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Tous nos livres d’occasion ont leurs propres histoires en plus d'en raconter une.
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La couverture et le dos peuvent présenter de petits défauts. Le papier avec le temps peut être jauni sans pour autant gêner la lecture. Toutes les pages sont présentes. Des livres à lire et relire encore et encore…
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Tout commence assez banalement, un hold-up qui tourne mal, un des braqueur est blessé. Les bandits trouvent refuge dans une ferme isolée où vit une jeune vétérinaire, seule. Mais quelque chose "cloche", on ne sait pas quoi et soudainement on bascule dans l'horreur, la perversion la plus totale.
Après trois essais très décevant, je dois dire que dans ce quatrième, l'auteure m'a bien embarqué dans son histoire. L'écriture est loin d’être exceptionnelle, mais les personnages sont attachants, l'intrigue bien ficelée et le rythme rapide avec beaucoup de dialogues, incitant le lecteur à dévorer les pages. Au final, ce fut un bon divertissement.
Un pervers sexuel sadique dont le mentor est « Sade », une bande de malfrats, des jeunes filles innocentes, voici les héros de ce roman. Le thème est abominable : la dépendance par la peur, l’asservissement, l’avilissement et l’anéantissement de la personnalité. Si l’enfer existe c’est bien là qu’il se trouve, dans cette ferme perdue de l’Indre. Percutant, choquant, violent et dérangeant, rempli de scènes insoutenables, ce roman décrit les côtés les plus noirs d’une âme humaine tout à fait démente. Cette lecture est monstrueuse, si monstrueuse qu’on ne peut en sortir indemne. Que dire de plus sinon que son auteur nous fait vibrer dans une ambiance diabolique avec la peur au ventre. 3 étoiles seulement car un peu trop de sadisme pour moi.
Honnêtement, je regarde, sans sourciller, Esprits Criminels où ce genre de situation est ... habituelle ... Mais, là, j'ai calé ! Je me suis arrêtée à la moitié, ... j'ai lu le dernier chapitre et j'ai refermé le livre ! Pas question de continuer !
C'est "trop" ... trop malsain, terrifiant, glauque ... déplaisant ... Pas du tout envie d'en lire un deuxième du même auteur. L'horreur a ses limites. Comment un cerveau peut-il prendre du plaisir à écrire de telles horreurs ? Je reste songeuse.
J'ai lu ce livre d'une traite, captivant.
Cependant, j'ai trouvé que c'était vraiment très dur, glauque, parfois vraiment horrible.
Torture (genre la cigarette écrasée dans l'oeil...), viol, inceste. Parfois j'étais mal à l'aise et même si j'ai beaucoup aimé "juste une ombre" de l'auteur, je me demande si elle n'est pas un peu tordue...
Le titre et le résumé ne m'ont pas attiré mais quelle erreur !
Très prenant, mais également terrifiant. Les personnages sont très bien travaillés et l'intrigue progresse pour arriver jusqu'au final qui m'a laissé sans voix !
Extrêmement violent, on se dit toujours que "Papa" ne pourra pas faire pire la prochaine fois, mais il arrive toujours à repousser les limites de l'horreur !
A lire (toutes lumières allumées !)
Un roman violent, parfois même à la limite du supportable, souvent éprouvant tant l'angoisse monte au fil des pages que l'on tourne, 594 pages où pas un instant de répit ne nous ai laissé..
J'ai adoré, comme tous les livres de Karine Giebel
Raphaël et sa bande viennent de braquer une bijouterie mais cela s'est mal passé. Une passante et un policier ont été tués dans leur fuite et Will le frère de Raphaël est grièvement blessé. Ils se rendent à la campagne et trouvent Sandra une vétérinaire pour le soigner, ils se réfugient chez elle croyant être à l'abri, ils sont en fait dans l'antichambre de l'enfer!
Karine Giebel nous plonge dans un monde de cruauté, de violence et de terreur. L'évolution psychologique des personnages tout au long du roman est superbement rendue. Un très bon thriller.
Raphael et son frère William ainsi que 2 complices font un braquage. Celui ci tourne mal et William est blessé. En cavale, impossible de se rendre à l'hôpital. Il trouve une autre solution et vont se rendre chez Sandra une vétérinaire qu'ils vont prendre en otage. Si elle veut rester en vie, elle doit sauver William. Mais quand le "mari" de Sandra rentre, tout bascule...
Je pourrais en dire plus pour vous donner envie de le lire mais je trouve que je gâcherai une partie de votre plaisir si vous décidez de le lire. Trop de résumé de ce livre dévoile trop d'information. Je suis contente
de pas les avoir lu avant de le lire.
Jamais déçue par les livres de Karine Giebel. Elle a un vrai talent pour donner des frissons, faire ressentir l'ambiance oppressante de l'histoire. On nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Je vous recommande ce livre vivement mais également tous ces autres livres : "juste une ombre", "les morsures de l'ombre",...
Si vous aimez les thrillers en huis clos angoissant, terrifiant, n'hésitez pas
MA-GI-STRA-L!! Il n'y a rien à changer dans ce livre, il est incroyable du début à la fin. Surtout ne pas se laisser abattre par la taille de ce roman, on se laisse complètement absorber par ce policier qui a tout, de l'amour, de la haine, de l'horreur,... Une très grande réussite.
Second gros pavé de mon été et je suis plus que jamais accroc à Karine Giebel, qui avec cette troisième lecture de cette auteure pour moi continue à me passionner et à renverser toutes mes facultés de déduction.
Comment peut-on à ce point posséder le sens du suspense et de la surprise tout court en partant d'un très classique braquage de bijouterie qui tourne mal ? Et bien lisez ce livre et vous verrez que c'est possible et que vous serez tenu en haleine tout le long de votre lecture.
Raphaël et William, les deux derniers survivants de leur famille après la mort violente de leur
frère aîné, de leurs parents ne pensaient sûrement pas s'engager dans une telle mésaventure où la férocité, la perversité et la violence surpassent leur propre braquage sanglant avec deux complices pourtant bien tordus.... Et pourtant... la brave et fragile (en apparence) vétérinaire, Sandra, qu'ils forcent et violentent à les héberger et à soigner William, leur réserve, via son compagnon (vraiment compagnon ?!! autre erreur d'appréciation) un séjour absolument atroce et sanglant. A tel point qu'ils vont nous paraître finalement sympathiques et victimes alors que ce sont tout sauf des enfants de chœur...
A-t-on idée de forcer la porte d'un couple aussi tardé et pervers surtout dans une très belle ferme éloignée de tout ? Surtout une ferme / cimetière de tant de victimes innocentes. Karine Giebel va même leur permettre de tenter de sauver leur âme en pouvant être des défenseurs de jeunes filles en détresse....
Il ne faut pas en dire plus mais encore une fois l'historique familial, la noirceur des traits, les désordres psychologiques et psychiatriques, les jeux de pouvoir, les équilibres, les blessures intimes, les renversements de situations et des forces en présence et surtout une fin aussi malheureuse qu'inattendue font le ravissement du lecteur de ce nouvel opus de Karine Giebel. Bravo Madame... et merci.
Une fois encore, ce roman de l'auteur ne déçoit pas.
Ca cogne, dur : nez cassés, blessures par balles, un peu d'acide....
Du sang : pas de cadavres sanglants, mais des tortures plus psychologiques.
De la sueur : celle des personnages qui ne se laissent pas faire, trouvant toujours au fond d'eux un reste d'énergie pour tenter d'échapper à leur destin.
Des larmes : celles que j'ai versée à la fin de ma lecture. Et oui, première fois qu'un polar cruel me fait pleurer.
Un roman qui vous poursuit, mais sans nous enfermer totalement dans la folie des personnages.
Merci, Madame
GIEBEL.
L'image que je retiendrai :
Celle des cellules dans lesquelles sont enfermées les personnages, les garçons d'un côté, les filles de l'autre.
Un huis clos angoissant, des personnages tout aussi machiavéliques les uns que les autres. Une intrigue qui nous emmène au-delas de la terreur.
Une histoire qui dérange et qui crispe, attention âmes sensibles !!!!
Un roman violent, parfois même à la limite du supportable, souvent éprouvant tant l'angoisse monte au fil des pages que l'on tourne, 594 pages où pas un instant de répit ne nous ai laissé...
Je l'ai dévoré !
Curieusement quand j'ai lu le résumé sur la quatrième de couverture, j'ai pensé que ce roman aurait pu ne pas me plaire, c'était mal connaitre l'auteure... Effectivement l'histoire démarre avec un braquage qui tourne mal, 3 hommes et une femme se réfugient chez une vétérinaire, enfin le croient ils !!
Ne serait ce pas plutôt l'antre du diable.
Je vous recommande
ce livre, pour plusieurs heures de lecture angoissante, terrifiante.
Cependant, âmes sensibles s'abstenir....
Encore une fois Karine Giebel nous entraine dans une lecture au goût amer... Comment rester indifférent face à ces personnages immoraux aux cœurs asséchés, dont les actes et les dialogues nous heurtent à chaque page... Car il faut le dire, cette histoire est particulièrement dure et difficile, les événements violents s'enchainent et l'on reste pantois face à tant de souffrance.
Alors oui, j'ai aimé cette lecture. J'ai aimé être à la merci de la plume de l'auteure, me faire violence pour ne pas penser au fait que des personnages aussi abjects peuvent réellement exister.
L'auteure
n'a pas son pareil pour décrire les tourments de l'âme humaine. Chaque personnage est fouillé, décrypté avec minutie, les personnalités sont très complexes, sources de multiples questions pour nous, lecteurs.
Nos sentiments sont mis à rude épreuve, car on compatit jusqu'à en pleurer, on grince des dents, on serre les points, on a envie de lutter, d'aider...bref, la tension est palpable tout au long de la lecture, on a envie de savoir et en même temps on comprend vite que les événements vont prendre une tournure qui ne va pas nous plaire...L'auteure ne nous épargne rien, sans toutefois tomber dans le travers de la surenchère d'éléments atroces (et croyez-moi, elle ne nous ménage pourtant pas!) qui pourraient venir ternir le récit.
Et heureusement, car l'histoire est toujours à la limite du supportable.
J'avais vraiment beaucoup apprécié Juste une ombre, j'ai littéralement adoré Purgatoire des innocents, s'il est possible de dire cela de textes aussi dérangeants!
Une de mes meilleures lectures de l'année.
L'écriture de Karine Giebel est toujours aussi démoniaque. Elle nous entraîne dans un huis clos oppressant, violent, douloureux... mais surtout plein de rebondissements.
Une fois de plus, et comme dans chacun de ses romans, Karine Giebel nous entraîne au plus profond de la noirceur de l'Âme humaine. Rien ne nous est épargné : Vol, Fuite, Enlèvement, Manipulation, Sadisme, Masochisme... tout est présent.
Au fil des pages, nous descendons au coeur du Mal. Le Mal, comme maladie mentale. Le Mal qui sait utiliser tout ce que l'Homme a de forces de survie ou de résilience pour mieux le réduire
en esclavage.
Le Mal établit les règles et elles sont simples. L'Homme n'a que deux options : Être la Proie, ou être l'Alpha.... Et le Mal EST l'Alpha.
Avec Purgatoire des Innocents, Karine Giebel monte encore en puissance, entraîne son lecteur encore plus profondément dans le malaise créé par la noirceur de l'Âme Humaine... et le lecteur en redemande.
Pour d'autres avis, je vous conseille de passer par chez Totalybrune, Le noir émoi, EmOtionS, et Meelly.
Comment karine Giebel fait-elle pour nous harponner dès les premières lignes, nous glacer le sang, nous malmener sans que nous n'opposions la moindre résistance, tournant chaque page avec l'agoisse allant cressendo? Dévoré ce roman de près de 600 pages en quelques heures. Les happy end ne sont pas le fer de lance de l'auteur(e) et le sachant, nous ne pouvons espérer que le pire... Mais il n'est rien comparé à ce que nous découvrons au fil des pages. Superbe et terrifiant roman à lire de toute urgence pour plonger au coeur de l'effroi et de l'inavouable !!!
Rappelez-vous, c’était l’année dernière. MEURTRES POUR RÉDEMPTION de Karine Giebel provoquait chez moi une quantité infinie d’émotions. De ma courte « carrière » de lectrice, aucun livre ne m’avait marqué de la sorte. C’est donc avec voracité, mais un tantinet d’anxiété, que j’amorçais la lecture il y a quelques jours de son septième roman PURGATOIRE DES INNOCENTS …
Je m’appelle Raphaël, j’ai passé quatorze ans de ma vie derrière les barreaux. Avec mon frère William, et deux autres complices nous venons de dérober trente millions d’euros de bijoux.
Ç’aurait dû être le coup du siècle, ce fut un bain de sang. Deux morts et un blessé grave. Le blessé, c’est mon frère. Alors, je dois chercher une planque sûre où Will pourra reprendre des forces.
Je m’appelle Sandra. Je suis morte, il y a longtemps, dans une chambre sordide.
Ou plutôt quelque chose est né ce jour-là …
Je croyais avoir trouvé le refuge idéal. Je viens de mettre les pieds en enfer.
Quelque chose qui marche et qui parle à ma place. Et son sourire est le plus abominable qui soit …
Si la quatrième de couverture se décline à la première personne du singulier, ce ne sera toutefois pas le cas du roman. Un choix que je trouve cependant judicieux pour accrocher le futur lecteur. Si dans la forme, Karine Giebel utilise une narration dite traditionnelle, c’est toutefois un récit assez singulier qu’elle nous propose dans le fond.
La suite sur mon blog Le noir émoi : http://lenoiremoi.overblog.com/purgatoire-des-innocents-de-karine-giebel
Karine Giebel signe un livre terriblement angoissant, prenant aux tripes et faisant s’interroger sur l’homme. Peut être que chacun d’entre nous à croiser ce genre de type sans y prêter attention, ils ont l’art de se fondre dans la masse : gentil, poli, toujours souriant, agréable. Cette façade cache bien souvent des êtres malveillants et les pires prédateurs que l’espèce ait pu concevoir.
Le purgatoire des innocents pourrait être l’antichambre de l’enfer et si on arrive à en sortir, c’est pour être transformé à jamais.
Malgré toute l’horreur subie par les
personnages, il est impossible de refermer le livre avant d’en connaitre la fin.
Attention, âmes sensibles s'abstenir!!!
Suite au braquage d'une bijouterie qui a mal tourné, deux frères, Raphaël, voyou multi-récidiviste, et William son cadet beaucoup plus jeune et sans casier judiciaire, se retrouvent dans un village paumé avec leurs 2 autres complices.
Face aux graves blessures de William, Raphaël décide de « réquisitionner » de force l'aide de Sandra, une jeune femme craintive, vétérinaire de profession.
Séquestrée à son propre domicile, brutalisée par Raphaël, Sandra attend avec angoisse le retour de son mari.
Mais très vite des sautes d'humeur, de brutales embardées laissent penser que Sandra n'est peut-être pas aussi inoffensive qu'elle en a l'air...
Un roman redoutable, presque diabolique, qui ne fait pas dans la demi-mesure et qui hisse définitivement son auteur dans la catégorie des maître(sse)s du thriller français.