Premier chapitre. Quatre pages. Une masterclass. Pur maestria de la mise en bouche. Une ambiance, une poésie, un sens de la phrase. Quatre pages qui en annoncent 230 autres, tout aussi léchées, poilantes, désobligeantes.
Marc Behm se fout du monde qui peuple son livre, il joue des codes avec les coudes, fait du noir de la confiture de tueur en série. De l'enquête, une farce et attrape-moi si tu veux.
A côté de la plaque, c'est de la roublardise déjantée, du poil à gratter insolent, du roman noir pop-corn et champagne. Un plaisir de lecture immense, une galvanisation du lobe
frontal, toujours le sourire aux lèvres et le doigt qui piétine d'impatience de tourner la page.
Une masterclass, définitivement.
(Dans les rues de Los Angeles rôde un tueur en série et personne n'en a rien à cirer. Et Marc Behm est l'homme qui valait trois milliards qui tombent à pic. Merci François Guérif.)
A côté de la plaque
Premier chapitre. Quatre pages. Une masterclass. Pur maestria de la mise en bouche. Une ambiance, une poésie, un sens de la phrase. Quatre pages qui en annoncent 230 autres, tout aussi léchées, poilantes, désobligeantes.
Marc Behm se fout du monde qui peuple son livre, il joue des codes avec les coudes, fait du noir de la confiture de tueur en série. De l'enquête, une farce et attrape-moi si tu veux.
A côté de la plaque, c'est de la roublardise déjantée, du poil à gratter insolent, du roman noir pop-corn et champagne. Un plaisir de lecture immense, une galvanisation du lobe frontal, toujours le sourire aux lèvres et le doigt qui piétine d'impatience de tourner la page.
Une masterclass, définitivement.
(Dans les rues de Los Angeles rôde un tueur en série et personne n'en a rien à cirer. Et Marc Behm est l'homme qui valait trois milliards qui tombent à pic. Merci François Guérif.)