Rome et l'hellénisme. IIIe - Ier siècle av. J.-C.
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- Nombre de pages311
- PrésentationBroché
- Poids0.415 kg
- Dimensions14,5 cm × 19,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-7298-2284-4
- EAN9782729822842
- Date de parution17/08/2005
- CollectionLe monde : une histoire
- ÉditeurEllipses
Résumé
Les Grecs, forts de leur supériorité culturelle, en matière de philosophie, d'art, de médecine comme en mathématique, s'armèrent toujours comme le premier peuple de la terre. Dans le même temps, les Romains se jugeant le peuple le plus pieux du bassin Méditerranéen, le peuple de la fides, considéraient que, nonobstant les discours des Grecs, la domination du monde leur appartenait à bon droit. Le conflit était inévitable, même si, d'une manière aussi paradoxale qu'inattendue, les Romains, maîtres du monde, se virent longtemps pour ce que disaient les Grecs, des Barbares. Mais, s'ils s'inclinèrent souvent devant la culture grecque, les " Barbares " n'en résistèrent pas moins, parfois violemment, face à l'invasion de la Ville par la culture hellénistique, affirmant par là une certaine identité culturelle romaine. De la sorte, s'il y eut un temps pour les synthèses, il fut précédé par le temps des oppositions et des résistances. C'est ce double mouvement qu'analyse le présent ouvrage.
Les Grecs, forts de leur supériorité culturelle, en matière de philosophie, d'art, de médecine comme en mathématique, s'armèrent toujours comme le premier peuple de la terre. Dans le même temps, les Romains se jugeant le peuple le plus pieux du bassin Méditerranéen, le peuple de la fides, considéraient que, nonobstant les discours des Grecs, la domination du monde leur appartenait à bon droit. Le conflit était inévitable, même si, d'une manière aussi paradoxale qu'inattendue, les Romains, maîtres du monde, se virent longtemps pour ce que disaient les Grecs, des Barbares. Mais, s'ils s'inclinèrent souvent devant la culture grecque, les " Barbares " n'en résistèrent pas moins, parfois violemment, face à l'invasion de la Ville par la culture hellénistique, affirmant par là une certaine identité culturelle romaine. De la sorte, s'il y eut un temps pour les synthèses, il fut précédé par le temps des oppositions et des résistances. C'est ce double mouvement qu'analyse le présent ouvrage.