Né vers 1230, à Varaggio, près de Gênes (d'où le nom de "Varagine" ou "Voragine"), Jacques de Voragine entre dans l'ordre des Dominicains en 1244. Grand prédicateur, auteur prolifique, défenseur des Génois, il est élu évêque de Gênes en 1292 et meurt en 1298, il y a donc 700 ans..
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La légende dorée illustrée par les peintres de la Renaissance italienne
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- Nombre de pages654
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids2.345 kg
- Dimensions19,8 cm × 26,5 cm × 4,5 cm
- ISBN978-2-36437-113-2
- EAN9782364371132
- Date de parution19/11/2020
- ÉditeurDiane de Selliers
- TraducteurTeodor de 1862-1917 Wyzewa
Résumé
Vers 1260 le premier manuscrit de La Légende dorée raconte la vie de cent quatre-vingt saintes et saints. En quelques années il devient, avec la Bible, le livre le plus copié, le plus lu, écouté, raconté dans les pays de la chrétienté. Grâce à ce véritable livre de chevet, la foi, l'histoire de l'église, la religion prennent une couleur plus ingénue, plus populaire et plus pittoresque. L'iconographie Le texte émerveille aussi les artistes qui s'en emparent avec félicité dès le début de la Renaissance italienne.
Il devient rapidement une référence essentielle, une source d'inspiration inépuisable. Les plus grands peintres - Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Ambrogio et Pietro Lorenzetti, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca... - mais aussi d'autres moins connus mais non moins inspirés déployent tout leur génie pour magnifier les scènes de la vie des saints et enrichir les églises, les couvents et les monastères de fresques, de retables, de polyptyques.
Quatre cents reproductions en couleurs de plus de cent vingt peintres des XIVe et XVe siècles italiens sont reproduites dans notre livre. Parmi elles, si une centaine universellement connue bouleverse le spectateur d'émotion, que dire du tiers d'entre elles qui n'ont jamais été vues : fresques cachées au fond des couvents, retables découverts dans des églises inconnues, suites éparpillées...
Il devient rapidement une référence essentielle, une source d'inspiration inépuisable. Les plus grands peintres - Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Ambrogio et Pietro Lorenzetti, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca... - mais aussi d'autres moins connus mais non moins inspirés déployent tout leur génie pour magnifier les scènes de la vie des saints et enrichir les églises, les couvents et les monastères de fresques, de retables, de polyptyques.
Quatre cents reproductions en couleurs de plus de cent vingt peintres des XIVe et XVe siècles italiens sont reproduites dans notre livre. Parmi elles, si une centaine universellement connue bouleverse le spectateur d'émotion, que dire du tiers d'entre elles qui n'ont jamais été vues : fresques cachées au fond des couvents, retables découverts dans des églises inconnues, suites éparpillées...
Vers 1260 le premier manuscrit de La Légende dorée raconte la vie de cent quatre-vingt saintes et saints. En quelques années il devient, avec la Bible, le livre le plus copié, le plus lu, écouté, raconté dans les pays de la chrétienté. Grâce à ce véritable livre de chevet, la foi, l'histoire de l'église, la religion prennent une couleur plus ingénue, plus populaire et plus pittoresque. L'iconographie Le texte émerveille aussi les artistes qui s'en emparent avec félicité dès le début de la Renaissance italienne.
Il devient rapidement une référence essentielle, une source d'inspiration inépuisable. Les plus grands peintres - Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Ambrogio et Pietro Lorenzetti, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca... - mais aussi d'autres moins connus mais non moins inspirés déployent tout leur génie pour magnifier les scènes de la vie des saints et enrichir les églises, les couvents et les monastères de fresques, de retables, de polyptyques.
Quatre cents reproductions en couleurs de plus de cent vingt peintres des XIVe et XVe siècles italiens sont reproduites dans notre livre. Parmi elles, si une centaine universellement connue bouleverse le spectateur d'émotion, que dire du tiers d'entre elles qui n'ont jamais été vues : fresques cachées au fond des couvents, retables découverts dans des églises inconnues, suites éparpillées...
Il devient rapidement une référence essentielle, une source d'inspiration inépuisable. Les plus grands peintres - Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Ambrogio et Pietro Lorenzetti, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca... - mais aussi d'autres moins connus mais non moins inspirés déployent tout leur génie pour magnifier les scènes de la vie des saints et enrichir les églises, les couvents et les monastères de fresques, de retables, de polyptyques.
Quatre cents reproductions en couleurs de plus de cent vingt peintres des XIVe et XVe siècles italiens sont reproduites dans notre livre. Parmi elles, si une centaine universellement connue bouleverse le spectateur d'émotion, que dire du tiers d'entre elles qui n'ont jamais été vues : fresques cachées au fond des couvents, retables découverts dans des églises inconnues, suites éparpillées...