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" Les murs ont des oreilles, il faudra vous y faire... "
Buenos Aires, Argentine, au 38 de la Calle del Primer Día.
Elle est là immobile, sans bouche, sans oreilles, sans yeux. Les engins carnassiers vont bientôt la dévorer. Alors, inquiète de devoir abandonner les souvenirs qu'elle protège depuis si longtemps, la maison décide de parler et déploie en coulisses du décor une autre réalité, transparente et secrète.
Elle qui abrite l'histoire de sa ville, depuis les premiers matins jusqu'aux heures noires de la dictature. La tragédie de Soledad Salvador, sa propriétaire, aussi. Parce que l'histoire ne s'écrit pas dans les livres, elle se respire. Et pour que jaillisse enfin la vérité.
" Un livre formidable ! "Michel Drucker - " Vivement dimanche "
" Vous allez être happé par le destin de Soledad Salvador.
"
Biba
Cet ouvrage a reçu le prix Folire et le prix Hisler-Even
Cet ouvrage a reçu le Prix FOLIRE.
Et si les Pierres pouvaient parler ?
Cher Vous,
Et si c’était une barraque, une vraie belle demeure qui te raconte les heures noires de la dictature d’Argentine ?
L’idée peut paraître folle, au contraire, cela donne une touche de poésie dans ce monde de brut.
Bien sûr il y a une autre histoire dans la grande Histoire, une petite fresque familiale qui va te piquer les yeux.
La vie de Soledad, qui n’a pas toujours été rose, loin de là, mais elle s’est efforcée d’effacer le sombre, de l’éclaircir. Mais on ne fait pas toujours ce que l’on veut, et ta destinée c’est la tragédie, tu as beau y mettre la meilleure volonté du monde, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.
Tu ne peux être qu’happé, ému, par cette femme, ou alors, c’est que tu n’as pas de cœur.
Et bien sûr qu’il faut que tu le lises…
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2022/09/16/39632543.html