Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le 7 avril 1873, Léon Tolstoï écrivait à -son confrère Paul Golokhvastov : " Quand avez-vous lu pour la dernière fois la prose de Pouchkine ? Faites-moi...
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Résumé
Le 7 avril 1873, Léon Tolstoï écrivait à -son confrère Paul Golokhvastov : " Quand avez-vous lu pour la dernière fois la prose de Pouchkine ? Faites-moi l'amitié de relire d'abord Les Nouvelles de Belkine. Tout écrivain doit les étudier et les réétudier." Mais Tolstoï savait-il que Pouchkine avait attribué à l'auteur fictif Belkine un autre texte encore, Histoire du village de Gorioukhino, dans lequel, après une quête passionnée d'un sujet littéraire, ledit Belkine écrivait l'histoire de son village, une histoire qui prenait peu à peu le ton d'une critique sociale ? C'est peu probable, car ce texte inachevé de Pouchkine ne fut publié, au XIXe siècle, qu'une seule fois, dans la revue Le Contemporain, en 1837, et avec des coupures. Si Tolstoï avait pu " l'étudier et le réétudier " (la première publication, sans altérations, de ce texte étonnant date de 1924), gageons que sa lettre aurait pris la tournure suivante : " Quand avez-vous lu pour la dernière fois la prose de Belkine ? "
Histoire du village de Gorioukhino n'est pas plus connu un siècle et demi plus tard. C'est pourquoi nous avons cru bon de le remettre à l'honneur dans une édition entièrement consacrée aux productions de ce double de Pouchkine, apportant par la même occasion un nouvel éclairage aux Nouvelles de Belkine tant appréciées par l'auteur de Guerre et paix.