planché, sous la direction de leur enseignante, Cécile Ladjali, sur l'écriture dramatique pour donner naissance à Tohu-bohu, tragédie pragoise en deux tableaux, traversée par le souffle des maîtres du genre et l'humble insolence de soixante lycéens.