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À découvrir
Il y a un beau décor pour planter une intrigue sympa qui mêle les genres et les époques... Mais quelle déception.
Je me suis demandée plusieurs fois à quel moment ça allait enfin se lancer... et je terminerai le bouquin sans le savoir.
Des personnages sans profondeur, une intrigue et une solution presque trop simplistes par rapport à ce que l'auteur nous avait habitué.
Très bien écrit. Suspens et romance jusqu’à la fin. Vraiment très bien fait, un vrai concurrent à Michel Bussi que j’adore.
les retours en arrière ont eu raison de ma patience ; je ne sais pas si j'irais au bout de ce roman . Par contre les descriptions m'ont donné envie d'aller à Genève
style improbable, histoire mal ficelée truffée de rebondissements sans queue ni tête, une catastrophe !!!
Tellement loin de l'affaire Harry Quebert... j'ai eu l'impression de lire quelqu'un d'autre... très déçue
La Suisse et le secteur bancaire sont rarement au centre d'une enquête pour meurtre.
Joël DICKER rend aussi un hommage à Benard DE FALLOIS, son éditeur et ami, décédé.
Les chapitres s'enchainent à un train d'enfer. Roman bien ficelé où chaque détail compte.
Magistral!
J'ai été tellement décue par ce livre que j'attendais avec impatience. On ne m'y reprendra plus. j'ai cru que j'étais dans un soap-opera dans le riche milieu du secteur bancaire de Genève. A part me donner envie d'aller visiter cette ville, ce livre m'a finalement beaucoup déçue. Je suis allée jusqu'au bout pour voir si mon ressenti était justifié. Je pensais que la fin m'aurait surprise....mais même pas!
Bref, je ne le conseille pas.
Je ne comprends pas vraiment tous les avis négatifs laissés en dessous.
Après les avoir vus j'étais réticent à prendre le livre, mais finalement je l'ai dévoré en deux jours.
Que de rebondissements, certes certains passages sont un peu "lents" et des retours en arrière paraissent inutiles, mais dans l'ensemble c'était vriament un livre agréable à lire.
Je crois que l'horloge suisse est déréglée ! dommage j'avais tant aimé l'affaire Harry Quebert ... déjà la disparition de Stéphanie Mailer m'avait un peu déçue ... j'ai voulu persévérer mais on ne m'y reprendra pas !
C'est juste navrant, mièvre, cousu de fil blanc (les histoires de pouvoir, de jalousie et de cocus sont les mêmes depuis la nuit des temps ...). Quand on connaît son style on n'a guère de surprise, les retours en arrière ... infinis ... incessants ... bon en même temps, on ne s'emmêle pas trop les pinceaux mais non, ce n'est pas un bon livre. Et son éditeur omniprésent
n'amène rien de bien.
J'ai découvert l'auteur par les Baltimore, j ai dévoré l'affaire Harry Quebert, l enigme de la chambre 622 me laisse dans un total état d incompréhension. Une écriture nunuche, des personnages lisses, une intrigue invraisemblable et un sentimentalisme ridicule, avec tout le respect dû à Bernard de Fallois. Incompréhensible.
Ça n'avance pas , les retours en arrière sont insupportables, Tout le suspense est gâche par cette technique narrative beaucoup trop compliquées.
Je ne sais pas si j'irai jusqu'au bout ! 1500 pages !!!!!
Ces précédents livres étaient passionnants, très bien écrits, addictifs, celui là est long, je n'en voyais plus la fin j'ai du me forcer pour finir.
Extrêmement déçue, j'aurais du faire confiance aux nombreuses critiques négatives que j'avais lu. Dommage
Je préfère « la Vérité sur l’affaire Harry Quebert ». C’est son meilleur roman. L’histoire est beaucoup plus travaillée et plus vraisemblable que « l’Énigme de la chambre 622 ». Ce n’est que mon avis cependant. Je trouve que la construction de son roman « L’Enigme de la chambre 622 » ressemble plus à une pièce de Marivaux qu’à un roman. Les nombreux chassés croisés amoureux des personnages, leurs psychologies, coups bas, impostures et trahisons en témoignent. Un point positif, on ne s’ennuie pas, il y a de nombreux rebondissements, de l’action, des effets de surprises. Pour résumer rapidement : le conseil de la banque suisse va élire son nouveau président lors du Grand Week-end au sein du Palace Verbier. Un meurtre a eu lieu. Pour connaitre le nom de la victime, il faut attendre plus de la moitié du livre. C’est un bémol mais le meurtrier est bien dévoilé qu’à la fin. C’est un point positif. Ce qui nous tient en haleine pour le lire jusqu’au bout.
Impossible pour moi de passer à côté d’un nouveau titre de Joël Dicker sans m’en emparer aussitôt pour le lire en un temps record.
Dès que j’ai su que L’Énigme de la Chambre 622, son tout nouveau roman, allait paraître, je l’ai donc donc impatiemment attendu, et l’ai lu dès son arrivée.
Alors qu’en dire ?
Déjà, qu’il est très différent de ses précédents livres, et ce à plus d’un titre.
La mise en abime propre à un roman qui parle d’un auteur écrivant un roman, on connaît bien ce principe maintenant, et s’il fonctionne toujours aussi bien, force
est de constater que ce n’est pas le point fort ici.
Le fait que l’auteur se soit mis lui-même « en scène », puisque son personnage n’est autre que...lui-même, peut, au premier abord, faire penser à une preuve d’égo assez démesuré.
Pourtant je ne pense sincèrement pas que ce soit la raison de son choix.
Au-delà même de l’intrigue, ce roman est surtout un hommage de Joël Dicker à son éditeur, Bernard de Fallois, décédé il y a maintenant deux ans, et dont il parle d’ailleurs longuement dans ce nouveau polar.
Si l’on me demandait de résumer ce roman en un seul mot, je choisirais celui de « transmission ».
Celle de la famille, celle du cœur, celle du nom, celle des biens, celle des valeurs, et celle de l’Histoire bien entendu.
La transmission est partout dans ces pages, au sein de l’intrigue du meurtre, de l’histoire de l’auteur qui mène l’enquête, et bien évidemment dans le lien qui unit Dicker à son éditeur. La transmission est probablement le cœur même du livre.
Et ça rend ce titre terriblement émouvant.
Pour tout le côté polar, par contre, nombre de fans de l’auteur ne retrouveront clairement pas sa patte habituelle ici.
Le choix du style employé crée un décalage peu courant, qui m’a souvent fait penser à un pièce de Feydeau pendant ma lecture. Le côté caricatural des personnages prend très rapidement le pas sur l’intrigue, qui, même si elle reste intéressante, n’a guère de profondeur.
C’est donc un roman à lire pour l’hommage magnifique qu’il représente, et pour la bonne humeur qu’il dégage, mais où les lecteurs ne retrouveront pas le suspens et le style même de l’intrigue qui faisaient la force du fameux Harry Quebert.
Il ne suffit pas d'être imaginatif pour être un bon auteur (je ne dis pas écrivain car Joël Dicker n'en est pas un) . Son précédent roman "la disparition de stéphanie Mailer" m'était déjà tombé des mains à la 150 ème page, trop confus, mal structuré, celui-ci n'est pas meilleur.
La raison de l'intrigue ne tient pas une seconde.
L'enquête est entrecoupée de paragraphes relatant la relation de Joël Dicker avec feu son éditeur Bernard de Fallois (qui lui savait écrire) et qui tombent comme un cheveux sur la soupe...mais bon il avait probablement un hommage à rendre.
La dialogues
sont mauvais, les tournures de phrases non travaillées, seule l'action vous fera tenir. Si vous n'avez pas lu les deux premiers "la vérité sur l'affaire Harry Quebert et le livre des Baltimore" lisez les. Ceux ci sont de qualité, mais à cette époque, Bernard de Fallois était aux côtés de son auteur !
Roman raté, intrigue enfantine, situations invraisemblables, on passe les pages pour éviter de relire les mêmes phrases, seule l'ambiance du lieu aurait pu apporter un intérêt par le coté sombre du lieu, mais les descriptions si si futiles que l'on tourne les pages .... Dommage
Enquête sur un meurtre non élucidé
Tous les ingrédients de Dicker sont là : suspens, rebondissements, énigme ! Et en plus, pour notre plus grand plaisir, un personnage très attachant dont je ne peux pas vous révéler l'identité sans gâcher un peu l'histoire ! Les fans de la Vérité sur l'Affaire Harry Quebert seront cependant peut-être un peu déçus... Je le trouve moins incisif et moins bien ficelé !