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Andrew Ridker, 25 ans, est la nouvelle sensation du roman américain. Vendu dans 20 pays en à peine deux semaines, LES ALTRUISTES combine le génie d'un Franzen pour les portraits de famille et l'esprit satirique des premiers livres de Philip Roth. Mais si Ridker se place dans les pas de ses pères littéraires (on pense aussi à Updike, Salinger et d'autres...), il le fait avec un sens de l'humour et du rythme totalement inédits.
Les irrésistibles membres de la famille Alter deviennent les antihéros d'une époque tiraillée entre deux aspirations contradictoires : l'individualisme triomphant et l'empathie nécessaire. De ce combat entre les cyniques et les candides, Ridker a fait un roman aussi drôle qu'attachant. Une révélation qui a suscité l'engouement de 9 éditeurs français. Bataille remportée par Rivages.
Douce Ironie
Dissection ingénieuse d’une famille dysfonctionnelle peu enviable, "Les Altruistes" offre une réelle réflexion sur la famille, l’individualisme et le poids du passé à travers les points de vue complémentaires de Francine Alter, son mari Arthur et leurs deux enfants.
À la mort de Francine, les Alter, accablés par le deuil, n’ont rien d’une famille.
Pourtant attachés à l’idée d’être de bonnes personnes, tournées vers les autres, ils vont devoir, pour vivre en paix, comprendre que la compassion commence là où leurs intérêts prennent fin.
Le premier roman d’Andrew Ridker pointe, avec ironie, l’absurdité de notre société moderne où l’altruisme se meut avec l’âge en confort égoïste nourrit de regrets et impressionne tant par sa construction remarquable, que l’analyse mordante et caustique de ses personnages empêtrés dans leur conception du monde, du juste et de l’injuste.