La légende dorée - Illustrée par les peintres de la Renaissance italienne, Coffret en 2 volumes - Beau Livre

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Jacques de Voragine - La légende dorée - Illustrée par les peintres de la Renaissance italienne, Coffret en 2 volumes.
Dès sa parution vers 1260, le retentissement de La Légende dorée fut considérable. La Legenda Sanctorum « ce qui doit être lu des saints » devient... Lire la suite
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Résumé

Dès sa parution vers 1260, le retentissement de La Légende dorée fut considérable. La Legenda Sanctorum « ce qui doit être lu des saints » devient rapidement la Legenda Aurea parce que, dit-on, son contenu est d’or... Cette extraordinaire vie de saints écrite par Jacques de Voragine, futur archevêque de Gênes, est, avec la Bible, le livre le plus lu, copié, enluminé, traduit dans toutes les langues.
La Légende dorée est, dès le début de la Renaissance italienne, l’ouvrage de référence incontesté de tous les peintres : les plus grands artistes s’en sont directement inspirés : Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Ambrogio et Pietro Lorenzetti, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca ..., mais aussi des artistes moins connus, mais non moins inspirés. La Légende dorée est pour eux une source d’inspiration inépuisable, et ils enrichissent ainsi les églises, les couvents et les monastères de fresques, de retables, de polyptyques, déployant tout leur génie dans l’illustration des scènes de la vie des saints telles que Jacques de Voragine les a décrites.
Leurs œuvres sont éblouissantes d’humanité, de grâce, de force, d’émotion et de compassion. Quatre cents reproductions en couleurs de plus de cent-vingt peintres du Trecento et du Quattrocento italiens sont reproduites, dont un grand nombre n’avait jamais été vu : fresques cachées au fond de couvents, retables découverts dans de petites églises, prédelles éparpillées dans divers musées, enfin rassemblées.

Caractéristiques

  • Date de parution
    12/03/2009
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-903656-47-8
  • EAN
    9782903656478
  • Format
    Beau Livre
  • Présentation
    Coffret
  • Nb. de pages
    700 pages
  • Poids
    2.815 Kg
  • Dimensions
    20,0 cm × 27,0 cm × 6,5 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Jacques de Voragine

Jacques de Voragine - Sa vie, son époque. Jacques de Voragine est né en 1228 à Varazze, ville côtière de Gênes, en Italie, à mi-chemin entre Savone et Voltri, d’où son nom latin Jacobus de Varagine. L’erreur d’un copiste substituant un « o » au premier « a » de son nom aura valu à l’auteur de devenir Jacques de Voragine. Il a seize ans quand, en 1244, il entre dans l’ordre des Frères Prêcheurs fondé par saint Dominique en 1215. Tour à tour novice, moine, professeur de théologie, prédicateur, il allie une science des mœurs si pures et une vertu si grande, que tous les couvents dominicains du nord de l’Italie conservent le souvenir de ce personnage saint. C’est vers 1255 qu’il écrit la Légende dorée. Frère prêcheur avant tout, son chapitre le plus long est consacré à saint Dominique, mort depuis moins de cinquante ans. Dominicain comme lui, Thomas d’Aquin, le « docteur angélique », enseigne de 1252 à 1259 à Paris, où il rédige la Somme contre les gentils, pendant que son maître, Albert le grand, est élu provincial à Cologne en 1254. Chez les franciscains, fondés en 1226, Roger Bacon, le « docteur admirable » enseigne à Oxford de 1252 à 1257 ; et Bonaventure est élu général des franciscains en 1256, après sept ans d’enseignement à Paris. Et Jacopone da Todi (1236-1306), le futur poète du Stabat Mater, va prononcer ses vœux. Jacques de Voragine est également contemporain de saint Louis à Paris, entre la septième et la huitième croisade qui lui sera fatale. La foi construit la Sainte Chapelle pour les âmes, la science construit la Sorbonne pour l’esprit et pour les corps la charité construit les Quinze-Vingts. En 1292, il devient l’archevêque de Gênes. Alors que les Guelfes (partisans du pape) et les Gibelins (partisans de l’empereur) s’affrontent depuis 1260, Jacques de Voragine réussit, en 1295, après trois ans d’effort, à obtenir qu’ils se réconcilient. Il participe donc à la pacification des clans Mascherati (gibelins) et Rampini (Guelfes) ainsi qu’à diverses opérations diplomatiques entre Gênes et Venise. Au travers son texte et sa vie, on remarque que pour Jacques de Voragine, la nécessité évidente est d’être compris par le plus grand nombre. Avant de mourir en 1298, il dispensa les pauvres du prix de ses funérailles et demanda que son corps reposa dans l’église de son ancien couvent et non dans la cathédrale auprès des autres évêques.

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