Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans ses structures mentales ou matérielles, le monde des hommes et des femmes de l'Antiquité est relativement éloigné du nôtre. Toutefois, pour...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 2 octobre et le 11 octobre
En librairie
Résumé
Dans ses structures mentales ou matérielles, le monde des hommes et des femmes de l'Antiquité est relativement éloigné du nôtre. Toutefois, pour nous, ces vies sont largement diseuses d'histoire, notre civilisation étant pour partie bâtie sur la leur. Tour à tour riche, guerrier, pacifique, parfois impérialiste, le vécu des hommes de cette époque dépasse ainsi le rôle de l'héritage pour être un fragment de l'histoire humaine.
L'Antiquité, une histoire est une collection d'initiation pour tous ceux, étudiants ou non, qui veulent essayer de comprendre l'histoire des mondes anciens de la Méditerranée.
Elle était belle la république de Caton, pour un aristocrate romain tout au moins ! Car si elle cultivait l'égalité, ce n'était pas celle des hommes mais des groupes. Il s'agissait d'un brillant système oligarchique, parfaitement adapté à la domination d'un territoire limité, italien. Malheureusement, quand Rome se fut rendue maîtresse de la Méditerranée tout entière, il montra d'incontestables faiblesses. Non seulement l'administration d'un immense empire grâce aux structures d'une cité se révélait très difficile mais la conquête entraînait une profonde modification de l'identité romaine. La situation devint explosive quand il fut clair que l'aristocratie au pouvoir n'accepterait aucune modification du système politique en vigueur. La confrontation avec les espérances de la plèbe, elles-mêmes appuyées par les troupes d'imperatores, était alors inévitable. La République mourut de ces luttes, alors que Rome connaissait une opulence jamais vue en Méditerranée.
Sommaire
Rome et l'Italie en 264 avant J-C
S(enatus) P(opulus)Q(ue) R(omanus) : une cité oligarchique