Dissection ingénieuse d’une famille dysfonctionnelle peu enviable, "Les Altruistes" offre une réelle réflexion sur la famille, l’individualisme et le poids du passé à travers les points de vue complémentaires de Francine Alter, son mari Arthur et leurs deux enfants.
À la mort de Francine, les Alter, accablés par le deuil, n’ont rien d’une famille.
Pourtant attachés à l’idée d’être de bonnes personnes, tournées vers les autres, ils vont devoir, pour vivre en paix, comprendre que la compassion commence là où leurs intérêts prennent fin.
Le premier roman d’Andrew Ridker pointe, avec ironie, l’absurdité de notre société moderne où l’altruisme se meut avec l’âge en confort égoïste nourrit de regrets et impressionne tant par sa construction remarquable, que l’analyse mordante et caustique de ses personnages empêtrés dans leur conception du monde, du juste et de l’injuste.
Dissection ingénieuse d’une famille dysfonctionnelle peu enviable, "Les Altruistes" offre une réelle réflexion sur la famille, l’individualisme et le poids du passé à travers les points de vue complémentaires de Francine Alter, son mari Arthur et leurs deux enfants.
À la mort de Francine, les Alter, accablés par le deuil, n’ont rien d’une famille.
Pourtant attachés à l’idée d’être de bonnes personnes, tournées vers les autres, ils vont devoir, pour vivre en paix, comprendre que la compassion commence là où leurs intérêts prennent fin.
Le premier roman d’Andrew Ridker pointe, avec ironie, l’absurdité de notre société moderne où l’altruisme se meut avec l’âge en confort égoïste nourrit de regrets et impressionne tant par sa construction remarquable, que l’analyse mordante et caustique de ses personnages empêtrés dans leur conception du monde, du juste et de l’injuste.