L'Ostéopathie, deux mains pour vous guérir

Biographie de Guy Roulier

Né en 1945 à Paris, Guy Roulier débute sa carrière de praticien comme kinésithérapeute UE en 1967. La mort brutale de son père, atteint d'un cancer du foie décelé au dernier moment, malgré un suivi médical régulier, lui fait remettre en cause la valeur de la médecine classique à laquelle il avait été formé et reprendre des études complémentaires. Il décide de consacrer sa vie à la défense de la santé et de la nature et de s'orienter essentiellement vers les méthodes naturelles. Il entreprend dès 1970 des études d'ostéopathie (d'abord en Grande-Bretagne puis en France), et étudie conjointement la naturopathie, l'acupuncture traditionnelle, les plantes médicinales et l'aromathérapie. Un premier voyage en Chine et au Japon lui révèle l'univers de la médecine orientale, qui a pour principe de base d'établir la relation étroite existant entre le corps et l'esprit, l'osmose et l'interdépendance entre l'homme et son environnement. En 1980, il s'installe à Angers comme praticien pluridisciplinaire (ostéopathe-acupuncteur-naturopathe) et, en 1984, soutient une thèse sur " l'Ostéopathie et le coût de la santé " pour l'obtention de son diplôme ostéopathique (D.O.). Cette étude a servi de hase de réflexion à la Commission pour l'évaluation des médecines manuelles créée par le ministre de la Santé. Il coordonne et rédige le " Rapport national sur le rôle socio-économique des ostéopathes de France ". En 1989, il participe à la fondation du premier syndicat d'ostéopathes-kinésithérapeutes puis en 2004, de la Chambre Nationale des Ostéopathes dont il est secrétaire général et chargé des relations avec les Pouvoirs Publics et le Parlement. Diplômé en acupuncture traditionnelle (D.A.T. France), Heilpraktiker (H.P., Allemagne), Naturopathy, Osteopathy & Physiotherapy (Grande-Bretagne), posturologue (C.I.E.S.), D.U. en phyto-aromathérapie, il s'oriente progressivement vers la médecine holistique et collabore à la recherche appliquée en étroite relation avec des scientifiques spécialisés. Il est chargé de cours en faculté où il enseigne sa conception de la " santé durable ", partie intégrante du développement durable. Il intervient dans de nombreux médias, signe des articles dans la presse nationale, intervient comme conférencier. En 2003, il crée le site Nature et santé (www.naturemania.com), puis, en 2004, le site de la Chambre Nationale des Ostéopathes (www.enosteo.com), site d'information pour les usagers de l'ostéopathie et les praticiens ostéopathes (liste des mutuelles, tests, articles. photos...). En 2005, il s'engage résolument dans la promotion du nouveau concept de " santé durable ", partie essentielle et indissociable du développement durable, suite à l'Appel de Paris dont il est signataire. De 2005 à 2007, il participe activement aux travaux législatifs pour l'organisation de la profession d'ostéopathe : réglementation (décrets sur l'exercice et les études), changement de la loi sur la TVA, mettant ainsi un terme à plus de 20 ans de batailles juridiques et administratives. En 2007 : suite à la publication des décrets d'application de la loi Droits des malades sur l'ostéopathie. il est nommé titulaire de la Commission Régionale d'Agrément de la DRASS des Pays de la Loire (Direction Régionale de l'Action Sanitaire et Sociale). En 2009, il soutient activement en tant que Secrétaire général de la Chambre nationale des Ostéopathes, la proposition parlementaire dans le cadre de la loi Hôpital (HPST du 22 juillet), visant, par amendement, à porter le niveau des études en ostéopathie à 4 ans. Cette proposition est finalement acceptée par la ministre de la Santé adoptée et entérinée par le Conseil Constitutionnel. Il fonde l'Association pour une Fondation Santé Durable, destinée à promouvoir la santé durable et la défense de l'environnement. Cette association est reconnue d'intérêt général. (site http://www.asso-fondationsantedurable.org) En 2010, il initie le " programme anti-arthrose " de prévention et de soins naturels des affections ostéoarticulaires, 2e cause mondiale des invalidités, juste après les maladies cardio-vasculaires.