Ce roman a une saveur particulière, celle de mes racines italiennes. En France, on sait peu de chose sur l’Italie sous Mussolini en-dehors des grandes lignes. Ce premier tome est riche d’informations et nous montre le fascisme dans une famille et comment Giulia va s’y rebeller envers et contre tous. La manière de nous informer sur cette période si sombre et particulière, comment les Italiens ont été littéralement fasciné par ce dictateur, comment ils ont cautionné le déferlement de violences des Chemises Noires, les viols… sont difficilement compréhensibles.
De même qu’en
Allemagne, le Duce a promis une Italie nouvelle, une vie meilleure… En utilisant les sujets importants à l’époque comme la dureté de la vie pour se nourrir, la misère… Il a su convaincre par de belles promesses et paroles les Italiens avides de renouveau pour les générations à venir…
Une fois commencé, je n’ai pas pu m’arrêter et j’ai dévoré ce premier tome, je suis impatiente de découvrir la suite et j’espère que vous apprécierez mon coup de cœur. Best-seller, j’espère que sa venue dans les Editions Charleston contribuera à une visibilité à sa juste valeur.
1924, Rome.
A 13 ans, Giulia Diacalone refuse de se soumettre à ce que l’on attend d’elle. Eprise de liberté, le mouton noir refuse d’entrer dans les jeunesses fascistes, s’attirant les foudres de sa famille qui ne jure que par le Duce.
Sa passion pour l’art va la conduire sur les traces de l’Université de Rome pour suivre les cours du professeur Vittorio Manelli… Mais le fascisme est partout même dans les cours d’art.
Celui-ci lui ouvre les portes de l’ateliers de la via Cavour et de l’art interdit par le Duce. Dans cet atelier, elle retrouve Silvio, un peintre antifasciste dont elle tombe amoureuse.
Sa haine du fascisme ne lui permet pas de refuser l’offre de travailler pour la maîtresse du Duce, Margherita Sarfatti.
L’occasion pour Giulia de jouer de sa plume acérée et d’être elle-même même si elle devient journaliste pour la revue Gerarchia.
Au cours d’un dîner avec Silvio, sa maladresse légendaire va attirer le regard d’Italo Balbo, un ministre proche et redouté de Mussolini.
Troublée, la jeune femme s’enfuit tandis que celui-ci, admiratif par l’audace de Giulia n’aura de cesse de la convoiter.
Tandis que l’Italie sombre dans le fascisme et que les atrocités des chemises Noires se multiplient, Giulia devra choisir entre ses idéaux et ses amours contradictoires.
Quand l’amour et le sens du devoir se mélangent à l’histoire de l’Italie fasciste où la cruauté n’a plus de limite jusqu’à sa chute !
A l’image de l’Allemagne nazie, l’adulation d’un peuple ébloui par la promesse d’une Italie nouvelle et d’un dictateur prêt à tout pour arriver au sommet.
Giulia va se retrouver mêlée aux secrets d’Etat la mettant au centre d’une machination qui la dépasse et où le sort de l’Italie en est l’enjeu.
Quand son pays, son amour et sa famille sont sur le point de s’effondrer, l’espoir va renaître dans une Italie à feu et à sang !
Aux premières loges de l’histoire en marche, Giulia va devoir se battre pour ses convictions et ceux qu’elle aime !
Au plus près des manigances politiques, Giulia va être la convoitise des hommes et l’instrument de sa propre vengeance !
De Rome à l’Ethiopie, partez sur les traces d’une jeune femme en quête de justice entre amours et trahisons dans l’Italie de Mussolini !
Dans une Italie qui va droit vers sa chute, découvrez les amours de Giulia en proie à sa conscience dans le chaos du fascisme !
Nicole Fabre dépeint les heures les plus sombres de l’Italie avec une rare précision. La beauté de ce roman n’a d’égale que la cruauté de l’âme humaine et de leurs belles paroles.
La vie d’une jeune femme échappant à l’emprise familiale plongeant dans les méandres du fascisme.
Les sujets sont nombreux : les viols, la soumission des femmes, les unions arrangées, l’OVRA, les GUF, la milice, les chemises Noires, les trafics d’art…
Beaucoup d’informations et une richesse du contexte historique qui plonge le lecteur dans les périodes les plus sombres de l’Italie.
Quand l’art se mélange aux heures les plus sombres d’une Italie sur le déclin !
Suspense haletant dans une Italie en pleine tourmente !
Ce roman a une saveur particulière, celle de mes racines italiennes. En France, on sait peu de chose sur l’Italie sous Mussolini en-dehors des grandes lignes. Ce premier tome est riche d’informations et nous montre le fascisme dans une famille et comment Giulia va s’y rebeller envers et contre tous. La manière de nous informer sur cette période si sombre et particulière, comment les Italiens ont été littéralement fasciné par ce dictateur, comment ils ont cautionné le déferlement de violences des Chemises Noires, les viols… sont difficilement compréhensibles.
De même qu’en Allemagne, le Duce a promis une Italie nouvelle, une vie meilleure… En utilisant les sujets importants à l’époque comme la dureté de la vie pour se nourrir, la misère… Il a su convaincre par de belles promesses et paroles les Italiens avides de renouveau pour les générations à venir…
Une fois commencé, je n’ai pas pu m’arrêter et j’ai dévoré ce premier tome, je suis impatiente de découvrir la suite et j’espère que vous apprécierez mon coup de cœur. Best-seller, j’espère que sa venue dans les Editions Charleston contribuera à une visibilité à sa juste valeur.
1924, Rome.
A 13 ans, Giulia Diacalone refuse de se soumettre à ce que l’on attend d’elle. Eprise de liberté, le mouton noir refuse d’entrer dans les jeunesses fascistes, s’attirant les foudres de sa famille qui ne jure que par le Duce.
Sa passion pour l’art va la conduire sur les traces de l’Université de Rome pour suivre les cours du professeur Vittorio Manelli… Mais le fascisme est partout même dans les cours d’art.
Celui-ci lui ouvre les portes de l’ateliers de la via Cavour et de l’art interdit par le Duce. Dans cet atelier, elle retrouve Silvio, un peintre antifasciste dont elle tombe amoureuse.
Sa haine du fascisme ne lui permet pas de refuser l’offre de travailler pour la maîtresse du Duce, Margherita Sarfatti.
L’occasion pour Giulia de jouer de sa plume acérée et d’être elle-même même si elle devient journaliste pour la revue Gerarchia.
Au cours d’un dîner avec Silvio, sa maladresse légendaire va attirer le regard d’Italo Balbo, un ministre proche et redouté de Mussolini.
Troublée, la jeune femme s’enfuit tandis que celui-ci, admiratif par l’audace de Giulia n’aura de cesse de la convoiter.
Tandis que l’Italie sombre dans le fascisme et que les atrocités des chemises Noires se multiplient, Giulia devra choisir entre ses idéaux et ses amours contradictoires.
Quand l’amour et le sens du devoir se mélangent à l’histoire de l’Italie fasciste où la cruauté n’a plus de limite jusqu’à sa chute !
A l’image de l’Allemagne nazie, l’adulation d’un peuple ébloui par la promesse d’une Italie nouvelle et d’un dictateur prêt à tout pour arriver au sommet.
Giulia va se retrouver mêlée aux secrets d’Etat la mettant au centre d’une machination qui la dépasse et où le sort de l’Italie en est l’enjeu.
Quand son pays, son amour et sa famille sont sur le point de s’effondrer, l’espoir va renaître dans une Italie à feu et à sang !
Aux premières loges de l’histoire en marche, Giulia va devoir se battre pour ses convictions et ceux qu’elle aime !
Au plus près des manigances politiques, Giulia va être la convoitise des hommes et l’instrument de sa propre vengeance !
De Rome à l’Ethiopie, partez sur les traces d’une jeune femme en quête de justice entre amours et trahisons dans l’Italie de Mussolini !
Dans une Italie qui va droit vers sa chute, découvrez les amours de Giulia en proie à sa conscience dans le chaos du fascisme !
Nicole Fabre dépeint les heures les plus sombres de l’Italie avec une rare précision. La beauté de ce roman n’a d’égale que la cruauté de l’âme humaine et de leurs belles paroles.
La vie d’une jeune femme échappant à l’emprise familiale plongeant dans les méandres du fascisme.
Les sujets sont nombreux : les viols, la soumission des femmes, les unions arrangées, l’OVRA, les GUF, la milice, les chemises Noires, les trafics d’art…
Beaucoup d’informations et une richesse du contexte historique qui plonge le lecteur dans les périodes les plus sombres de l’Italie.
Quand l’art se mélange aux heures les plus sombres d’une Italie sur le déclin !