D’une guerre à l’autre, de la grande à la seconde guerre mondiale et un peu plus, Florian Préclaire imagine les contours et les remous d’une vie, celle d’un grand père, inconnu, militaire et mutilé, cavalier, René-Frantz. Géographie intime exaltée dans la chair et les traverses d'une existence.
Un grand théâtre vibrant des pulsions d’une vie, des écorchures et des fantômes de guerres, scintillant de désirs, de rêves comme de passions, de traces vacillantes appréhendées avec une pudeur gracile. Un pied dans l'histoire, l'autre dans les feuillages ombragés d'une archéologie
familiale.
Un texte suave et charnel, où s’entremêlent des fragments suspendus, des trouées imaginaires que l’on tente de rapiécer.
La vie comme un grand mouvement, boursouflée d'éclats, métaphorique et virevoltante, extrêmement touchante.
Une petite merveille d’écriture, creuset de langue désarmant de sincérité, tentative de dialogue imaginaire aux reflets poreux, ardents de poésie, qui sonne comme le plus beau des hommages, lui confère un charme somptueux d’évocations, comme un fil raccommodé, invisible et balbutiant, ce galop de silhouettes qui accompagne de sa présence les sentiers d'une vie.
Un endroit où aller, un texte à arpenter, une rêverie où s’immiscer.
Un premier roman, assurément une très belle découverte.
le cavalier de Saumur.
D’une guerre à l’autre, de la grande à la seconde guerre mondiale et un peu plus, Florian Préclaire imagine les contours et les remous d’une vie, celle d’un grand père, inconnu, militaire et mutilé, cavalier, René-Frantz. Géographie intime exaltée dans la chair et les traverses d'une existence.
Un grand théâtre vibrant des pulsions d’une vie, des écorchures et des fantômes de guerres, scintillant de désirs, de rêves comme de passions, de traces vacillantes appréhendées avec une pudeur gracile. Un pied dans l'histoire, l'autre dans les feuillages ombragés d'une archéologie familiale.
Un texte suave et charnel, où s’entremêlent des fragments suspendus, des trouées imaginaires que l’on tente de rapiécer.
La vie comme un grand mouvement, boursouflée d'éclats, métaphorique et virevoltante, extrêmement touchante.
Une petite merveille d’écriture, creuset de langue désarmant de sincérité, tentative de dialogue imaginaire aux reflets poreux, ardents de poésie, qui sonne comme le plus beau des hommages, lui confère un charme somptueux d’évocations, comme un fil raccommodé, invisible et balbutiant, ce galop de silhouettes qui accompagne de sa présence les sentiers d'une vie.
Un endroit où aller, un texte à arpenter, une rêverie où s’immiscer.
Un premier roman, assurément une très belle découverte.