Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Voilà un roman qui porte à merveille son titre : tout y est en effet exquis, pétillant, léger et frivole avec grâce. Dans une langue aussi déliée...
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Voilà un roman qui porte à merveille son titre : tout y est en effet exquis, pétillant, léger et frivole avec grâce. Dans une langue aussi déliée que la taille de son héroïne, Fanny Deschamps nous livre les premiers émois de Louison, la bâtarde du duc de Conti, ses premiers pas dans la vie, ses faux pas aussi, quelques années avant la Révolution française, dans le bruissement de la soie et l'éclat des perles.
Ceux qui ont aimé La Bougainvillée raffoleront de cette Louison si suave et spirituelle.
Claude Méheust, Marie-Claire
Ce livre se déguste aussi comme une friandise, tant l'auteur sait capter la sensualité des choses (...). Un style imagé, dont le ton et l'élégance semblent venir tout droit du siècle des Lumières.
Françoise de Comberousse, France-Soir
On croise Fragonard, Beaumarchais et les grands esprits qui, à l'époque, se retrouvent à Paris (...). L'histoire de Louison n'est qu'une somme d'instants éblouis. Et comme Fanny Deschamps n'a pas oublié l'exigence première du journalisme, une information par ligne, elle en a fait aussi le plus vivant des reportages sur Paris au XVIIIe siècle.
Danièle Mazingarbe, Madame Figaro