-
guerre
-
polar
-
souvenir
-
vieillesse
-
ehpad
J’ai découvert Dominique DEJOB avec « Sur le fil » et ai décidé de ne plus la lâcher.
Que de non-dits dans les familles. Par honte, retenue, parfois aussi avec la volonté de bien faire, de ne pas rajouter de souffrance, en se disant qu’en ne disant rien, et bien l’autre ne saura rien et, qu’avec le temps… tout cela passera. Et pourtant, cela ne marche pas toujours comme cela.
Combien de non-dits, pour ne pas parler des mensonges, font du mal, bien plus de mal qu’on ne pourrait le penser. Et Julia veut savoir pourquoi, comment son père est mort exactement, il y a si longtemps
maintenant. Elle n’arrive pas à être vraiment libre…
Et puis il y a la vieillesse. Mais si ce n’était que cela. Quand le corps, la tête ne suivent plus. Quand il n’y a plus personne pour accompagner, quand l’EHPAD devient le dernier recours. Certes, ils ou plutôt « elles » font bien du mieux qu’elles peuvent, les « filles » en blouses rose et blanche... Mais entre le manque de moyens, la nécessité d’organiser la vie en collectif, on peut dire ce qu’on veut. Mais ce n’est pas une vie, ce n’est plus une vie.
Puisse ce roman nous aider aussi à trouver une alternative aux EHPAD pour accompagner les fins de vie, il en existe. Encore faut-il s’en donner les moyens.
Pour une alternative aux EHPAD.
J’ai découvert Dominique DEJOB avec « Sur le fil » et ai décidé de ne plus la lâcher.
Que de non-dits dans les familles. Par honte, retenue, parfois aussi avec la volonté de bien faire, de ne pas rajouter de souffrance, en se disant qu’en ne disant rien, et bien l’autre ne saura rien et, qu’avec le temps… tout cela passera. Et pourtant, cela ne marche pas toujours comme cela.
Combien de non-dits, pour ne pas parler des mensonges, font du mal, bien plus de mal qu’on ne pourrait le penser. Et Julia veut savoir pourquoi, comment son père est mort exactement, il y a si longtemps maintenant. Elle n’arrive pas à être vraiment libre…
Et puis il y a la vieillesse. Mais si ce n’était que cela. Quand le corps, la tête ne suivent plus. Quand il n’y a plus personne pour accompagner, quand l’EHPAD devient le dernier recours. Certes, ils ou plutôt « elles » font bien du mieux qu’elles peuvent, les « filles » en blouses rose et blanche... Mais entre le manque de moyens, la nécessité d’organiser la vie en collectif, on peut dire ce qu’on veut. Mais ce n’est pas une vie, ce n’est plus une vie.
Puisse ce roman nous aider aussi à trouver une alternative aux EHPAD pour accompagner les fins de vie, il en existe. Encore faut-il s’en donner les moyens.