Água viva (« L'eau vivante »), c'est comme ces cloches qui sonnent dans le silence, qui creusent le silence, l'arrachant au vacarme : sensation prenant corps, devenant corps. Le rêve, le songe devient pensée, le trait existence.
Étrange, fulgurant, rutilant récit d'une libération intérieure : « Si je ne comprends pas ce que j'écris, ce n'est pas de ma faute. Je dois parler, car parler me sauve. »
L'instant comme il n'a jamais été, auparavant, cherché, cerné par les mots.
Un texte déconcertant, d'une sublime – comment dire autrement ? – force de vie. Inépuisable.
Déconcertante est la vie
Água viva (« L'eau vivante »), c'est comme ces cloches qui sonnent dans le silence, qui creusent le silence, l'arrachant au vacarme : sensation prenant corps, devenant corps. Le rêve, le songe devient pensée, le trait existence.
Étrange, fulgurant, rutilant récit d'une libération intérieure : « Si je ne comprends pas ce que j'écris, ce n'est pas de ma faute. Je dois parler, car parler me sauve. »
L'instant comme il n'a jamais été, auparavant, cherché, cerné par les mots.
Un texte déconcertant, d'une sublime – comment dire autrement ? – force de vie. Inépuisable.