Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pourquoi continuer à peindre quand on n'y voit plus ? Et si un homme bousculait toutes les idées reçues sur le rôle de l'oeil dans la création artistique...
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Résumé
Pourquoi continuer à peindre quand on n'y voit plus ? Et si un homme bousculait toutes les idées reçues sur le rôle de l'oeil dans la création artistique ? Avec La lumière en bandoulière, Estelle Goutorbe trace le parcours singulier d'un peintre qui perd la vue, Jean-Michel Rezelman... et qui, pourtant, poursuit son chemin artistique, toujours guidé par la lumière et l'infini : " Je ne me suis jamais arrêté de peindre en pensée. La main peut s'arrêter par moment.. Mais en pensée, j'ai toujours été à butiner un peu partout, à percevoir chaque chose, à regarder le reflet des lumières... ". A travers images et écriture, nous entrons dans la poésie d'un homme lumineux, d'un être qui a su dépasser le tragique de sa cécité pour transmettre une vision intérieure. D'une autre dimension, la beauté qui se dégage des œuvres du peintre nous emporte, et nous transcende.