En cours de chargement...
Septembre 1921. Jeremy Nelson, jeune pianiste américain passionné de jazz, a traversé l'Atlantique en quête de gloire – et de ses origines. Mais dans un Londres pluvieux et tentaculaire, il ne trouve que des questions. Que cache Victor Legris, ce mystérieux libraire qui aurait connu son père ? Pourquoi semble-t-il si réticent à lui fournir des informations sur sa famille ? Débarqué dans le Paris bouillonnant de l'après-guerre, ce sont cette fois les ennuis qu'il rencontre.
Mêlé malgré lui à une série de morts étranges dans le monde du spectacle, il va, le premier, remarquer l'indice qui les relie : une carte postale représentant Simonetta Vespucci, modèle, entre autres, de Botticelli. Autour du cou de cette beauté de la Renaissance : un serpent. Aux pieds de chaque cadavre parisien : une vipère...
meurtre en série au music-hall
Un pseudonyme pour deux sœurs qui en sont à leur 17ème roman et le personnage central n’est plus Victor Legris, quoiqu’encore présent, il cède sa place à Jeremy Nelson, jeune pianiste de jazz.
Dépaysant, car le lecteur est emmené dans le Paris de 1921, aux côtés de Jeremy pianiste de jazz courant le contrat et qui entame une double quête. La première est celle de ses origines, son père qui l’a abandonné en très jeune âge et la seconde celle des meurtriers d’un ami. Et s’il s’agissait d’un meurtrier en série dont la signature serait le serpent et la carte postale laissés sur les lieux de crimes? Dans le milieu du music-hall tout n’est ni rose ni amour ni bienveillance … il en fera les frais. Quant à la reconstitution de son arbre généalogique, ça n’est pas gagné et il faut malheureusement le dire, un peu touffu pour celui qui ne prend pas de notes au cours de sa lecture.
Le vocabulaire et le mode de vie de l’entre-deux-guerres nous apportent cependant une petite dose d’exotisme bien agréable.